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Berdelle & Flims

Flims et berdellements

Survivor au pays des kangourous Publié le Mercredi 10 Janvier 2007 à 18:35:27
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Wolf creek
 
 
"Le film que vous allez voir est basé sur des faits réels." On la connait celle-là, mais mis à part Massacre à la Tronçonneuse, ça ne fait pas des masses d'effets. Des promesses, des promesses, toujours des promesses... Et pourtant. à l'instar d'une grosse bêtise comme Hostel (Si tarantino dit que c'est bien, il faut se méfier...), ce Wolf Creek démarre avec des jeunes en voyage, loin de chez eux et des autochtones pour le moins bizarres.
 
Nous voici donc en compagnie de Kristy et Lise, deux charmantes anglaises d'une vingtaine d'années en vacances en Australie, et de Ben, un jeune australien un peu frimeur mais pas bien méchant. Ca déconne sec, ça fait la fête dans un monde Sex & Pop Music puis ça se décide : ils vont aller faire un tour tous les trois à Wolf Creek, vestige du crash d'une gigantesque météorite. Allez hop, c'est dit, on loue une bagnole et c'est parti ! On s'arrête de temps en temps en chemin pour camper et faire ami-ami avec les autochtones du coin, mais manque de chance, le seul contact sera une proposition de partouse par des ex-taulards dans un hameau perdu.
 
On en arrive enfin au site nommé Wolf Creek, une sorte de réserve naturelle sèche et sauvage, où nos trois jeunes gens se balladent allègrement. Au moment de repartir, impossible de faire démarrer la voiture et les montres ne marchent plus ! On pense tout de suite aux Gendarmes et les Extra-Terrestres ! De plus, on a eu pas mal d'indices sur la possible apparition des ptits hommes verts depuis le début du film ! Que va-t-il donc arriver ?
 
Facile : un pick-up sort de la nuit et un gaillard vient à leur rescousse. Pas que le gaillard ait l'air méchant, non, que du contraire: "J'peux pas réparer c'tas de ferraille ici, les enfants et j'habit' d'loin de là, tout c'qu'j'peux faire, c'est d'vous r'morquer jusqu'chez moi et réparer ça pour d'main matin !" Bah tout va bien... Seulement, le lendemain matin, Lise se réveille dans une remise, attachée et baillonée. Là, on sent que les E.T. sont déjà loin et qu'ils vont être remplacés par le bouseux sadique. Ca ne rate pas : alors qu'elle se libère et s'échappe, un cri retentit. Lise s'approche de la vitre et aperçoit notre ami bouseux, Oncle Mickael qui torture sa copine Kristy à grands renforts de répliques cyniques d'un très bon cru (je veux dire par là que le goût est douteux...). Lise arrive à blesser le sadique et s'échappe à bord d'une jeep avec sa copine, mais sont vite rattrappées par le vilain de service. Elles finiront par le devancer pour revenir dans l'antre du bourreau pour tomber de découvertes inquiètantes en découvertes macabres (des corps lacérés, des photos de victimes,...) Pas de chance pour Lise, elle se fera poignarder par l'Oncle Micky pendant que Kristy s'échappe.
 
Le chasseur ne se laissera pas aller à laisser un témoin en vie. Il poursuivra façon Mad Max la pauvre fille puis l'abattra aussi singulièrement qu'un kangourou. Retour ensuite sur le petit Ben dont on n'a plus entendu parler depuis un moment. Tout va bien pour lui, il a réussit à se libèrer de la croix sur laquelle il était cloué (On voit d'ailleurs qu'il a un peu mal, mais vu qu'un corps crucifié siège à côté de lui, le bas de la taille bouffé, il avait plutôt intèrêt à se barrer... De plus, les Rottweilers dans leurs cages ont l'air affamés...) et tente de s'échapper à travers le désert australien où on le récupèrera finalement, dans un sal état, mais vivant.
 
Clap clap clap ! Bien dommage que le genre compte d'innombrables films du même style mais rares sont ceux qui laissent une impression de malaise, tout en gardant un certain humour noir emprunt de cynisme. Les clins d'oeil à Mad Max et Crocodile Dundee (oui, oui, il fallait le faire !) sont nombreux et on a mal pour les victimes du psychopathe. Pas vraiment de gore ici, mais tout est suggéré. Ceci dit, ce n'est pas non plus la Mélodie du Bonheur : les dialogues sont crus mais de circonstance.
 
Greg McLean, le réalisateur de cette petite merveille, fait partie des réalisateurs du Splat Pack où l'on retrouve Alexandre Aja (La Colline à des Yeux, Haute-Tension), Rob Zombie, Eli Roth (Cabin Fever, Donnie Darko) et le tandem Bousman / Wan à la base de la série Saw. On aura compris...
 
Depuis quelques temps, le cinéma australien sort des films fantastiques d'une qualité exemplaire : Wolf Creek ne dénotera en rien cette affirmation.
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Toujours se méfier de l'eau qui dort Publié le Dimanche 7 Janvier 2007 à 21:04:33
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La baie sanglante
 
 
Un ancêtre des Scream et autres films de serial-killers que cette Baie Sanglante de Mario Bava, un des rois du cinéma bis italien, sorti en 1971 et incontestablement son oeuvre la plus aboutie. Une crique abandonnée, des meurtres et des personnages paumés qui courent dans tous les sens pour échapper à un tueur...
 
Tout commence avec le meurtre de la vieille propriétaire d'une petite cité balnéaire abandonnée dans le fin fond de l'Italie et de son valet. Les héritiers ne tardent pas à débarquer, impatient de toucher le pactole tant attendu et mènent l'enquête. Pas de chance pour eux, ils découvrent que la vieille a eu un fils illégitime et que leur projet immobilier risque de tomber à l'eau. La nuit tombe et les meurtres se multiplient notamment grâce à deux jeunes couples en quête d'amusement qui serviront surtout à jouer les victimes dans plusieurs meurtres d'anthologie dont l'empalement de deux tourtereaux se livrant à la copulation (ils ne seront pas prêts de se quitter...). Pour faire court, plusieurs personnes ont des raisons de tuer et donc, plusieurs coupables sont possibles : il faudra attendre (et souvent avec quelques longueurs) la fin du film pour assister au dénouement de l'histoire.
 
Même si La Baie Sanglante a énormément vieilli de par sa trame narrative, il faut tout de même remarquer qu'on tient là un film précurseur dont le style sera repris par d'innombrables réalisateurs dans les décennies suivantes. Les meurtres inventifs, bien que souvent inutiles sont également une belle trouvaille, même si l'on reste sur sa faim. On peut dire de ce côté que Bava réussit l'histoire là où Dario Argento réussit ses effets.
 
Toutefois un joli travail cinématographique en avance sur son époque de par son style macabre et sa photographie (le film est entièrement filmé à la lumière naturelle, ce qui lui donne une très belle nuance orangée), mais qui lasse énormément par son rythme peu actuel. On saluera tout de même Mario Bava pour l'originalité de son film.
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Attention, derrière toi! Publié le Vendredi 29 Décembre 2006 à 12:55:59
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Doom
 
Après les nombreuses adaptations de films en jeux vidéos, on a droit depuis quelques années aux adaptations de jeux vidéos en films. C'est le cas pour Mario Bros, Alone in the Dark, Resident Evil, Street Fighter, Silent Hill et ce fantastique précurseur des FPS qu'est Doom. Va t'en donc mettre un scénario à un jeu où le but principal est d'évoluer dans un labyrinthe futuriste infesté de monstres servant principalement de chair à canon ! Assez évident, reprenons Aliens 2, en version édulcorée.
 
Un groupe de Marines est donc téléporté sur Mars pour reprendre contact avec une équipe de scientifiques portée disparue dans un laboratoire top secret. Gros biceps et mono-neuronnes sont donc présents avec à leur tête Sarge, alias The Rock (à croire que ce gars n'a pas de nom...), star du catch US et le gentil Eomer du Seigneur des Anneaux, Karl Urban, dans le rôle de John, le beau gosse,. Aucune fille dans l'équipe, à se demander si on ne commence pas là un film gay où les mecs ne font que s'amuser avec leurs gros flingues. On est rassuré après vingt minutes de culturisme masculin par l'apparition de la soeur de John, Samantha, qu'il n'a pas revu depuis une dispute il y a dix ans. Ces charmants cow-boys du futur, accompagnés de Samantha sans soutif (darde, darde...) vont donc se faire une joie de se ballader dans de nombreux couloirs à la recherche de survivants et de documents ultra-secrets portant sur des recherches génétiques douteuses. Assez prévisible qu'il n'y ait plus grand chose d'humain qui les attendent : plusieurs bestioles mi-homme, mi-monstre vont leur sauter dessus les unes après les autres. Ca commence par des assauts furtifs cédant vite la place à des combats plus rapprochés (hop, une tête par ci, scroutch une main par là) et quelques combats de catchs (bah voyons...).
 
On découvre assez vite que les créatures sont pour la plupart les scientifiques disparus qui ont mutés à cause d'un virus hautement contagieux, ce qui ne fait pas l'affaire des militaires laissés pour morts qui se réveillent peu à peu pour relancer un peu le carnage. Ca devient assez serré niveau équipe et c'est là que The Rock ne trouve rien de plus intelligent à faire que d'exécuter la nouvelle recrue du groupe pour avoir désobéi (on lui demandait de tuer des civils sains qui pouvait être infectés). En conclusion, très classique au niveau du scénario : petit jeu de pouvoir dans une équipe de gros bras avec des gentils d'un bord et des méchants de l'autre.
 
Là où ça tombe franchement dans la farce, c'est au niveau biologie à deux balles (les expériences sur le 24ème chromosome prinicipalement) et la technologie de pointe (qui fait tout de même très années 80'). Jolie invention par contre : celle des nanomurs, sorte de mur artificiel qui prend soit forme solide ou bien forme liquide pour laisser passer les personnes admises (on a droit à un monstre qui passe au moment ou le mur se referme pour encastrer la pauvre bête... Rassurons-nous, on lui mettra un baxter pour pouvoir continuer des expériences dessus...). Autre chose : les armes ! N'oublions pas qu'à la base, le fun du jeu était de trouver des armes de plus en plus destructrices pour continuer le massacre. Pareil ici, le couteau, la tronçonneuse, le riot-gun, la M-16 version 2032, les flingues de l'espace et le fusil à neutrons (nom de dieu, le gun ! s'exclamera The Rock...): tout y est ! De plus, on rajoute une séquence de 3 minutes en vue subjective pour faire un petit clin d'oeil au jeu...
 
Bon, alors... Doom = bien ou pas ? Nan, mais franchement... Même si les feintes à 4 balles font parfois rire, c'est tout de même bien pénible et gros bras, ce film. Cette chose a plutôt été réalisé pour le public de Fast and Furious qui n'a pas aimé Fast n Furious... Game over (j'étais obligé de le placer).
Afficher le commentaire. Dernier par la créativité des enfants le 14-07-2013 à 10h23 - Permalien - Partager
Ahouuuuuuuu Publié le Jeudi 14 Décembre 2006 à 11:26:57
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Le Loup-Garou de Londres
 
 
Allez hop, un grand classique pour changer : Le Loup-Garou de Londres. Tout est dit dans le titre pour ceux qui ne l'auraient pas encore vu ! Il s'agit donc d'une histoire de loup-garou qui se déroule à Londres. Jusque là, je ne me foule pas trop.
 
Histoire simpliste, certes ! Mais pourquoi s'aventurer dans d'abracadabrantes histoires de sorciers loup-garous vampiriques réunis en secte dans une sombre partie de la Transylvannie comme l'a fait la série des Hurlements ou encore étudier la psychologie du lycantrope comme dans le pompeux Wolf de Mike Nichols ? Là où certains se sentent obligés d'expliquer le comportement de l'homme-loup pour le démystifier, d'autres préfèrent se réserver à la propre nature de la créature : la bestialité, simple et féroce. Et c'est excactement ce que John Landis - le père des Blues Brothers et des gros clips années 80' du Roi de la Pop - réalise en 1981, non sans une certaine dose de second degré ! 
 
Voilà donc que David et Jack, deux américains en vacances en Europe, se font attaquer sauvagement par un loup-garou dans la lande anglaise. Si David se réveille à l'hôpital avec quelques morsures, Jack succombe à ses blessures (faut dire aussi qu'il se fait presque complètement décapiter... ) et une enquête est ouverte sur l'agression. David développe petit à petit de drôles effets secondaires, mais il est surtout en proie à de violents délires mettant en scène son feu copain Jack un rien défiguré et des créatures cauchemardesques (par exemple, des zombies de la Shültz Staffen qui font irruption dans sa chambre d'hôpital armés de Uzi et de poignards).
 
Au niveau effets spéciaux, on est dans la totale inégalité : si les créatures fantasmagoriques sont souvent affublées de masques d'Halloween (bref, on n'y croit pas une seconde...), les scènes sanglantes sont assez bien foutues. Mais que dire de la transformation de David ? Je n'ai jamais vu une transformation de loup-garou aussi réussie : elle finirait dans un reportage d'Histoires Naturelles que ça ne m'étonnerait pas !
 
David est donc ramené quelques jours avant la pleine lune chez l'infirmière qui s'occupe de lui (pour s'en occuper, d'ailleurs, elle va s'en occuper...) et c'est là que le drame arrive. Il crie, hurle, souffre tout en se métamorphosant étapes par étapes. Au niveau technique, chapeau à l'équipe du maquilleur Rick Baker (tiens, on le retrouve dans Wolf et Hurlements, mais aussi X-Men, La planète des Singes de Burton, plusieurs films de Carpenter et le Thriller de Bambi Jackson) qui a dû en baver férocement... Les mains et les pieds qui s'allongent, les oreilles qui poussent, la colonne vertébrale qui se contorsionne, les yeux qui jaunissent, les poils qui poussent ainsi que les quenottes et le tout dans la lumière s'il vous plaît ! Et la douleur aussi... Pendant deux longues minutes sur un bon vieux morceau pop des années 60' ! On regrettera peut-être juste la finalité de la transformation qui ressemble plus à un gros chien croisé avec un ours (mais bon, les loup-garous américains sont peut-être différents de ceux de nos contrées).
 
Après quelques meurtres bestiaux inexpliqués, on assiste à un final chaotique à Piccadilly Circus. Explosions, crashs de voitures et passants décapités seront de mise avant la mort de David le loup-garou, tué par une balle d'argent salvatrice.
 
Certainement un des meilleurs films de loup-garou jamais réalisé depuis la mort de Lon Chaney Jr., relancé par une certaine dose d'humour flegmatique (les apparitions de Jack zombifié expliquant le plus naturellement du monde à son copain hospitalisé qu'il va se transformer en bête féroce et qu'il devrait se suicider avant de se repaitre sont plutôt réussies) ou de situations absurdes (David qui se réveille nu comme un ver dans la cage des loups du zoo de Londres après sa première escapade animale).
 
En conclusion, aucune ride de prise, souvent retenté, mais jamais égalé : un must... Pour peu qu'on aime ces charmantes bestioles sanguinaires.
Afficher les 2 commentaires. Dernier par Les jouets pour les bébés le 14-07-2013 à 10h23 - Permalien - Partager
Ordures humaines Publié le Mardi 5 Décembre 2006 à 23:33:14
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Street trash
 
1987 : sortie de Street Trash. Grande année, film rare. Un grand moment de vulgarité et de second degré trash bricolo que ce petit film US, sorti chez Chaos Productions.
 
Tout se passe dans l'univers des clochards qui comme, tout le monde le sait, ne pensent qu'à se bourrer la yeule et à forniquer. A cette image déjà bien réductrice, on leur rajoute les qualités de chapardeur et de vulgarité sans pareille. On apprend aussi que les clochards vivent en caste, principalement dans les cimetierres de voitures, se faisant des petits logis, tels des troglodytes dans les carcasses d'automobiles. Le chef, Bronson, un rien taré (ex du Viêt-Nam qui se taille des couteaux dans des fémurs humains) règne en maître incontesté sur son petit clan à grands renforts de coups de gueule et de fracassage de crâne (un rien primitif, le bonhomme). Opposé à lui, on retrouve Fred, le clodo débrouillard et malicieux qui arrive à s'en sortir plus ou moins seul dans ce monde de brutes. Tout se passerait assez bien si un épicier peu scrupuleux ne mettait en vente sur le marché quelques bouteilles empoisonnées qui ont pour résultat de liquéfier les clochards en une immonde bouillie de pâte à modeler multicolore.
 
La police enquête et on met le meilleur agent du coin sur l'affaire pour voir un petit peu ce qu'il se passe et c'est là que Bill entre en scène. Bizarre, le flic est limite plus vulgaire que la troupe de clodos réunies. Bill, outre sa verve et ses biscottos qui feraient pâlir Chuck Norris, possède également un grand sens de la répartie. En exemple, très belle scène où un pauvre bougre agonise sur un trottoir auprès d'une femme, témoin de la scène :
 
Femme : Mais faites quelque chose !
Bill : Je ne peux pas sauver tout le monde à la fois.
Femme : Mais passez outre votre réglement !
Bill : La seule différence entre vous et un magnétophone, c'est que le magnétophone, on peut le couper en appuyant sur STOP pour lui fermer la gueule !
Femme : Mais vous attendez que je me fasse violer pour bouger ???
Bill : Non, t'es vraiment trop moche pour te faire violer.
 
Et ça n'arrête pas, le même genre de réplique pendant 1h30 ! Et que dire des scènes ? Alors là... Enormément de "rien à voir" sous forme de sketches (genre Bronson qui se souvient de la guerre avec des Viêts vampires, un clochard qui fait ses courses au supermarché en chapardant diverses marchandises qu'il planque dans son froc, le viol collectif de la femme d'un mafieux par une vingtaine de clochards excités, ...) Bref, l'ambiance y est ! Du grand art !
 
Au niveau technique, la caméra ressemble assez bien à celle d'un Sam Raimi des débuts, assez dynamique, parfois un peu trop. Les effets spéciaux, eux... Il y a énormément à dire. Les "explosions" de clochards et autres réjouissances sont grotesques mais très réussies pour le style comique : la scène du clochard se liquéfiant sur des toilettes en tirant la chasse est à hurler de rire, ainsi que celle du clochard qui tente d'attrapper son sexe amputé que ses acolytes se balancent l'un l'autre en rigolant.
 
En gros, tout le monde y passe d'une manière ou d'une autre. Le flic est massacré par Bronson lors d'un combat de catch, quelques clochards fondent à cause des bouteilles empoisonnées et Fred, un des rares survivants, tue Bronson grâce à l'explosion d'une bouteille d'air comprimée projetée à 8000 à l'heure dans sa tête.
 
On ne s'ennuie pas, aucune longueurs et on a du mal à souffler entre les scènes ridicules et les dialogues abracadabrants. A voir et à revoir, ivre ou sobre. De plus, vous augmenterez considérablement votre vocabulaire...
Afficher les 3 commentaires. Dernier par En jouant avec des jouets le 14-07-2013 à 10h24 - Permalien - Partager