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SERVICE DES GRANDS BRULES / 13

MON BLOG /MON TRAVAIL/ PATOU

divers reanimation Posté le Lundi 30 Mars 2009 à 13h54
c la 1ere page de ce blog /
page d'acceuil avec resumé de tous les articles developpés dans ce blog............
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au bas de cette page special REA les demandes d'examen de labo particulieres(on dose quoi et pourquoi !!)
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diagnostics differentiels :
medicaments de l'urgence :
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etat de choc :
bronchospasme :
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materiel (appareillage )special REA :
liens a venir 
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diagnostics differentiels:
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liens tres interessants/ clic vite .....
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divers reanimation (cette page donc ) est l'article numero 5
c parti !!! 
Mise a jour reguliere
et nouveaux articles reguliers (n'hesites donc pas a revenir consulter tous les domaines, themes developpés....)
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la tracheotomie percutanee :
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site a cliquer:
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Sepsis / choc septique dosages lactates, pro calcitonine, pcr :
(les marqueurs biologiques de l'etat septique)

Le sepsis reste une pathologie relativement fréquente, touchant environ 750.000 patients chaque année aux Etats-Unis et grevée d’une mortalité encore inacceptable de 30 à 60% selon les pays et les terrains concernés (1). L’absence d’amélioration significative du pronostic n’est que partiellement comprise car défiant les progrès majeurs survenus dans les techniques de réanimation, mais quelles que soient les études, toutes mettent l’accent sur l’élément essentiel : la précocité du diagnostic d’infection grave. Par conséquent, la reconnaissance précoce des états septiques graves constitue un véritable défi pour les services d’urgence. Ces états septiques sévères comportent le sepsis sévère et le choc septique.

 

Les manifestations cliniques des états septiques sont bien évidemment très polymorphes. Leur expression est la résultante des 4 composantes suivantes : la prédisposition du sujet atteint (qu’il s’agisse de co-morbidités ou traitements immunosuppresseurs ou d’une vraie prédisposition génétique par polymorphisme portant sur un ou plusieurs des gènes de la réponse inflammatoire) la nature de l’infection (agent infectieux en cause, site de l’infection) la nature et l’amplitude de la réponse inflammatoire systémique secondaire à l’infection, et enfin les dysfonctions d’organes générées.

 

Les retards dans la prise en charge thérapeutique des états septiques graves s’observent aussi bien dans les formes typiques que dans les formes atypiques. Ainsi, devant un patient fébrile hypotendu, il n’est pas rare de constater que la réanimation hémodynamique n’est pas entreprise de manière adaptée tant que l’ensemble des explorations biologiques et morphologiques prescrites n’ont pas été récupérées. Ce sont pourtant ces premières heures du traitement qui sont déterminantes. On constate cet écueil notamment chez des patients jeunes infectés où une hypotension à 90 mm Hg de systolique n’est, à tort, pas considérée comme pathologique ou du moins préoccupante, alors qu’elle témoigne déjà d’une conséquence systémique de l’infection.

 

L’identification des états septiques graves nécessite d’être en alerte permanente sur ces hypothèses diagnostiques chez tout patient dont la symptomatologie ne peut être facilement rapportée à une autre cause.

 

L’intérêt potentiel de marqueurs biologiques des états septiques graves est évident : d’une part à visée diagnostique étant donné le grand polymorphisme des modes de présentation de ces états infectieux (formes atypiques) et d’autre part à visée pronostique devant le décalage temporel qu’il peut exister entre une réaction systémique inflammatoire majeure et l’apparition des premiers signes de défaillance d’organe.

 

Parmi ces marqueurs, peu sont utilisables en routine ou ont été validés. La C réactive protéine (pcr) n’est pas un marqueur à proprement parler en raison de son manque de spécificité (augmentation au cours des processus inflammatoires non infectieux, augmentation certes moindre au cours des infections virales, absence de corrélation claire avec le pronostic).

 

Le dosage des lactates sans être un marqueur du choc septique, permet d’apprécier grossièrement le degré d’hypoxie tissulaire. Sa valeur pronostique (notamment la corrélation entre la décroissance du taux de lactates et l’amélioration de l’hémodynamique) est bien documentée en réanimation, mais il existe peu d’études portant spécifiquement sur sa valeur diagnostique ou pronostique aux urgences (2). Les mécanismes physiopathologiques responsables de l’hyperlactacidémie au cours des états septiques sévères ne sont d’ailleurs pas parfaitement compris (3). Lorsque le diagnostic d’état septique est posé, un taux de lactates élevé est à l’évidence un bon marqueur de gravité. En revanche, devant un mode de présentation atypique, un taux de lactate normal ou peu augmenté ne préjuge pas de l’existence ou non d’un état septique. Enfin, l’augmentation du taux de lactate sérique n’est pas spécifique des états septiques sévères et peut se rencontrer au cours des syndromes hémorragiques, de tous les états de choc, des anémies et hypoxémies sévères, des crises convulsives ainsi qu’au cours du diabète, de certains cancers et lors de la prise de certains médicaments (4).

 

A l’heure actuelle, le marqueur d’identification du sepsis qui semble réunir le plus d’atouts est la procalcitonine (PCT). Cette protéine, pro-hormone de la calcitonine, n’est pas détectée en temps normal dans le sérum de sujets sains. En revanche, ses taux s’élèvent de manière sensible et spécifique au cours des infections bactériennes et parasitaires sévères, mais pas (ou très peu) dans les infections virales ou les états inflammatoires d’origine non septique. De nombreuses études sont venues confirmer la valeur diagnostique mais aussi pronostique de ce marqueur, aussi bien aux urgences qu’en réanimation (5-8). Il existe de plus une relation entre la valeur de la PCT et la gravité. L’intérêt de la PCT dans ce contexte est double : dans les formes atypiques d’état septique, une PCT > 0,5 ng/ml permet d’évoquer l’origine infectieuse des troubles et des valeurs > 2 ng/ml de l’affirmer (ou du moins la participation d’une étiologie infectieuse au tableau présenté). Sur un plan pronostique cette fois-ci, un patient infecté ayant une PCT < 2 ng/ml est à faible de risque de développer un état septique sévère (sepsis sévère ou choc septique). Inversement, le même patient avec une PCT au dessus de 5 à 10 ng/ml doit être étroitement surveillé et monitoré afin d’identifier précocement la survenue de critères de sepsis sévère faisant discuter le transfert en service de réanimation. Selon la valeur, des taux de PCT augmentés permettent ainsi soit d’identifier l’existence d’une infection bactérienne (et par là même incite à pousser plus en avant la recherche du foyer infectieux) soit d’en identifier la gravité (incitant à rechercher très attentivement l’existence de défaillances d’organes signant l’existence d’un sepsis sévère).

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lactates et sepsis:

http://www.bing.com/search?q=dosages%20des%20lactates%20et%20sepsis&pc=conduit&form=CONTLB&ptag=A79532A4DA6FC4188B7F&conlogo=CT2542115

 
sepsis /dosages PCR et Procalcitonine
interet therapeutique :
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equilibre acido basique :
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ABCdaire TRES interessant:
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URGENCES /REA
articles /blogs/VIDEOS
 

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http://www.urgences-serveur.fr

avt de commencer 1  PEU D'HUMOUR !! ne fait pas de mal

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BLOG d'un medecin pompier tres interessant

http://med-sp.over-blog.fr/article-pose-d-une-voie-intra-osseuse-42555159.html (n'hesites pas clic)

 Urgence /voie d'abord differente :

LA VOIE INTRA OSSEUSE 

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AUTRE site internet a consulter

http://www.reanesth.org/spip/rubrique.php3?id_rubrique=93 TRES INTERESSANT,  TRES DEVELOPPé

http://www.reanesth.org/spip/rubrique.php3?id_rubrique=93

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http://www.urgence-pratique.com/

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POSITION LATERALE DE SECURITé :

sur personne qui respire mais inconsciente

L'inconscience

inconscience-photo
La victime ne parle pas, ne réagit pas et respire ...

Que faites-vous ?

Si la victime est inconsciente, et si sa poitrine se soulève régulièrement, il faut libérer les voies aériennes et la placer en position latérale de sécurité.

Les étapes de l'intervention

inconscience1
Vérifiez que la victime ne réagit pas.
inconscience2
Libérez les voies aériennes.
inconscience3
Vérifiez que la victime respire.
inconscience4
Tournez la victime sur le côté en position latérale de sécurité.
inconscience5
Demandez à quelqu'un d'appeler les secours ; allez chercher de l'aide si vous êtes seul.
inconscience6
Vérifiez régulièrement la respiration de la victime jusqu'à l'arrivée des secours.

Technique : la libération des voies aériennes

inconscience7

En cas de perte de conscience, les muscles sont relâchés, ce qui provoque une obstruction des voies aériennes par la chute de la langue dans le fond de la gorge.
Ce risque peut-être écarté en basculant la tête de la victime en arrière et en soulevant son menton.
Ce risque peut-être écarté en basculant la tête de la victime en arrière et en soulevant son menton.

 

inconscience8

Desserrez si vous le pouvez le col, la cravate ou la ceinture de la victime.

Placez une main sur le front de la victime et basculez délicatement sa tête vers l'arrière.

Dans un même temps, positionnez l'extrémité des doigts de l'autre main sous le bout du menton de la victime et soulevez celui-ci pour décoller la langue du fond de la gorge et dégager ainsi les voies aériennes.

N'exercez aucune pression sur la région molle située sous le menton pour ne pas entraver la respiration.

 

inconscience9

Vérifiez la respiration de la victime :

Vérifiez que la poitrine se soulève et s'abaisse régulièrement.

Ecoutez les bruits de la respiration en approchant votre oreille de sa bouche.

Essayez de sentir le souffle de sa respiration en plaçant votre joue près de sa bouche.

 

Technique : la mise en position latérale de sécurité (PLS)

Si la victime porte des lunettes, ôtez-les lui.

Assurez-vous que ses jambes sont allongées côte à côte. Si ce n'est pas le cas, rapprochez-les délicatement l'une de l'autre de manière à les placer dans l'axe du corps.

inconscience10

Disposez le bras de la victime le plus proche de vous à angle droit de son corps. Pliez ensuite son coude tout en gardant la paume de sa main tournée vers le haut.

Placez-vous à genoux ou en trépied à côté de la victime.

 

inconscience11

Saisissez l'autre bras de la victime d'une main, placez le dos de sa main contre son oreille, de votre côté.

Maintenez la main de la victime pressée contre son oreille, paume contre paume.

 

 

inconscience12

Attrapez la jambe la plus éloignée de vous avec l'autre main, juste derrière le genou, et relevez-la tout en gardant le pied au sol.

Placez-vous assez loin de la victime, au niveau de son thorax, pour pouvoir la tourner sur le côté vers vous, sans avoir à reculer.

 

inconscience13

Faites rouler la victime en tirant sur sa jambe jusqu'à ce que le genou touche le sol.

Dégagez doucement votre main de sous la tête de la victime en maintenant son coude de votre autre main afin de ne pas entraîner sa main et d'éviter ainsi toute mobilisation de sa tête.

 

inconscience14

Ajustez la jambe située au-dessus de sorte que la hanche et le genou soient à angle droit.

inconscience15

Ouvrez la bouche de la victime d'une main, avec le pouce et l'index, sans mobiliser la tête, afin de permettre l'écoulement des liquides vers l'extérieur.

Demandez à quelqu'un d'appeler les secours ou bien allez chercher de l'aide si vous êtes seul.

Vérifiez régulièrement que la respiration est normale.

 

Ces contenus sont extraits du guide des gestes qui sauvent de la Croix-Rouge française, remis à chaque participant à une formation PSC 1. Textes : Dr Pascal Cassan, Dr Daniel Meyran, Dr Vincent Hubert - Photo : Valérie Archeno - Illustrations : Philippe Diemunch - Pictogrammes : Yann Brien.

 MASSAGE CARDIAQUE:

DEFIBRILLATEUR :

 

emission santé france3

 

 

http://programmes.france3.fr/speciale-sante/index.php?page=article&numsite=2660&id_article=12623&id_rubrique=2663 (clic)

 

AUTRES LIENS INTERESSANTS :

 

 http://www.croix-rouge.fr/Je-me-forme/Particuliers/Les-6-gestes-de-base/L-arret-cardiaque-les-gestes-de-secours
Et http://www.1vie3gestes.com/

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Module Urgence-Réanimation

 

 - http://www.infirmiers.com/etudiants-en-ifsi/cours-en-vrac/cours-en-vrac-module-urgence-reanimation.html

Clic et trouve le domaine urgence et reanimation qui t'interesse .............. 

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la canule de shiley:                 

http://soins.hug-ge.ch/techniques_soins/techniques/appareil_respiratoire/Canules_utilisees_HUG_contenu.html

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TRACHEOTOMIE et divers canule post tracheotomie:   

http://www.reanesth.org/reanesth/02formcont/jarcas/2006/jarca_2006/articles/kines/05wibart.pdf

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LES DROGUES D'URGENCE :

 

http://www.infirmiers.com/pdf/cours-en-vrac/medicaments-d-urgences.pdf 

(clic tres interessant)

ET HSHC 500mg(10ml) (1ml/50mg) DETRESSE VENTILATOIRE (ASTHME AIGU GRAVE, OEDEME LARYNGé

 http://www.urgences-serveur.fr/HSHC-hydrocortisone,1046.html

ETaussi L'ADRENALINE(video):

http://www.bonjour-docteur.com/article.asp?IdArticle=287&IdBloc=3

et aussi

http://www.samu54.fr/images/71/download/pos.pdf

PDF // medicaments d'urgence SAMU 54 SMUR NANCY

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Sommaire   

 

[masquer]

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Septicemie video emission medicale :

http://www.bonjour-docteur.com/article.asp?IdArticle=180&IdBloc=Tout

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 video Le SYNDROME DES LOGES:
 
http://www.bonjour-docteur.com/article.asp?IdArticle=156&IdBloc=Tout
 
 
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Urgences

Nombre d'articles de la rubrique Urgences : 114

Rechercher dans la rubrique Urgences:

ABCDEFGHIJKLM
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11 résultats pour la lettre A  



 

 

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http://frankpaillard.chez-alice.fr/anesthesie_cours2.htm

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MEDECINE D'URGENCES: Posté le Vendredi 20 Février 2009 à 16h41

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Catégorie:Médecine d'urgence

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Article principal : Médecine d'urgence.

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Médecine d'urgence.

Sous-catégories

Cette catégorie comprend 5 sous-catégories, dont 5 sont affichées sur cette page.

N

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T

U

V

 

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urgences-online Posté le Samedi 14 Février 2009 à 18h35

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Pneumologie

Dernier ajout – mercredi 9 janvier 2008



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INTOXICATION MEDICAMENTEUSE :

urgence-online Posté le Samedi 14 Février 2009 à 18h28

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Intoxications médicamenteuses

samedi 18 octobre 2008, par Dr Michel NAHON


Toute intoxication médicamenteuse volontaire doit entraîner une hospitalisation, même si celle-ci est de courte durée, et une consultation psychiatrique avant la sortie du patient.

TRI

Prise en charge systématique au SAS de déchoquage -> Niveau 1

MISE EN CONDITION

- Oxygénothérapie à adapter à la SpO2
- Voie veineuse périphérique : NaCl 0,9% en garde veine
- Monitoring scope, saturomètre
- ECG
- Glycémie et correction d'une hypoglycémie

DIAGNOSTIC

Toujours éliminer une autre étiologie devant un trouble de la conscience ou une détresse respiratoire.

Toxique connu

- recherche de toxiques urinaires inutile
- dosage sérique utile dans certaines intoxications : paracétamol, digitaliques…

Toxique non identifié

- recherche de toxiques sériques (sérothèque)
- traitement symptomatique des détresses (conscience, hémodynamique, ventilation)
- l'analyse toxicologique ne doit pas retarder la prise en charge
- le traitement spécifique (antidote) doit être débuté sans attente. L'analyse toxicologique sera faite après l'administration de l'antidote et permettra d'établir le pronostic ou parfois d'adapter le traitement.

Indication à une hospitalisation en réanimation médicale

- Défaillance cardio-circulatoire : états de choc (carbamates) , troubles du rythme ou de la conduction (analyse ECG +++ : tachycardie, augmentation du QT, élargissement des QRS > 0,10 secondes avec les anti-dépresseurs tricycliques)
- Défaillance respiratoire : toxique (dépression des centres respiratoires) ou secondaire (inhalation) ou d'origine centrale (trouble de la conscience).
- Troubles neurologiques : Glasgow < 7, convulsions, altération rapide de la vigilance.
- Type de toxiques : anti-arythmiques, chloroquine, digitaliques, inhibiteurs calciques, béta-bloqueurs, IMAO, paraquat, carbamates, colchicine, insuline, chélateurs du calcium, barbituriques…
- épuration extra rénale si alcoolémie > 5 g/l ou lithémie plasmatique élevée > 5 mEq/l.

BILAN COMPLEMENTAIRE

- Radio pulmonaire
- ECG répétés
- ionogramme sanguin
- GDS avec HBCO.

INDICATIONS DE L'EPURATION DIGESTIVE

Le charbon activé doit rester exceptionnel aux urgences, le lavage gastrique est réservé aux intoxications vues dans l'heure qui suit l'ingestion

Lavage gastrique (LG)

- Indications :

en cas d'intoxication de substances à fort potentiel toxique avec persistance intragastrique du toxique (moins de 1 heure 30) : toxiques lésionnels, colchicine, paraquat, théophylline, ingestion massive d'antidépresseurs tricycliques.

- Contre indications spécifiques :

instabilité hémodynamique, intoxication de faible gravité, intoxication aux opiacés, benzodiazépines.

Charbon activé (CA)

- Indications : Intoxications récentes (horaire de prise < 2 heures) et à la demande du service de réanimation qui recevra le patient.

- Contre-indications spécifiques : ileus, substance non absorbée : alcools, sels de métaux lourds

- Modalités : mise en place d'une sonde gastrique évacuation du contenu gastrique Administration de 50g de Carbomix® dilué dans 250 ml d'eau potable

- Savoir répéter l'administration en cas d'intoxication aux béta-bloquants, aspirine, carbamates, digitaliques, quinine, théophylline…., surtout LP : 1g/kg ou 50 g, puis 25g / 4 à 6 heures.

CONTRE INDICATIONS DE L'EPURATION DIGESTIVE

- caustiques, hydrocarbures, produits moussants
- vomissements
- absence de protection des voies aériennes (coma, convulsions)

Références

- Médecine d'urgence 1999, SFAR.
- Xe Conférence de Consensus de la SRLF, 1992.
- American Academy of Clinical Toxicology et European Association of Poison Centres and Clinical toxicologists

Pour en savoir plus...

-  Cliquez ici pour visualiser tous les articles sur "Toxiques"



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www.medix.free.fr

 

  

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JUSTE 1 CLIC et les infos necessaires :Image

  •   Accidents des traitements anticoagulants oraux
  •   Alimentations parentérales
  •   Analgésie en urgence chez l'adulte
  •   Anesthésie
  •  

    ET AUSSI VIDEO L'ANESTHESIE :

     

    http://www.bonjour-docteur.com/article.asp?IdArticle=748&IdBloc=Tout

  •   Anesthésiques locaux : accidents
  •   Apprentissage des gestes d'urgence à l'école
  •   Arrêt Cardio Circulatoire
  •   Arrêt cardio-ventilatoire
  •   Assistance cardiorespiratoire sur le terrain chez l'adulte. Chaîne de survie et défibrillation précoce, suite
  •   Bronchiolites
  •   Cathéters centraux
  •   Chaîne de prise en charge de l'infarctus du myocarde à la phase aiguë
  •   Choc hémorragique
  •   Comas(clic sur coma pour lire l'article) 
  • et autre clic lien qui suit pour video:
  • http://www.bonjour-docteur.com/article.asp?IdArticle=808&IdBloc=Tout
  •   Comas Bis
  •   Complication des abords veineux
  •   Conduite à tenir devant un état de choc cardiogénique dans les premières heures
  •   Conduite à tenir devant un état septique aigu
  •   Conduite à tenir devant un traumatisme du rachis
  •   Conduite à tenir devant une hématurie post-traumatique isolée
  •   Contrôle du système endocrinien
  •   Contusions et plaies de l'abdomen
  •   Convulsions de l'enfant
  •   Dermohypodermites bactériennes nécrosantes et fasciites nécrosantes : prise en charge
  •   Diagnostic des douleurs abdominales aiguës, Suite
  •   Diagnostic d'une douleur de hanche chez l'enfant
  •   Diagnostic et traitement d'un état dyspnéique aigu
  •   Diarrhées aiguës infectieuses
  •   Douleurs aigues des membres inférieurs
  •   Embolie pulmonaire
  •   États de choc
  •   Gestes d'urgences en pédiatrie
  •   Gestes d'urgences en pédiatrie Bis
  •   Hémiplégies d'installation soudaine
  •   Hémorragies digestives non traumatiques de l'adulte
  •   Hypothermie accidentelle
  •   Insuffisance Respiratoire Aigue
  •   Intoxications aiguës de l'enfant, Suite
  •   Intoxications par les champignons : principaux syndromes et traitement
  •   Invagination intestinale aiguë du nourrisson et de l'enfant
  •   Lavage gastrique
  •   Malaises et mort subite du nourrisson
  •   Malaise, lipothymie et syncope
  •   Mise en condition d'un patient grave en vue de son évacuation terrestre ou par hélicoptère
  •   Monitorage d'urgence
  •   Morsures, griffures et envenimations : conduite à tenir en urgence
  •   OEdème aigu du poumon d'origine cardiogénique
  •   OEdèmes aigus pulmonaires non cardiogéniques
  •   Pathologie anale : hémorroïdes, fissure anale et suppurations
  •   Plans d'urgences
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  •   Prescription d'un soluté de remplissage vasculaire
  •   Principales urgences iatrogènes médicamenteuses
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  •   Remplissage vasculaire et autres techniques de correction volémique, Suite
  •   Respiration artificielle
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  •   Suivi des patients traités par chimiothérapie : complications urgentes
  •   Syndromes méningés : diagnostic et conduite à tenir
  •   Tables de Choc
  •   Tétanos
  •   Tétanos : prévention et diagnostic
  •   Thrombose veineuse : diagnostic et traitement
  •   Torsion du cordon spermatique et des annexes testiculaires
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  •   Trousse d'urgence
  •   Urgence devant une plaie cervicale
  •   Urgences en ophtalmologie, Suite
  •   Urgences en oto-rhino-laryngologie
  •   Ventilation artificielle
  • les indications et contre indications de la VNI, par Alexandre Demoule >>> http://www.srlf.org/data/FlashConfs/2008/2475/
  •   Vomissements

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    SUTURE et CICATRISATION (video) :

     

     

     

    http://www.bonjour-docteur.com/article.asp?IdArticle=289&IdBloc=Tout

     

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    Liens DIVERS URGENCES:

     

    • Urgences-Online [Urg-Serv], Médecine d'urgence, SAMU, SMUR ...

      UOL-UServ, campus universitaire de médecine d'urgence s'adresse aux étudiants, médecins et professionnels de santé.

    • Urgences-Online [Urg-Serv], Médecine d'urgence, SAMU, SMUR ...

      Urgences Online, campus universitaire de medecine d'urgence, dedie aux etudiants, medecins et professionnels de sante : enseignement DCEM et TCEM, DESC, CMU, CATA, pratiques ...

    • SAMU de PARIS

      26 octobre 2008; En direct d' Urgences-Online (Urgences-Serveur) 17 septembre 2008, par Dr Michel NAHON; 0 | 5 | 10 | 15 | 20 | 25 | 30

    • FOPU.com : Annuaire sites Université

      Urgences Online, campus universitaire de médecine d'urgence, dédié aux étudiants, médecins et professionnels de santé : enseignement DCEM et TCEM, pratiques ...

    • [Urgentiste.fr]

      Annuaire des sites conçus, développés et réalisés par le Dr Michel NAHON* Urgences-Online

    • Sites médicaux partenaires et autres sites web - Polys nationaux des ...

      Urgences OnLine (hits : 14250) ... Si vous aimez remede.org vous pouvez faire un simple lien texte vers http://www ...

      • www.remede.org/projets/liens/polys_nationaux_des_enseignants/93.html
      • · Page en cache
    • Fumée - Wikipédia

      articles du site Urgences Online. Intoxication aux fumées d'incendie; Intoxication au CO ( Monoxyde de carbone ) articles du site Urgence-pratique

    • Recherche Santé

      ... catastrophe Pr CARLI Télécharger le plug-in QuickTimePlayer Diapos au format PDF - CATA Cours en ligne / TCEM, Cours, SAMU de Paris - SMUR Necker Source : Urgences-Online ...

      • www.recherchesante.fr/spip.php?page=actualites-categories&id_rubrique=13&debut_syndic=60
      • · Page en cache
    • Accouchement extra-hospitalier

      le livre du Dr Malinas dans la collection des abrégés Masson - le site Urgences Online en français, avec images - un site espagnol avec imagerie : "de la dilatation à la ...

      • www.adrenaline112.org/urgences/DUrge/DGyne/Acc.html
      • · Page en cache
    • Tétanos - Wikipédia

      Évaluation du risque tétanigène d'une plaie, Urgences Online; Dossier "tétanos" sur le site de l'Institut de Veille Sanitaire, (INVS) Trends in Tetanus Epidemiology in the United ...

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    MANOEUVRE DE

     

     

     

    HEIMLICH :

     

     

     

    L'étouffement

    en video manoeuvre de heimlich :

    http://www.bonjour-docteur.com/article.asp?IdArticle=1148

    etouffement-photo
    Une personne s'étouffe
    et ne répond pas...

    Que faites-vous ?

    Chez les adultes, l'étouffement survient généralement au cours d'un repas, en présence d'autres personnes. Dans tous les cas, il faut agir vite !

    Les étapes de l'intervention

    1
    La victime ne peut pas répondre (elle secoue éventuellement la tête), mais est consciente.
    2
    La victime ne peut ni parler, ni respirer, ni tousser. Elle peut émettre des sifflements ou tenter de tousser sans émettre de bruit.
    3
    Donnez un maximum de 5 claques dans le dos de la victime. Après chaque claque, vérifiez si tout rentre dans l'ordre.
    4
    Si les claques dans le dos n'ont pas d'effet, effectuez un maximum de 5 compressions abdominales.
    5
    Si le problème n'est toujours pas résolu, alternez 5 claques dans le dos et 5 compressions abdominales.
    6
    Si la victime perd connaissance, posez-la délicatement au sol et alertez immédiatement les secours, puis entreprenez une réanimation cardio-pulmonaire en commençant par effectuer 30 compressions thoraciques
    7
    Poursuivez la réanimation jusqu'à ce que les secours arrivent ou que la victime reprenne une respiration normale.

     

    Technique : les claques dans le dos (adulte et enfant de plus d'un an)

    8

    Tenez-vous sur le côté et un peu en arrière de la victime.

    Penchez-la vers l'avant en soutenant sa poitrine d'une main, ce qui permettra à l'objet obstruant les voies aériennes de ne pas s'enfoncer davantage dans la trachée.

    Administrez un maximum de 5 claques entre les omoplates. Chaque claque a pour but de provoquer un mouvement de toux permettant de déloger l'objet.

    Après chaque claque, observez si le corps étranger a été rejeté ou non. Dans l'affirmative, la victime reprend sa respiration et tousse, et il est inutile de lui donner d'autres claques dans le dos.

     

    Technique : les compressions abdominales (adulte et enfant de plus d'un an)

    9

    Tenez-vous derrière la victime et placez vos bras autour de la partie supérieure de son abdomen.

    Penchez la victime vers l'avant.

    Placez un de vos poings fermés entre le nombril et l'extrémité inférieure du sternum.

    Maintenez votre poing en place à l'aide de votre autre main. Enfoncez fortement votre poing vers vous et vers le haut. Recommencez ce geste 5 fois au maximum.

    Ces contenus sont extraits du guide des gestes qui sauvent de la Croix-Rouge française, remis à chaque participant à une formation PSC 1. Textes : Dr Pascal Cassan, Dr Daniel Meyran, Dr Vincent Hubert - Photo : Valérie Archeno - Illustrations : Philippe Diemunch - Pictogrammes : Yann Brien.

    Zoom

    La formation PSC1

    Attention, pour être faits correctement, les gestes indiqués dans cette page nécessitent un apprentissage avec un formateur spécialisé.
    En 10 heures, formez-vous aux gestes qui sauvent avec la Croix-Rouge française, n'importe où en France, en suivant une
    formation PSC 1

    http://soins-infirmiers.com/manoeuvre_de_heimlich.php

     

     

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    INTOXICATIONS

     

     

     MEDICAMENTEUSES

     

     

    ET ANTIDOTES :

     

     

     

     

    Toxicologie d'urgence
    Antidotes

     

    Dr Ph Rault - adrénaline112.org
    Mis en ligne en juillet 1999

     

    Antidotes "d'urgence"

    Produits

    Indications

     Atropine
    Corrige les effets muscariniques des anticholinestérasiques
    Corrige l'effet vagal des digitaliques
     Diazépam
    Intoxication à la chloroquine
     Hydroxocobalamine
    (Cyanokit®)
    Intoxication au cyanure
     Lactate de Na
    Intoxication aux tricycliques
    Naloxone
    Intoxication aux opiacés
     Oxygène
    Intoxication au CO
     Vitamine B6
    Intoxication à l'INH

     

    Antidotes disponibles rapidement

    Produits

    Indications

     Bleu de méthylène Methémoglobinémie
     Calcium gluconate Intoxication par les bloqueurs calciques
    Brulûres par l'acide fluorhydrique (Rubigine®) (Ca en gel)
     Calcium chlorure Ingestion de Rubigine® (Ca per os)
     Digidot® Intoxication digitalique
     Déféroxamine Intoxication par le fer
     Dantrolène Hyperthermie maligne
    Syndrome malin des neuroleptiques
     Ethanol Intoxication au méthanol et à l'éthylène glycol
     Flumazémil Intoxication par les benzodiazépines
     Glucagon Intoxication par les béta bloqueurs
     N-acétylcystéine Intoxication par le paracétamol
     Pralidoxime Intoxication par les organophosphorés
     Vitamine C Methémoglobinémie
     Vitamine K1 Intoxication par les antivitamines K et raticides


    Bibliographie

    Blais R., CAP du quebec
    Baud FJ., Traitements d'urgence en toxicologie, pp 712-715, in Urgences médico-chirurgicales de l'adulte, Ed MassonImage

     

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    Reanimation les traitements:

    http://www.med.univ-rennes1.fr/wkf/stock/RENNES20100125122514yletulzoetats_de_choc_diagnostic_et_traitement_2009-10.pdf

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    crush syndrome/rhabdomyolyse

    http://fr.diagnosispro.com/les_information_sur/syndrome-d%27%C3%A9crasement/12730.html

    RHABDOMYOLYSE Posté le Vendredi 20 Février 2009 à 19h24

    Image

     

    Rhabdomyolyse

    Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

    Rhabdomyolyse
    CIM-10 : M62.89, T79.6

    En médecine, la rhabdomyolyse désigne la destruction de cellules musculaires.

    Sommaire

    [masquer]

    Étiologie [modifier]

    Les cas typiques sont :

    • le traumatisme musculaire entrainant un écrasement.
    • l'anoxie prolongée, par exemple suite à une compression d'une partie du corps : garrot, ensevelissement (on parle alors du syndrome de Bywaters, du syndrome des ensevelis ou crush syndrome).
    • l'ischémie : occlusion d'une artère à destinée musculaire entraînant la mort (nécrose) des tissus non irrigués.
    • La prise de toxiques (cocaïne, venin)
    • médicamenteux (statines, fibrates, succinylcholine).
    • l'électrisation (passage de courant électrique dans le corps) ;
    • certains efforts physiques violents et prolongés lorsqu'ils sont pratiqués sans préparation adequate (marathon, triathlon extrême, musculation...)
    • consommation de champignon Tricholoma auratum ou Tricholome équestre (alias Chevalier, Jaunet, Bidaou), pourtant réputés comestibles. La rhabdomyolyse survient ici de façon dose dépendante.Une consommation répétée pouvant éventuellement entraîner la mort.

    Diagnostic [modifier]

    Le relargage dans le sang d'enzymes musculaires, en particulier la créatine phosphokinase (ou CPK) et la myoglobine permet de confirmer la rhabdomyolyse. Un dosage de créatine phosphokinase supérieur à 5 000 U/L est le témoin d'une rhabdomyolyse massive. Le taux de CPK normal est compris entre 25 et 190 U/L.

    Lors de la destruction d'un muscle, il y a libération de myoglobine qui sera filtrée par les reins. Cependant, la myoglobine est toxique pour les tubules rénaux car elle précipite ce qui a pour conséquence d'entraîner une insuffisance rénale aiguë.

    Le passage de la myoglobine dans les urines leur donne une coloration rouge-brune, d'où le nom qui leur est classiquement donné d'urines "porto".

    Complications [modifier]

    Si elle est massive, la destruction des cellules libère du potassium dans le sang ; cette hyperkaliémie peut entraîner des troubles du rythme cardiaque voire l'arrêt cardiaque si la kaliémie est vraiment élevée. Cela libère également des toxines qui peuvent entraîner la mort à court terme.

    Le relargage dans le sang d'enzymes musculaires peut provoquer une insuffisance rénale par un mécanisme mal connu : historiquement, on pensait que la myoglobine venait léser le rein en précipitant dans le tubule rénal, mais des études récentes seraient plus en faveur d'une oxydation des membranes cellulaires des tubules par les toxines libérées.

    Traitement [modifier]

    Liens [modifier]

    (en)Rhabdomyolysis, J Am Soc Nephrol 11:1553-1561, 2000


     

    Ce document provient de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Rhabdomyolyse ».
    5 commentaires. Dernier par ellhela le 18-10-2011 à 09h50 - Permalien - Partager
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