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la cachina

cuisine et galéjades

L'Europe agressée Publié le Dimanche 30 Août 2015 à 06:57:22

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L’Europe, ce n’est pas Lampedusa, c’est notre civilisation.
L’Europe ce n’est pas l’organisation de Bruxelles, pas davantage une monnaie ou une banque centrale.
L’Europe, ce n’est pas un espace mondialisé et sans frontière.
L’Europe, ce n’est pas le monde africain, ce n’est pas non plus une terre d’Islam.
L’Europe ce n’est ni la laideur ni le non-art.
L’Europe, c’est le continent des Européens.
L’Europe, ce sont des millénaires d’histoire, 700 millions d’Européens.
L’Europe c’est une identité : la civilisation européenne et chrétienne.
L’Europe, ce sont les temples grecs, les aqueducs et les théâtres romains, les chapelles romanes, les cathédrales gothiques, les palais Renaissance, les grandes places, les béguinages, les églises baroques, les châteaux classiques, les édifices Art nouveau.
L’Europe ce sont des rivages sauvages, des montagnes majestueuses, des fleuves paisibles. L’Europe, c’est le sentiment de la nature. L’Europe, ce sont des paysages jardinés par l’homme : des bocages aux polders, des prairies aux cultures en terrasses. L’Europe c’est le terroir du pommier et de l’olivier, de la vigne et du houblon.
L’Europe, ce n’est pas l’univers de la bouffe industrielle, c’est la gastronomie de l’huile et du beurre, du vin et de la bière, du pain et du fromage, du saucisson et du jambon.
L’Europe, ce n’est pas le monde de l’abstraction, c’est l’art de la représentation, de Praxitèle à Rodin, des fresques de Pompéi à la Sécession de Vienne. L’Europe, c’est l’imaginaire celte et le mystère chrétien. L’Europe, c’est la civilisation qui change la pierre en dentelle.
L’Europe, c’est le refus de l’ahurissement, c’est la culture qui a inventé le chant polyphonique et l’orchestre symphonique.
L’Europe, ce n’est pas le monde de Belphégor, c’est la civilisation qui honore la femme : déesse, mère ou guerrière. L’Europe, c’est la culture de la chevalerie et de l’amour courtois.
L’Europe, ce n’est pas le monde de la surveillance, c’est la patrie de la liberté : la citoyenneté grecque, le forum romain, la grande charte anglaise de 1215, les villes et les universités libres du Moyen Âge, le réveil des peuples au XIXe siècle.
L’Europe, c’est un patrimoine littéraire et mythologique : Homère, Virgile, Hésiode, les Eddas, le chant des Nibelungen et le cycle arthurien. C’est aussi Shakespeare, Perrault et Grimm.
L’Europe, c’est l’esprit d’invention et de conquête : c’est Léonard de Vinci et Gutenberg ; ce sont les caravelles, les montgolfières, les débuts de l’aviation et Ariane, ce sont les ponts jetés sur les mers. 
L’Europe, ce sont les héros qui l’ont défendue au cours des siècles : c’est Léonidas et ses 300 Spartiates sauvant la Grèce de l’Asie ; c’est Scipion l’Africain préservant Rome de Carthage, c’est Charles Martel repoussant l’invasion arabe, c’est Godefroy de Bouillon délivrant les lieux saints et fondant le royaume franc de Jérusalem, c’est Ferdinand d’Aragon et Isabelle la Catholique libérant Grenade, c’est Ivan le Terrible éloignant les Mongols de la sainte Russie, c’est don Juan d’Autriche victorieux des Turcs à Lépante.
L’Europe, ce sont des hauts lieux : c’est le Parthénon, la place Saint Marc, Saint-Pierre de Rome, la tour de Belém, Saint-Jacques de Compostelle, le mont Saint-Michel, la tour de Londres, la porte de Brandebourg, les tours du Kremlin.
Tel est notre récit civilisationnel !
Aujourd’hui, l’Europe est l’homme malade du monde. Elle est culpabilisée, colonisée, affaiblie. Ce n’est ni fatal, ni durable. Arrêtons la repentance ! Retrouvons le fil de la longue mémoire. Écoutons le message d’espoir de Dominique Venner :

« Je crois aux qualités spécifiques des Européens qui sont provisoirement en dormition. Je crois à leur individualité agissante, à leur inventivité et au réveil de leur énergie. Le réveil viendra. Quand ? Je l’ignore mais de ce réveil je ne doute pas. »

 

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Voir le Var avant de mourir Publié le Samedi 29 Août 2015 à 08:40:48

Ce n'est pas du chauvinisme mais un arcticle du journal anglais "the telegrah"

 

Source le net

Le Var, premier site européen à voir avant de mourir pour The Telegraph

Le département du Var avec les gorges du Verdon, ses champs de lavandes, ses petits villages de pierre comme sur cette photo de The Telegraph, ses paysages, a été placé par le quotidien britannique comme le premier des 30 sites à voir en Europe avant de mourir. Il devance des lieux prestigieux comme le Barcelone de Gaudi, la Chapelle Sixtine, l'Acropole d'Athènes, le Château de Chenonceau ou encore en fin de ce Top 30, la Tour Effel, Venise, Versailles ou Pompéi.

Quel est pour le journal britannique The Telegraph, le premier site à voir en Europe (au sens large), avant de mourir ? Réponse : le Var. Le département voisin se trouve en tête d'un "top 30" des plus beaux sites et destinations européennes que le quotidien vient de publier dans sa rubrique "Travel" sous le titre "30 places in Europe you must see before you die". Le Var, que The Telegraph présente sur son site Web par la photo ci-dessus, devance ainsi des concurrents pourtant très sérieux. Qu'on en juge : la seconde place revient au Barcelone de Gaudi, la 3ème à la Chapelle Sixtine à Rome, la 4ème à l'Acropole d'Athènes et la 5ème aux fabuleux bassins comme taillés dans la craie de Pamukkale en Turquie.

A noter aussi qu'après le Var, le premier site français du classement est 9ème avec le Château de Chenonceau dans la vallée de la Loire. Pour les Anglais du Telegraph, la Tour Eiffel ne s'inscrit qu'en 22ème position des sites à voir avant de mourir, Venise en 24ème, Versailles en 28ème tandis que Pompéi vient fermer le ban à la 30ème place.

Dans son commentaire sur le Var, le quotidien met en avant les eaux turquoises des gorges du Verdon, les vues émouvantes sur les champs de lavande, les petits villages de pierres du Haut-Var, cachés dans un dédales de petites routes venteuses où il est possible de trouver une excellente cuisine, de merveilleux paysages, moins de foule et un goût de la Provence profonde. Celle que Peter Mayle justement a su si bien populariser en Grande-Bretagne et dans le monde entier à travers son livre "Une année en Provence".

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