30 mai 1631 : Publication de La Gazette, premier journal français.
Paraissant tous les vendredis, la Gazette comportait quatre pages et avait pour rôle d’informer les lecteurs sur les nouvelles provenant de l’étranger, de la Cour. Surtout spécialisée dans les affaires politiques et diplomatiques, elle compte parmi ses premiers membres d’Hozier, Voiture, Bautru et La Calprenède.
En 1762, elle changea de titre pour celui de Gazette de France, avec pour sous-titre Organe officiel du Gouvernement royal. En 1787, Charles-Joseph Panckouke la prit en location et l’ajouta au Mercure de France dont il était propriétaire et au Moniteur universel qu’il fonda peu de temps après.
La Gazette resta silencieuse sur la naissance de la Révolution, elle n’aborda même pas la prise de la Bastille le 14 juillet 1789, se limitant aux actes du gouvernement. Pour satisfaire ses clients, Panckouke publia un supplément, le Gazettin, qui informait les lecteurs du compte-rendu des débats de l’Assemblée constituante.
En 1791, le ministère des Affaires étrangères reprit la Gazette qu’il possédait. Nicolas Fallet fut nommé directeur et elle devint la tribune du parti girondin. Chamfort lui succéda.
À partir du 1 mai 1792, la Gazette parut quotidiennement et prit le nom de Gazette nationale de France après l’exécution de Louis XVI, le 21 janvier 1793. Le ton des articles de la Gazette, dont l’orientation politique changera en fonction des régimes en place, resta impartial et très prudent. Bonapartiste sous le Premier Empire, elle s’affirmera ouvertement royaliste pendant la Restauration.
Cette ligne éditoriale restera le fond de commerce de la Gazette rebaptisée la Gazette de France sous la IIIe République jusqu’à la parution de son dernier numéro en 1915. Elle attire alors des journalistes engagés qui en font l’organe des légitimistes, puis des orléanistes Charles Maurras ou Jacques Bainville.
29 mai:Journée internationale des soldats de la paix, établi par l'ONU.
La Force de maintien de la paix de l'Organisation des Nations unies (couramment Casques bleus en référence à la couleur bleue de leur casque) est une force militaire ayant pour rôle le « maintien ou [le] rétablissement de la paix et de la sécurité internationale », sur ordre du Conseil de sécurité des Nations unies. Ainsi, elle a été envoyée dans plusieurs zones de conflits pour protéger la population civile ou encore servir de force d'interposition.
Cette force ne constitue pas une armée des Nations unies, les Casques bleus étant principalement des militaires prêtés par des pays membres de l'ONU et dans certains cas des civils œuvrant dans la police ou l'administration.
Dans certains cas, cette action de maintien de la paix peut être confiée à une organisation internationale non affiliée au système des Nations unies ou encore à une coalition d'États. Ainsi, le Conseil de sécurité a à plusieurs reprises donné mandat à l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) ou à la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) à travers l'Economic Community of West African States Cease-fire Monitoring Group (ECOMOG).
juste un minuscule article pour cette exposition qui est magnifique
J´adore ce type de peintures qui fait participer le visiteur , on s´y amuse (il faut voir les gens discuter, chercher, voire meme s´énerver)
elle se déroule au Grand palais
cliquer sur le lien pour voir quelques photos (qui sont rigoureusement interdites