Pauvre petit papa perdu dans ton hôpital
Y a un abri pour toi, mon papa chéri
On a la conscience tranquille
Mais quand on regarde tes yeux,
On a le cœur gros.
Après des mois de mauvais coups,
Des envies de te voir mieux.
Ton jardin secret à fait du bruit ce soir…
Des musiciens ont fait vibrer les murs de ton jardin
Mais tu n’étais pas là pour les entendre.
Sans toi, On a le cœur gros mon papa chéri.
Tant de copains sont restés sur ton départ…
Quand je regarde tes mains vides
Je me dis quel gâchis
Et devant tes outils rouillés,
J’ai le cœur gros.
Thanh, mon petit prince ....
je pense à toi du soir au matin.
Dans combien de temps serons- nous réunis?
J'habite au Vietnam
je suis un petit Garçon
Je suis né le 28 Mars 2006
Je suis en parfaite santé
je n'ai aucune particularité
SAUF DE VIVRE EN ORPHELINAT.
JE M'APPELLE THANH ET J'EN AI MARRE D'ATTENDRE MES PARENTS ET MA GRANDE SOEUR LILAS DEPUIS CES LONGUES ANNES.
"Faites vites les documents pour le Ministère de la Justice Vietnamienne et venez me chercher,
je vous attends"
Signé : P'TIT FRERE
L'année 2011 nous a confié notre lot de difficultés ...
J'ai envie de croire que 2012 nous offrira beaucoup de petits bonheurs et de grandes joies à partager avec ceux que nous aimons.
La Gaule Romaine : Histoire sur les courses de char des Jeux an Arène
Les courses étaient précédées d'un défilé solennel (la pompa), débutaient par le tirage au sort entre les 4 factions : les blancs, les bleus, les verts et les rouges. Le signal de départ était donné par le président des jeux en jetant de sa loge une étoffe blanche.
Les pilotes (cochers) devaient s'entraîner durant des années à conduire un char avant d'affronter la compétition : beaucoup mourraient et certains devenaient des héros pour lesquels on érigeait des statues.
Le Héro de ma Lilas est bien vivant,
Il s'entraine depuis des années
Sa statue n'est pas visible puisqu'elle est érigée
dans nos coeurs.
Le suprême degré de la sagesse c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue pendant qu'on les poursuit" O. Wilde.