Union libre, ceci par définition,
C’est assurément une déviation.
Et lorsque les couples n’ont point d’Enfant,
Ce ne peut paraître vraiment trop gênant.
S’il se trouve dans le foyer de tous petits Enfants,
Ils ont deux noms distincts, c’est même décevant.
Le concubinat est souvent un manque de confiance,
Envers son partenaire, qui a recours à la méfiance.
Je souhaite sincèrement du bonheur à ces concubins,
Car eux aussi peuvent avoir quelquefois du chagrin.
Les couples qui s’aiment ainsi tendrement,
Poursuivent leur chemin très allègrement.
Et soyez malgré tout, toujours heureux,
Pour ce bonheur souvent malchanceux.
La bonne éducation des Enfants étant prioritaire,
Et il est bien nécessaire d’être un peu autoritaire.
La condition pour vivre toujours à deux,
Est de ne pas être vraiment malheureux.
Bonne chance, les amoureux,
Restez toujours très radieux.
Hors mariage,
Etre très sage.
Tant que l’on trouvera de la viande dans les magasins,
Je n’irai pas vous achever car c’est vraiment mesquin.
Les animaux de la très belle forêt sont mes amis,
Je ne souhaite point qu’ils aient des tas d’ennuis.
Ah oui ! Le chevreuil de la forêt c’est bon,
Je soutiendrai, que c’est tellement mignon.
Si le lièvre avait la parole, il dirait «canailles»,
Maintenant il est bien temps que l’on s’en aille.
Et il y a aussi la si belle poule d’eau,
Qui n’a rien à se mettre sur son dos.
Alors vous avez bien-sûr compris où Je veux en venir,
C’est pour que vous sachiez qu’il faut de suite en finir.
Amoureux de la forêt, voilà, que vous me soutiendrez,
Sans nul doute si possible c’est cela que vous blâmerez.
Oter la Vie des animaux réellement inoffensifs,
Il y a lieu de croire à un rêve et être persuasif.
Le plaisir se trouve seulement, dans l’Amour,
C’est bien le splendide sommet du non-retour.
Les animaux de la belle forêt, vous saluent,
Et aussi ceux qui se trouvent dans les talus.
Tuer pendant tes rêves !
Tes nuits seront brèves !
C’est bien l’été aussi nous partons pour nous promener,
A travers les bois et petits chemins, nous allons flâner.
Le soleil toujours resplendissant illumine les feuillages,
On apprend de la Nature qu’il faut l’aimer davantage.
Sachons être des vrais amoureux de la Nature,
Les animaux font partie du décor, ils pâturent.
Et un joli petit ruisseau les abreuve,
Ils ont vraiment très soif, la preuve.
Les pâquerettes fleurissent dans tous les prés,
C’est remarquable, elles savent bien se parer.
Aussi rien n’est égal aux merveilleuses lavandes,
Pour l’excellente bonne odeur qu’elles répandent.
La montagne aussi est réellement splendide,
On aperçoit la neige c’est vraiment candide.
C’est que de l’enchantement, d’entendre tous ces oiseaux,
On les voit bien dans le ciel bleu et à travers les roseaux.
La Nature, est assurément toute radieuse,
Lorsqu’on la regarde elle est merveilleuse.
La Nature, chante le grand bonheur,
Et c’est une véritable petite douceur.
L’Amour d’une si belle Nature,
Préparez vous pour l’aventure.
La Sagesse toute la beauté des grandes Vertus,
Qui s’engage dans cette voie, ne sera pas déçu.
C’est absolument merveilleux pour ceux qui ont cru,
Tous les obstacles ont été ainsi gentiment parcourus.
Merveilleuse es-tu Sagesse à l’infinie,
Nous t’aimons pour ton grand génie.
Et la vérité dans la grandeur de l’Amour,
Font aussi de la Sagesse un ultime retour.
Aussi rien n’est plus sublime que la gracieuse Sagesse,
C’est assurément le plus haut niveau de la délicatesse.
Ma Sagesse tu es comparable à du pur diamant,
Tu seras toujours, un formidable enchantement.
Ta grande beauté ressemble également à notre soleil,
Qui nous donne chaque belle saison, c’est bien pareil.
On ne se lassera assurément jamais, de ta pureté,
Car cela est véritablement d’une splendide clarté.
Sagesse sensible Je t’aimerai infiniment, toujours,
D’un Amour aussi parfait pour la suite des jours.
Tu es le sommet des plus grandes merveilles,
Toi seulement peux nous maintenir en éveil.
La Beauté d’une grande Sagesse,
L’Amour dans toute sa Richesse.