Un regard sur l'outre-mer

Nous tous posons les mêmes questions, ces phénomenes

cycloniqes à répétition,les étés execivement chaud, est-ce

tous ces accumulations seraient-ils pas un signe avant

coureur.

En cette fin d'année 2016, les spécialistes de la météo,

restent très en retrait de tout cela.

Demain il aura peut être une amélioration significative.

Des milions de personnes attendent une solution immédiate sur

l'avancée de ce virus, comme disait la chanson : «Faut-il attendre encore    ou désesperer ? »           

En cette veille de 2017,il faudrait un appareil pour mesurer

la souffrance de ces femmes, hommes et surtout des

enfants.

Sans angelisme du tout, cette réalité dépasse tout ce que l'on a pu

observer dans ce monde de "vingt-quatre heures chrono".

Pendant que vous lisiez ces quelques lignes la situation est

en train de s'agraver dans toutes ces régions concernées !!!

Tout au début c'était une petite chose, qui était très localisée. Mais voilà au fil des temps, cela est devenu planétaire.
 Quoi que l'on dise, ce phénomène qui est apparu, ne posait pas de problème suffisamment grave pour que cela soit un problème planétaire.
   Mais aujourd'hui, cette situation perdure, non seulement la solution tarde à  venir, mais il y a de plus en plus des secteurs concernés ...

    Personne  n'a rien vu venir, mais elles sont présentes, on pourrait presque voir la suite des épisodes d'un feuilleton télévisé dont je ne dirait pas le nom.
    Ces séquences diffusées en noir et blanc, qui disaient qu'ils
était  là, aujourd'hui c'est peut-être la fiction qui est en train de nous réveiller, avec ces petites bêtes qui connaissent aucune règle.
    C'est suffisamment grave pour que cela mérite réflexion ….

    Petites bêtes en réalité, mais qui causent des gros problèmes régionaux et aussi  mondiaux…

    Dans  ce contexte ou tout est lié sur ce globe terrestre, la solution ne se trouve pas, dans les secteurs concernés dans l’immédiat, mais dans l'ensemble des pays que constituent  le globe terrestre.

      En ce qui concentre les zones déjà touchées, une solution pérenne pourrait être envisagé.
       Celà ne pourait pas sans doute effacer la souffrance causer, par ces choses* qui font tant de mal dans des secteurs, dans  certaines parties de la planète déjà fragilisées..