Ces régions sont déorganisées après ces tempêtes
tropicales, cyclônes voir ouragans qui portent des
prénoms qui ont rien à voir, avec leurs états dévastateur.
Ces phénomènes portent des prénoms qui a rien de
logique avec les conséquences que sussitent leur
passage.
Les populations concernées font le « do-rond », mais cela
ne change rien au conséquences post-tempêtes,suite
aux cyclônes ou àprès les ouragans.
Avec des moyens très limités, ils ou elles fond que colmater
les brêches en attendant des jours meilleurs.
Quand à ZICA, malgré tout avec un « C » ou « K », sans
broder il ou elle est toujours présent dans terres
propices !!!
A moins de deux mois avant les fêtes de fin d'année,
attendons un peu avant de faire un bilan qui ma fois serait
tronqué.
Quoi qu'il en soit, ce serait le ronronnement comme tous
les ans à cette époque,qui termine un cycle.
Bien sûr, on ne peut pas s'arreter tout qui s'est passé, il
faudrait surtout retenir les grandes lignes ...
Faut-il défendre ces secteurs ultramarins, la répone est
bien sûr OUI, parcontre tout le monde n'est surement pas
sur la même longueur d'onde,que se soit le fond ou la
forme.
La solution passerait sûrement, par plus d'informations
diverses.
Les évenements récents sont là pour confirmer ces états
de faits, que se soient ZICA ou les cyclônes de la zone des
caraïbes qui laisseront des séquelles.
Malgré tout reste à espérer des jours meilleurs.
La réparation dû au contre-coup de la nature, reste un peu
juste, en réalité ces grands spécialistes essaient , ma foi de
fournir des explications concernant la planêtre terre, avec
les caprices météologiques et en plus de tout la gestion du
virus « ZIKA ».
La solution passetait-il par un concertation planêtaire
transparante, avec une anticipation sur ces phénomènes …
Les nuages sont toujours là, les arbres et quelques
habitations qui ma foi ont résistés, restent en équilibre
horizontal.
Et demain alors ? « ZiCA, et ces coups de vent plus ou
moins destructeur, tant pour la végétation que les
habitations et bien sûr la faune.
En se rapprochant de cette situation, on constate une
manque d'anticipation qui reste toujours devant le fait
accompli.
Les populations concernées, déjà fragilisées sont toujours en
attente d'une solution durable ….