Un regard sur l'outre-mer

    Petites bêtes en réalité, mais qui causent des gros problèmes régionaux et aussi  mondiaux…

    Dans  ce contexte ou tout est lié sur ce globe terrestre, la solution ne se trouve pas, dans les secteurs concernés dans l’immédiat, mais dans l'ensemble des pays que constituent  le globe terrestre.

      En ce qui concentre les zones déjà touchées, une solution pérenne pourrait être envisagé.
       Celà ne pourait pas sans doute effacer la souffrance causer, par ces choses* qui font tant de mal dans des secteurs, dans  certaines parties de la planète déjà fragilisées..

En posant cette question, tout le monde serait d'accord

pour qu'il est un résultat positif en ce qui concerne la petite 

bête ZIKA , qui continue malgré tout à finir par créer , des

situations dramatiques dans certain secteur du monde les

plus vulnérable.

Cela devrait s’arrêter, mais quand ?

Est-ce que la solution ne passerait passerait pas, par le

camouflage, leurs piqûres sont si efficace.

Franchement je ne pense pas que ces personnes des

régions concernées seront obliger de renoncer à leur

habitude pour échapper à ce fléau.

Soyons sérieux,l'avenir de cette planète passe par une

responsabilité de tous ...

   Ces petites bêtes se multiplient d'une façon incroyable, je ne parle pas de leurs déplacement qui font partie de leur atout.
   Sur tout le continent, leurs dégâts, restent considérable.
    La solution passe sûrement, par une prise de conscience planétaire.

Évidement il y a d'autres sujets qui font la « UNE » et qui

perdurent dans les médias.

Par contre il y a des informations que nous tous pensent

avoir une priorité de diffusion, ce n'est pas forcement le cas.

Le cas du VIRUS ZIKA non seulement reste dans le

domaine de l'interrogation planétaire, mais propage une

incertitude du futur de la planète.

Les plus optimistes, dans ce domaine ne réagissent que très

peu.

Les manifestations et les grands événements se

passent,sans pour autant parler de ce qui interpelle cette planètre

Les astronautes convertis en scientifiques, même eux

communiquent très peu sur ce sujet précis.