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Le bien-être collectif

Le bien-être collectif

par: brunetisa
Nombre de visionnement: 180
Nombre de mots: 585

Le repas d’affaires est une véritable institution. Il permet de discuter un contrat, de fêter un contrat, de remercier un client, d’entretenir son réseau, de rencontrer des gens. Par manque de temps, cette pratique semble se perdre un peu mais elle reste encore tenace.

Un petit problème peut se produire quand ces repas d’affaires se répètent : la prise de poids. Généralement, ces repas, par convivialité, ne sont pas très diététiques. A force, les calories ingurgitées risquent de se voir sur la balance !

Comment faire pour garder la ligne malgré les repas d’affaires ?
La solution idéale serait de ne plus faire de repas d’affaires. Ce serait un crève-cœur pour certains et un manque à gagner pour d’autres. Alors, au lieu d’en arriver à une telle extrémité, pourquoi ne pas faire en sorte que vos repas d’affaires respectent votre ligne.

Optez donc pour un repas plus léger. D’abord, vous éviterez de prendre du poids, ensuite, l’après-midi, vous ne serez pas trop lourd pour rependre le travail. Tout le monde a déjà dû remarquer qu’après un bon repas, on se sent fatigué, on a envie de faire la sieste, on est moins performant.

Evitez de faire toujours vos repas d’affaires dans une pizzeria ou dans un fast-food ou kebab. Je sais que ce n’est pas commun mais si vous êtes un jeune entrepreneur, ce sera vers eux que vous tournerez en priorité.

Si vous aviez l’habitude de vous rendre dans un restaurant en particulier, modifiez vos habitudes, en mangeant moins et moins gras. Pensez aux légumes verts, aux légumes vapeur, aux salades pas trop garnies, aux poissons, aux menus végétariens. Evitez les frites, les gros desserts, les apéritifs accompagnés de cacahuètes ou de chips.

Si votre restaurant préféré ne propose que des menus riches, demandez au patron de faire des repas plus diététiques, en lui expliquant pourquoi. Si c’est une personne bornée, n’hésitez pas à changer de restaurant. A l’heure actuelle, il existe pas mal de lieux où les repas sont plus équilibrés et meilleurs pour la santé. Vous pouvez, par exemple, opter pour les restaurants végétariens, les vrais, ceux qui savent réellement faire de la cuisine végétarienne goûteuse et diversifiée et non pas ceux qui se prétendent végétariens parce qu’ils proposent de la soupe, 1 ou 2 salades et des légumes accompagnés de quelques céréales cuites à l’eau. Dans ce dernier cas, vous fuirez et vous retournerez dans votre restaurant traditionnel. Les restaurants japonais peuvent aussi être une bonne solution, à condition d’en trouver un bon.

Toutefois, conservez bien en tête que vos repas d’affaires doivent rester un plaisir. Ils doivent être conviviaux. Choisissez des lieux et des plats qui vous plaisent gustativement. Ne vous forcez pas à manger des aliments qui vous rebutent, cela risquerait de gâcher votre repas d’affaires. Cela rejaillira sur votre humeur, ce qui pourrait compromettre la signature d’un contrat. Par contre, sachez que mangez sain et équilibré en éprouvant du plaisir, c’est possible ! Il suffit de trouver le bon cuisinier…


Pour garder la ligne malgré vos repas d’affaires, vous pouvez également ajouter à votre alimentation habituelles 4 aliments naturels.. Pour plus d’information, cliquez ici : http://url-ok.com/3a3ec1

Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

N’hésitez pas à visiter le site Katisa Editions http://www.katisa-editions.com et à télécharger les ouvrages et les audios gratuits.

"Vous êtes autorisé à publier cet article sur votre site à la seule condition de garder le contenu intact, d’indiquer le nom des auteurs et de maintenir les liens cliquables".

À propos de l'auteur

Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel) N’hésitez pas à visiter le site Katisa Editions http://www.katisa-editions.com et à télécharger les ouvrages et les audios gratuits.

Source:

http://www.RedactionWeb.com

 

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Afficher le commentaire. Dernier par t by alexander wang le 10-09-2013 à 19h48 - Permalien - Partager

par: brunetisa
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Le repas d’affaires est une véritable institution. Il permet de discuter un contrat, de fêter un contrat, de remercier un client, d’entretenir son réseau, de rencontrer des gens. Par manque de temps, cette pratique semble se perdre un peu mais elle reste encore tenace.

Un petit problème peut se produire quand ces repas d’affaires se répètent : la prise de poids. Généralement, ces repas, par convivialité, ne sont pas très diététiques. A force, les calories ingurgitées risquent de se voir sur la balance !

Comment faire pour garder la ligne malgré les repas d’affaires ?
La solution idéale serait de ne plus faire de repas d’affaires. Ce serait un crève-cœur pour certains et un manque à gagner pour d’autres. Alors, au lieu d’en arriver à une telle extrémité, pourquoi ne pas faire en sorte que vos repas d’affaires respectent votre ligne.

Optez donc pour un repas plus léger. D’abord, vous éviterez de prendre du poids, ensuite, l’après-midi, vous ne serez pas trop lourd pour rependre le travail. Tout le monde a déjà dû remarquer qu’après un bon repas, on se sent fatigué, on a envie de faire la sieste, on est moins performant.

Evitez de faire toujours vos repas d’affaires dans une pizzeria ou dans un fast-food ou kebab. Je sais que ce n’est pas commun mais si vous êtes un jeune entrepreneur, ce sera vers eux que vous tournerez en priorité.

Si vous aviez l’habitude de vous rendre dans un restaurant en particulier, modifiez vos habitudes, en mangeant moins et moins gras. Pensez aux légumes verts, aux légumes vapeur, aux salades pas trop garnies, aux poissons, aux menus végétariens. Evitez les frites, les gros desserts, les apéritifs accompagnés de cacahuètes ou de chips.

Si votre restaurant préféré ne propose que des menus riches, demandez au patron de faire des repas plus diététiques, en lui expliquant pourquoi. Si c’est une personne bornée, n’hésitez pas à changer de restaurant. A l’heure actuelle, il existe pas mal de lieux où les repas sont plus équilibrés et meilleurs pour la santé. Vous pouvez, par exemple, opter pour les restaurants végétariens, les vrais, ceux qui savent réellement faire de la cuisine végétarienne goûteuse et diversifiée et non pas ceux qui se prétendent végétariens parce qu’ils proposent de la soupe, 1 ou 2 salades et des légumes accompagnés de quelques céréales cuites à l’eau. Dans ce dernier cas, vous fuirez et vous retournerez dans votre restaurant traditionnel. Les restaurants japonais peuvent aussi être une bonne solution, à condition d’en trouver un bon.

Toutefois, conservez bien en tête que vos repas d’affaires doivent rester un plaisir. Ils doivent être conviviaux. Choisissez des lieux et des plats qui vous plaisent gustativement. Ne vous forcez pas à manger des aliments qui vous rebutent, cela risquerait de gâcher votre repas d’affaires. Cela rejaillira sur votre humeur, ce qui pourrait compromettre la signature d’un contrat. Par contre, sachez que mangez sain et équilibré en éprouvant du plaisir, c’est possible ! Il suffit de trouver le bon cuisinier…


Pour garder la ligne malgré vos repas d’affaires, vous pouvez également ajouter à votre alimentation habituelles 4 aliments naturels.. Pour plus d’information, cliquez ici : http://url-ok.com/3a3ec1

Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

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"Vous êtes autorisé à publier cet article sur votre site à la seule condition de garder le contenu intact, d’indiquer le nom des auteurs et de maintenir les liens cliquables".

À propos de l'auteur

Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel) N’hésitez pas à visiter le site Katisa Editions http://www.katisa-editions.com et à télécharger les ouvrages et les audios gratuits.

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Afficher le commentaire. Dernier par je popotte je m'amuse le 21-07-2013 à 10h40 - Permalien - Partager

Pendant les 12 derniers mois, l'administration Obama s'est vue confrontée à l'épineuse question de la réforme de la santé, une pierre d'achoppement qui anime couramment à Washington les débats partisans d'ordinaire inféconds.

Les deux parties dans ce débat se rejoignent néanmoins sur un point: la réforme de la santé, comme tout autre avantage social, est cardinale pour réduire le risque d'une faillite potentielle des États-Unis au cas où les indemnisations décaissées dans le cadre du programme dépasseraient les cotisations versées.

A l'heure actuelle, les autorités minorent une thématique importante inextricablement liée au débat en cours: la notion de « politique gériatrique » du pays.

La gériatrie est la branche de la médecine qui s'occupe du suivi médical des personnes âgées ; quant à la gérontologie, elle a pour objet l'étude des aspects sociaux, psychologiques et biologiques du vieillissement.

La politique gériatrique, dans le contexte présent, se rapporte à l'ensemble des programmes gouvernementaux conçus pour améliorer le bien-être des seniors et réduire les coûts de couverture médicale.

L'amélioration de la politique gériatrique peut être économiquement profitable et fiscalement intéressante pour les contribuables.

Présentement, deux thèses sur le vieillissement humain doivent être discréditées dans la conscience collective.

D'abord, il n'y a aucune limite d'âge fixée par les médecins au delà de laquelle les travailleurs devraient prendre leur retraite. Les êtres humains sont divers et les spécialistes de santé publique affirment unanimement que des facteurs spécifiques peuvent affecter la capacité d'un actif à accomplir ses taches, mais tant que cette personne garde intactes ses capacités cognitives et physiques, elle peut travailler à tout âge. L'âge de la retraite qu'imposent les pouvoirs publics est plus le fait d'une politique sociale que de la biologie.

Le deuxième point offre une certaine illustration empirique du point précédent.

Beaucoup d'élus, dirigeants d'entreprise, activistes sociaux et leaders d'opinion du monde sportif ont habituellement quelques cheveux gris.
Par exemple, le sénat américain a la concentration la plus élevée de personnes âgées démocratiquement élues dans le monde développé. L'âge médian d'un sénateur est de 63 ans, plus ou moins l'âge de départ à la retraite pour la plupart des travailleurs.

Robert Byrd, 92 ans, de l'état de Virginie Occidentale, est l'aîné de cette chambre, suivi du sénateur du New Jersey Frank Lautenberg.

Si nos sociétés consentent à être régies par des personnes âgées, alors il devient commode de gloser que les seniors possèdent une inestimable expérience, même si celle-ci est actuellement inexploitée.

En occident, la montée progressive de l'espérance de vie fut corrélée positivement à l'augmentation des coûts médicaux au cours des années parce que, naturellement, vivre plus longtemps implique des soins de santé plus élevés.

Il est regrettable que nos sociétés postmodernes, emplies d'âgisme, tolèrent que les seniors soient bannis des secteurs productifs en raison de leur manque allégué de productivité économique ou d'utilité sociale.

Cette position sociale est erronée parce que nous gaspillons une partie substantielle de PIB précédemment investie dans l'enseignement traditionnel, la formation d'entreprise, l'assurance-maladie et les autres avantages sociaux nécessaires pour une main d'œuvre productive.

Dans le cas des États-Unis, ces investissements se chiffrent en milliards de dollars.

Des gérontologues reconnus comme JW Rowe et RL Kahn ont constaté que l'une des pierres angulaires d'une vieillesse réussie est une vie active, laquelle par ricochet élève les possibilités cognitives et diminue la probabilité de maladie ou d'incapacité.

Quatre approches distinctes peuvent aider à maximiser le bien-être des aînés, réduire les coûts médicaux et augmenter le bien-être social. Dans un souci d'efficacité, les directions des ministères concernés (santé, affaires sociales, services du 3ème âge, etc.) peuvent être horizontalement intégrés pour créer une agence ad-hoc, identiquement à ce qui fut réalisé dans le monde du renseignement états-unien.

L'état doit concevoir, en tandem avec le secteur privé, une base de données en ligne pour évaluer les disponibilités de compétence chez les seniors; si cette tâche est bien exécutée, ce site Web peut même être rentable une fois que sa popularité augmentera le nombre de visiteurs.

Les 4 programmes sont les suivants:

1) Retraités aidant leurs anciennes compagnies

Les nouveaux retraités s'inscrivent sur le site, indiquant leur compétence professionnelle et leur préférence de secteur d'activité. Les entreprises inviteront alors d'anciens employés (ou d'autres travailleurs possédant un savoir-faire semblable) pour leur expérience sur des projets spécifiques tels que l'intégration informatique, l'organisation d'entreprise, la formation du personnel, etc. Ce paradigme est doublement profitable à la société car un personnel retraité expérimenté est sensiblement meilleur marché que des consultants externes et connaissent mieux la compagnie ou le secteur d'activité.

2) Seniors soutenant des enfants

Des aînés peuvent être mis à contribution dans les activités périscolaires, de la maternelle au lycée. Ils peuvent même enseigner selon leur expérience. Des divers « programmes d'échange » peuvent être organisés, par exemple, entre les maisons de repos et les institutions académiques afin de stimuler la cohésion entre générations.

3) Seniors soutenant des organisations de jeunesse et de réinsertion juvénile

Les expériences des aînés peuvent aider à soulager des jeunes en difficulté et satisfaire à d'autres besoins. Dans certaines circonstances, on peut permettre aux détenus âgés ayant montré un bon comportement et une volonté manifeste de réintégration sociale de conseiller d'autres individus en rupture avec la société.

4) Seniors dans des compétitions sportives au plan national

Dans la même logique de vie active, les autorités devraient encourager des compétitions sportives nationales pour le troisième âge. Bien que l'idée de « Jeux olympiques du 3eme âge » soit un tantinet surréaliste actuellement, un tournoi national est une option plus réalisable et potentiellement plus profitable.

À propos de l'auteur :

Je suis un professionnel des marchés de capitaux (en tant que trader mais aussi comme un passionné des instruments financiers) qui jouit d'une solide expérience dans la gestion de risques d'entreprise. Je suis bilingue et parle couramment anglais.

Mes centres d'intérêt tournent autour de la problématique de l'interdépendance, en particulier l'indispensable interconnexion qui doit lier la géoéconomie et la paix sociale pour accomplir notre destinée collective. J'attache une importance spéciale aux sujets relatifs aux relations géostratégiques nord-sud, la nature et la capacité de la richesse sociale dans le processus de promotion d'un essor économique durable, l'origine structurelle de la pauvreté dans les (soi-disant) pays du Tiers-Monde, et enfin, la nouvelle dynamique impulsée par les (soi-disant) pays émergents.

Par ailleurs, je suis diplômé MBA (Master of Business Administration) de l'Université Rutgers de New Brunswick, dans l'état du New Jersey, et je suis expert-comptable de formation. Je détiens 5 autres certifications professionnelles en gestion, contrôle financier, audit, et en analyse d'investissement. En plus, j'ai deux maîtrises en gestion des affaires et en comptabilité obtenues au Monroe College de New York.


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mutuelle,assurance santé,complémentaire santé

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Pendant les 12 derniers mois, l'administration Obama s'est vue confrontée à l'épineuse question de la réforme de la santé, une pierre d'achoppement qui anime couramment à Washington les débats partisans d'ordinaire inféconds.

Les deux parties dans ce débat se rejoignent néanmoins sur un point: la réforme de la santé, comme tout autre avantage social, est cardinale pour réduire le risque d'une faillite potentielle des États-Unis au cas où les indemnisations décaissées dans le cadre du programme dépasseraient les cotisations versées.

A l'heure actuelle, les autorités minorent une thématique importante inextricablement liée au débat en cours: la notion de « politique gériatrique » du pays.

La gériatrie est la branche de la médecine qui s'occupe du suivi médical des personnes âgées ; quant à la gérontologie, elle a pour objet l'étude des aspects sociaux, psychologiques et biologiques du vieillissement.

La politique gériatrique, dans le contexte présent, se rapporte à l'ensemble des programmes gouvernementaux conçus pour améliorer le bien-être des seniors et réduire les coûts de couverture médicale.

L'amélioration de la politique gériatrique peut être économiquement profitable et fiscalement intéressante pour les contribuables.

Présentement, deux thèses sur le vieillissement humain doivent être discréditées dans la conscience collective.

D'abord, il n'y a aucune limite d'âge fixée par les médecins au delà de laquelle les travailleurs devraient prendre leur retraite. Les êtres humains sont divers et les spécialistes de santé publique affirment unanimement que des facteurs spécifiques peuvent affecter la capacité d'un actif à accomplir ses taches, mais tant que cette personne garde intactes ses capacités cognitives et physiques, elle peut travailler à tout âge. L'âge de la retraite qu'imposent les pouvoirs publics est plus le fait d'une politique sociale que de la biologie.

Le deuxième point offre une certaine illustration empirique du point précédent.

Beaucoup d'élus, dirigeants d'entreprise, activistes sociaux et leaders d'opinion du monde sportif ont habituellement quelques cheveux gris.
Par exemple, le sénat américain a la concentration la plus élevée de personnes âgées démocratiquement élues dans le monde développé. L'âge médian d'un sénateur est de 63 ans, plus ou moins l'âge de départ à la retraite pour la plupart des travailleurs.

Robert Byrd, 92 ans, de l'état de Virginie Occidentale, est l'aîné de cette chambre, suivi du sénateur du New Jersey Frank Lautenberg.

Si nos sociétés consentent à être régies par des personnes âgées, alors il devient commode de gloser que les seniors possèdent une inestimable expérience, même si celle-ci est actuellement inexploitée.

En occident, la montée progressive de l'espérance de vie fut corrélée positivement à l'augmentation des coûts médicaux au cours des années parce que, naturellement, vivre plus longtemps implique des soins de santé plus élevés.

Il est regrettable que nos sociétés postmodernes, emplies d'âgisme, tolèrent que les seniors soient bannis des secteurs productifs en raison de leur manque allégué de productivité économique ou d'utilité sociale.

Cette position sociale est erronée parce que nous gaspillons une partie substantielle de PIB précédemment investie dans l'enseignement traditionnel, la formation d'entreprise, l'assurance-maladie et les autres avantages sociaux nécessaires pour une main d'œuvre productive.

Dans le cas des États-Unis, ces investissements se chiffrent en milliards de dollars.

Des gérontologues reconnus comme JW Rowe et RL Kahn ont constaté que l'une des pierres angulaires d'une vieillesse réussie est une vie active, laquelle par ricochet élève les possibilités cognitives et diminue la probabilité de maladie ou d'incapacité.

Quatre approches distinctes peuvent aider à maximiser le bien-être des aînés, réduire les coûts médicaux et augmenter le bien-être social. Dans un souci d'efficacité, les directions des ministères concernés (santé, affaires sociales, services du 3ème âge, etc.) peuvent être horizontalement intégrés pour créer une agence ad-hoc, identiquement à ce qui fut réalisé dans le monde du renseignement états-unien.

L'état doit concevoir, en tandem avec le secteur privé, une base de données en ligne pour évaluer les disponibilités de compétence chez les seniors; si cette tâche est bien exécutée, ce site Web peut même être rentable une fois que sa popularité augmentera le nombre de visiteurs.

Les 4 programmes sont les suivants:

1) Retraités aidant leurs anciennes compagnies

Les nouveaux retraités s'inscrivent sur le site, indiquant leur compétence professionnelle et leur préférence de secteur d'activité. Les entreprises inviteront alors d'anciens employés (ou d'autres travailleurs possédant un savoir-faire semblable) pour leur expérience sur des projets spécifiques tels que l'intégration informatique, l'organisation d'entreprise, la formation du personnel, etc. Ce paradigme est doublement profitable à la société car un personnel retraité expérimenté est sensiblement meilleur marché que des consultants externes et connaissent mieux la compagnie ou le secteur d'activité.

2) Seniors soutenant des enfants

Des aînés peuvent être mis à contribution dans les activités périscolaires, de la maternelle au lycée. Ils peuvent même enseigner selon leur expérience. Des divers « programmes d'échange » peuvent être organisés, par exemple, entre les maisons de repos et les institutions académiques afin de stimuler la cohésion entre générations.

3) Seniors soutenant des organisations de jeunesse et de réinsertion juvénile

Les expériences des aînés peuvent aider à soulager des jeunes en difficulté et satisfaire à d'autres besoins. Dans certaines circonstances, on peut permettre aux détenus âgés ayant montré un bon comportement et une volonté manifeste de réintégration sociale de conseiller d'autres individus en rupture avec la société.

4) Seniors dans des compétitions sportives au plan national

Dans la même logique de vie active, les autorités devraient encourager des compétitions sportives nationales pour le troisième âge. Bien que l'idée de « Jeux olympiques du 3eme âge » soit un tantinet surréaliste actuellement, un tournoi national est une option plus réalisable et potentiellement plus profitable.

À propos de l'auteur :

Je suis un professionnel des marchés de capitaux (en tant que trader mais aussi comme un passionné des instruments financiers) qui jouit d'une solide expérience dans la gestion de risques d'entreprise. Je suis bilingue et parle couramment anglais.

Mes centres d'intérêt tournent autour de la problématique de l'interdépendance, en particulier l'indispensable interconnexion qui doit lier la géoéconomie et la paix sociale pour accomplir notre destinée collective. J'attache une importance spéciale aux sujets relatifs aux relations géostratégiques nord-sud, la nature et la capacité de la richesse sociale dans le processus de promotion d'un essor économique durable, l'origine structurelle de la pauvreté dans les (soi-disant) pays du Tiers-Monde, et enfin, la nouvelle dynamique impulsée par les (soi-disant) pays émergents.

Par ailleurs, je suis diplômé MBA (Master of Business Administration) de l'Université Rutgers de New Brunswick, dans l'état du New Jersey, et je suis expert-comptable de formation. Je détiens 5 autres certifications professionnelles en gestion, contrôle financier, audit, et en analyse d'investissement. En plus, j'ai deux maîtrises en gestion des affaires et en comptabilité obtenues au Monroe College de New York.


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