Le métro il y a quelques années, c'était l'accueil du poinçonneur, la propreté des couloirs, le portillon qui limitait l'accès des voyageurs au quai entre le passage de deux rames, les distributeurs de bonbons (surtout les pastilles Vichy à la menthe) sur les quais, les derniers wagons en bois avec le contrôleur qui commandait la fermeture des portes et surtout beaucoup moins de monde et d'incidents techniques aux heures de pointe.
Et c'est Serge Gainsbourg qui a immortalisé le métier de poinçonneur, remplacé depuis longtemps déjà par des machines anonymes.