On s'élève assez vite et la vue nous récompense aussitôt.par un panorama qui domine la vallée de Goulier., Vicdessos
Arrivée au col de Risoul après 200m de dénivellée positive.
Des vaches accueillantes
En Ariège, par beau temps on peut apercevoir le village qui est sur la colline d'en face et mesurer les efforts qu'il va falloir procurer pour l'atteindre. Dur dur pour le moral.
Nous arrivons au hameau de Lercoul et profitons du lavoir pour y prendre un frugal pique-nique.
Nous arrivons à Siguer Nous loupons de peu l'épicier ambulant qui passe avant 13h30 et constatons qu'il n'y a aucun bar, ni commerce. Heureusement nous trouvons notre hébergement qui consiste en la salle des fêtes qui est mise gracieusement à disposition par la mairie de Siguer avec : douche chaude, toilettes, évier eau chaude et froide, matelas... Sommaire mais très appréciable quand comme nous, on randonne sans toile de tante. Personne n'est venu nous disputer cet espace, nous avons bien profité du soleil pour laver notre linge et tout a séché sur l'étendage de la cour. Nous avons flané dans les rues de Siguer à la découverte du rendez-vous de chasse des Comtes de Foix. Un aperçu de notre logis
Départ de Siguer à l'aube, la route va être longue et difficile.. .
Ce qu'il y a de sympa dans le GR10 c'est les rencontres ! Dans ce petit village de Gestiés, lors d'un arrêt pour enlever une épaisseur de vêtement, nous avons été dépassé par un GRiste qui traversait les Pyrénées "pour de bon", d'une seule traite, mais assez patient pour discuter un petit bout de chemin avec nous. Un musicien de la Roche sur Yon, professeur de trompette je crois.
que de brumes en arrivant au col du Sasc
Roger devant la cabane de Courtal Marti (fermée je crois)
Et une autre cabane ouverte celle là (Balledreyt) avec des trous dans le toit mais qui nous a dépanné pour prendre notre déjeuner à l'abri du vent. Vue du dessus Vue de face
Ils sont beaux ces cèpes !
Arrivée à la cabane de Clarans puis au refuge de Clarans. Corvée de bois. Soirée auprès de la cheminée en toute intimité. Il fallait le trouver le refuge.
Début de journée dans la brume, sortie du refuge dans les fougères et les hautes herbes mouillées. Il faut se frayer un chemin. Nous passons à côté de la cabane de Clarans. Des campeurs ont installé leurs tantes à proximité. Nous pensons qu'il est temps pour eux de se lever et faisons du tapage en passant à côté. Cette journée va être sûrement la pire par sa longueur pour le moral. Heureusement que nous avions le GPS rando pour suivre les points de jalonnement;
Le plateau de Beille Le beau temps revient, nous sommes au col de la Didorte et Roger dit que nous perdons du temps sur le topo.