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le monde de fafa

farid

Kyuco. prologue Posté le Lundi 2 Novembre 2009 à 17h09

                                             Kyuco
Mon nom est Kyucoo,, enfin, c'est comme ça qu"on m'appelle. il s'agit d'une héroïne de manga dont je suis fan.
l'histoire d'une fille démon qui  lutte pour sortir de sa condition démoniaque,  en  quitant l'enfer.

  au réveil j'avais la tête comme de l'asfalte passé au marteau piqueur.
une nuit de ouf. 3 heures, des coups à la porte.  j'ouvre , dulont , mon proprio..  les yeux globuleux, une barbe de3 semaines, et l'haleine franchement alcolisée.
visiblement il se foutait  de l'heure tardive, et de l'illégalité de sa démarche.
-monsieur Alwalide, raport au loyer! j'sais pas comment q'c'est chez vous les bougnoul? mais ici s'qu'on doit on l'doit et on, le, paye. on est pas à babeloued! alors demain ça prend ses clic et ses clac , et ça va boufer son couscous ailleur.
Ensuite j'ai fais un rêve, à vrai dire , un cauchemar.
j'étais assis sur les toilettes, soudain surgit mon pote bibope, un gun à la main, qu'il me colla sur la tampe gauche.
-descend et boufe!
mais tu... mais qu'est-ce qui t'arrive? t'as pété un cable ou quoi? tu veux q'je mange quoi?
-boufe ta merde!

puits je fus tiré de ce doux songe par la sonnerie de mon portable.  à l'autre bout, bibope.
-j'ai une idée!
je répondis d'une voix ensomeillée de chez ensomeillée. une chose qui ressemblait à:
-guèse du veux laise boi torbir! puits je racrochai.
je n'eus même pas le temps de débuter le commencement d'un clignement de paupières, qu'il était là, lui, bibope, le psycopate qui voulait me faire manger mes excréments.
il ne partirait pas, je décidai donc, de l'écouter
-c'est quoi ta connerie d 'idée, demandai-je  exceder?  
-anarchitecte!
-anarchi quoi?
Alors, il sortit d' un sac qu'il avait apporté, une cassette video qu'il introduisit dans le vieux lecteur posé sur ma télévision. Il s'agissait d' un reportage issu de l'émission tracs d'arte. On y voyait des communautés vivant en otarcie, dans de petites
 maisons circulaires, utilisant diverses sortes de groupe hélectrogéne. Se tournant vers moi Bibope demanda:
-alors?
-alors quoi, c'est complètement débile!
Il ne se démonta pas et pris dans ma table de nuit, mon cahier de poème puis lu à haute voix:

partons, partons vers d' autre cieux, allons mes amis vers un destin glorieux!
or des villes plus de rues,n'ayons plus d'adresse, il faut partir courage fuyons, quittons nos vies d'hommes domestique, soyons sauvages dans se monde stricte!
de vous moutons, je ne serais  du nombre, moi, moi pigeon parmis vous, colombe.    ;;
 -qui a écrit ça?
-oui, mais non...mais...
-c'est qui?
-c'est moi.
j'étais à cour d'arguments, il avait gagné..
-alors, dit-il l'air satisfait.
-alors banco, mais ça s'organise ton truc on devient pas anar-chose comme ça?
-t'inquiète c'est bon j'ai tout prévu t'a juste à venir avec moi.
-tu veux qu'on aille où?
- fais confiance un peu, je t'ai déjà attiré dans des plans foireux moi?
voulait il rire; il était le roi de ce genre de    combine. C'était simple, dès qu'il  vous demandait de lui faire confiance, tout partait sans cesse en vrille. toujours pareil. et moi depuis tout petit je le suivais.. cependant, depuis plusieurs années, je le voyais en pointillé. J'avais commencé  par l'héberger puis un jour, il avait disparu. dés lors, il réapparaissaitt quand  bon lui semblait.
cette fois encore, je participerais  à sa folie. de toute façon, je n'avais pas le choix.
je me levai solicitant  son aide, pour ranger mes affaires. Tandis que nous descendions mes cartons je lui racontai mes aventures nocturnes.
-si j'comprends bien j'te sauve la vie.
puis contemplant l'empilement de mes effet personnels, il s'écria:
-c'est génial ton truc, on dirait une sculpture de louis  armand, j'ai même le titre. accumulation de cartons.
sur ces mots,il s'éclipsa. une demi-heure plus tard il était de retour , sans explication. quelques instants après, une camionette blanche fit son apparition. un homme assez      petit et vêtu de noir sortit du véhicule.
-yo pasteur com here! cria bibope, en direction de son pote.
anarchitecte, le pasteur, ça devenait beaucoup.j'eûx envie de reculer, d'envoyer balader ces deux tarés. mais après réflexion, la sdf attitude, n'était pas trop
mon kif.
-le pasteur! mexclamai-je.
-du calme,  s'en est pas un vrai,  c'est paco, il est juste dans un trip mystique.
les deux zigotos se mirent ensuite à comploter à voix basse.
ils  avaient l'air fin bibope et son mettre quatre-vingts à côté de l'autre,
avec son maître... douze.
soudain le géant dit au nain, on y va.
alors nous partîmes, cinq-cent, enfin, on est  partit tout les trois.
-allons,  partons loin du monde,quittons les sentiers( on va décrocher
la lune, briser l'infortune! istrillons, poëtes et boêmiens, baudelair   rimbaud,
nous voilà!
heureusement pour moi j'avais toujours avec moi un volume
de kyuco fille de l'enfer. je me plongeai donc dans  ses aventures.

 il s'agissait du premier volume.
kyuco avait trois ans, et dans le huitième cercle d e l'enfer, ((où vivait la petite);
les enfants commençait l'école à cet age. un jour   où elle regagnait sa demeure,
kyuco trouva ses parents, mort, au milieu d'une mare de sang.
soudain une nuée de corbeaux  assombri le ciel rouge, de l'enfer.
puis un flash violent, aveugla la fillette.
un homme envelopé dans une cape noire  apparut. il s'agissait de maître cold-king.
j'abandonnai ma lecture, nous étions arrivé.

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