Grattoune's Road Trip

Preambule : Il suffit d'imaginer les accents sur ce blog car avec un clavier americian, les accents n'existent pas. Preambule en bois mais pourquoi pas.

Les bases sont posees, c'est parti. Vous venez d'imaginer un accent aigue sur le premier "e' de posees.

Il est 8h00 du matin, nous sommes le 31 Mai 2009, quand je rentre finalement recuperer mes affaires chez vincent alors que les feria parisiennes ont ete marquees par de grands exploits de la part de tifred, Jojo ainsi que Dodo. Les videos ne sont pas encore visibles sur le net car il y a sur celles-ci de s2rieux droits d'auteurs si je peux dire ainsi.

Bon revenons a nos mouton, j'arrive a l'aeroport, derniers coups de telephones quand j'apprends que des interminables ne se degonflent pas et viennent me dire au revoir une derniere fois.

Me claquer une bonne biz histoire d'avoir le petit bourdon dans les tubes en verres de Roissy. Tout se passe bien jusqu'a ce que j'arrive dans la salle d'attente. Et oui avec une escale a Jeddah (Arabie Saoudite), j'avais plus l'impressionn de partir au pelerinage de la mecque qu'aux philippines ou encore l'australie.

Ca y est 14h , je suis sur mon siege 33G comme Grattoune, il fallait le prevoir. Des voyages comme je les aime : long, le casse pieds d'a cote qui allume ta lumiere alors que c'est lui qui bouquine, le rhum bacardi qui t'emmene sur une autre planete, film sur les pelicans et pour finir 2 toilettes bouchees...

Ca y est j'arrive a Jeddah, il est 19h30 heure locale, les controles sanitaires a cause de la grippe porcine et le service pour le transfert des passagers est en panne. Une personne pour gerer 700 passagers, et bien la pour le coup Hassan Sehef c'est pas possible. Surtout imaginez vous bien, Julien Grattier, un garcon pas du tout stresse dans la vie et avec un anglais deplorable, essayant de manifester sa colere. Obliger de crier en Francais ce qui en a fait rire plus d'un mais qund tu beguayes en Anglais, j'avais l'impression de jouer un sketch dans un cabaret.

Enfin nous passons mais nous partons avec une petite heure de retard. Plus rien ne pouvait m'arriver, si un petit reacteur qui lache au dessus du cambodge, mais non je suis arrive en vie.

On se fait de nouveau mettre des gouttes dans les yeux, un termometre dans le pif, d'ailleurs il y avait plusieurs tailles (certains vont se reconnaitre, hein papa, hein mathieu...)

Les douanes et la big mama avec un regard de tuerie, je ne stress pas et passe les doigts dans le nez.

Le premier pied sur le sol Philippins,33 degres, des gens entasses sur les grilles, Anna a la bourre ( Oui c'est la personne qui me logeait pendant 2 semaines). Les photos de la villa vont suivre.

Je vous previens tout de suite qu'in n'aura pas autant de texte pour chaque photos.

The travel can begin