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la cachina

1000 euros Publié le Lundi 5 Décembre 2011 à 05:04:00

 
 Deux gamines se rencontrent avec chacune leur petit landau avec la poupée dedans. Une dit à l' autre :
 - Oh!... Il est beau ce poupon... Où tu l' as eu?
 Elle répond :
 - Chez Carrefour.
- Tu l' as payé combien?
 - 20 euros...
 A son tour l' autre demande :
 - Et toi le tien il est joli aussi, tu l' as eu où ?
- Chez Auchan...
 - Tu l' as payé cher ?
 - 25 euros.
Et les deux gamines se baladent un peu. Arrive une jeune dame poussant elle aussi un landau, mais bien sûr avec un vrai bébé dedans.
 Les gamines s' arrêtent, regardent dans le landau.
 Une dit:
 - Oh!... Il est beau ce bébé... Vous l' avez eu où Madame ?
Elle répond :
 - Euh... A la maternité...
- Il vous a coûté combien?
- Eh bien... 1000 euros...
 Les gamines continuent leur balade puis arrivées un peu plus loin, une dit à l' autre :
 
 - Tu sais, 1000 euros, à mon avis, elle s' est fait baiser...

 
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L'anniversaire Publié le Samedi 3 Décembre 2011 à 05:00:00
Alzheimer .... les copines coquines
 
 3 vieilles grands-mères sont assises à une table dans une maison de retraite.
 Soudain un vieux grand-père fait son entrée dans la pièce. Une des vieilles grands-mères l’interpelle :
 -Nous parions avec toi que nous sommes capables de te dire ton âge avec exactitude !
 Le vieil homme leur réplique :
  -Cela m’étonnerait beaucoup que vous sachiez trouver mon âge exact, bande de vieilles poulettes déplumées !
 Une des vieilles poulettes lui réplique :
  -Pour sûr que nous savons te le dire ! Baisse ton pantalon et ton slip et nous te dirons avec exactitude l’âge que tu as !
 Un peu surpris mais fermement décidé à leur prouver qu’elles en sont incapables, il baisse son pantalon et son slip.Les petites vieilles lui font faire quelques allers et retours et demi-tours devant elles avant de s’écrier en chœur :
 -Tu as 89 ans !
  Avec le pantalon et le slip toujours baissés, le petit vieux s’énerve :
  -Par tous les saints du paradis, comment avez-vous deviné ?
 Avec des larmes plein les yeux à force d’avoir rigolé, les 3 vieilles s’écrient à nouveau en chœur :
 -
Hier nous étions à ton anniversaire !!!!
 


Afficher les 2 commentaires. Dernier par patrick le 05-12-2011 à 06h09 - Permalien - Partager
Publié le Vendredi 2 Décembre 2011 à 03:32:49
e l'aime bien, celle-là.....C'est une blague québécoise....
           
                       
Une  vieille religieuse  qui vivait dans un couvent à côté d'un chantier de
construction a remarqué le langage grossier des  travailleurs et a décidé de passer
du  temps avec eux pour corriger leur façon de  parler.
 
   
Elle  a décidé qu'elle  prendrait son déjeuner assise avec les travailleurs pour
parler avec eux.
 
   
Elle  mit son sandwich  dans un sac brun et marcha à l'endroit où les  hommes
mangeaient.
 
  
Elle  s’approcha du groupe et  avec un grand sourire dit :
"Eh,  les hommes, savez-vous qui est Jésus-Christ  ?"
 
 
Ils  secouèrent la tête et se regardèrent l’un et l'autre d’une manière très confuse
Un  des travailleurs   cria : «Y  a ti quéqu’un qui connaît Jésus-Christ?»
 
 
Un  des travailleurs de  l'acier demanda : «Pourquoi?» 
   
Le travailleur  répondit :
 
 
« Parce que sa  femme  est ici  avec son  casse-croûte !»


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Publié le Dimanche 27 Novembre 2011 à 16:10:00

La désintégration du système financier international est désormais certaine. Le monde de l’argent, découplé de l’économie réelle, est devenu incapable d’assurer un avenir.

La seule solution possible est de remettre l’émission de crédit au service du travail humain et de produire plus par habitant et par unité de surface. Séparer les banques d’affaires et les banques de dépôt et de crédit, un Glass-Steagall global, est la condition nécessaire pour y parvenir, en se dégageant de l’emprise des spéculateurs pour incorporer plus de pouvoir innovateur dans l’économie. Or au lieu de cela, les gouvernements américain et européens creusent la tombe de leurs peuples en renflouant les mégabanques, en imposant partout des mesures d’austérité destructrices et en promouvant des formes d’énergie « vertes », c’est-à-dire moins denses et donc incapables d’alimenter un tissu industriel.

Aujourd’hui, les régulateurs et les gouvernements se sont laissé déposséder. Les quatre grands marchés de capitaux de la planète sont ainsi devenus des bateaux ivres dérivant dans le brouillard. Le premier, celui des contrats à terme, ou dérivés, représente plus de 600 000 milliards de dollars, soit plus de dix fois le produit intérieur brut mondial (PIB) et plus de vingt-cinq fois la production de biens physiques. Là, 90 % des transactions sont opaques. Sur le second, celui des obligations, 99 % des échanges sont opaques. Pour les devises, 4000 milliards de dollars de transactions quotidiennes se réalisent de gré à gré, c’est-à-dire sans contrôle public, représentant en quinze jours ouvrables plus que le PIB mondial. Sur le quatrième, le marché des actions, la part opaque est de 40 % en Europe et de 70 % aux Etats-Unis. Les plateformes de marché « alternatives », installées à Londres et boostées par la directive européenne des marchés d’intermédiaires financiers (MIF), « tiennent » le reste du monde comme une armée de pirates opérant dans l’ombre. Quand nous parlons de l’Empire britannique, ou Empire financier de la City, c’est précisément ce cancer que nous dénonçons, et que l’oligarchie dominante et ses complices ne m’ont pas pardonné d’avoir dénoncé en 1995.

Les agences Standard and Poor’s et Moody’s ont revu à la baisse leur perspective de notation de la dette américaine. En mai, les créations d’emplois sont trois fois moins importantes que prévu et en ce mois-ci, l’émission de fausse monnaie (quantitative easing) doit ou bien s’arrêter ou bien continuer, l’un ou l’autre choix étant désastreux au sein du système, l’un arrêtant la perfusion et l’autre provoquant l’hyperinflation.

En Europe, la zone euro annonce un second plan de sauvetage vis-à-vis de la Grèce, mais ce plan aide en fait les banques créditrices du pays en détruisant son secteur public, son système social et son appareil de production. On vend le patrimoine du pays, on saigne le peuple et on appelle cela de l’aide. Moody’s a abaissé la note grecque de trois crans à Caa1, ce qui signifie la quasi-certitude d’un défaut. Or celui-ci, par effet domino, entraînerait l’ensemble du système de l’euro. La Banque centrale européenne a « pris en pension » 2010 milliards d’euros d’effets pourris, et elle n’aura de choix que de faire faillite ou de recourir à une émission de monnaie sans limites.

C’est ce mort vivant qu’on nous présente comme notre avenir. L’appel de Jean-Claude Trichet à la création d’un ministère des Finances de l’Union européenne sonne comme un Requiem. La nomination de Christine Lagarde à la tête du FMI pour remplacer DSK est un remake : elle s’est toujours opposée à la procédure Glass-Steagall.

Alors, que faire ? Prendre la clef du Glass-Steagall et ouvrir la porte pour sortir du système.

Jacques Cheminade
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il faut beau en provence Publié le Dimanche 27 Novembre 2011 à 03:41:32

Afficher les 2 commentaires. Dernier par patrick le 05-12-2011 à 06h10 - Permalien - Partager
Publié le Vendredi 25 Novembre 2011 à 15:59:00

Crise voulue, crise prévue

par Louis Even

Nous reproduisons ici un article de Louis Even écrit en 1949. Cet article est encore bien à point aujourd’hui, avec la récession voulue et organisée par les hauts financiers internationaux qui veulent ruiner tous les gouvernements et tous les peu­ples.

Crise de quoi?

Une dépêche de presse, datée du 23 avril dernier, et provenant de Lake-Success, où siègent les Nations-unies:

«recommande que tous les pays se préparent à prendre des mesures efficaces pour affronter une crise mondiale.»

Tous les pays... Crise mondiale... Avouons que ce n’est pas gai à envisager. Mais crise de quoi?

Qu’est-ce donc qui va mettre tous les pays du monde en crise? Tous, face à la misère? Tous en même temps? Et cela, en pleine paix? Une crise, quand au lieu de bombarder des villes, on les reconstruit? Une crise, quand au lieu de raser les industries, on les relève? Une crise, de la misère dans les foyers de tous les pays, alors que les millions de bras vides, longtemps occupés seulement à tuer et à détruire, sont revenus dans leurs pays respectifs, pour aider à produire? Une crise, des privations dans les familles, alors que les hommes et les machines, longtemps absorbés à fabriquer des canons, des obus, des chars d’assaut, sont devenus disponibles pour produire de la nourriture, des habits, des meubles, des maisons?

Est-ce que les hauts conseillers des Nations-unies ont eu une révélation du Ciel? Ont-ils appris que tous les pays vont bientôt être la proie d’une sécheresse universelle? Ou d’un déluge universel? Ou d’une épidémie universelle qui couchera dans leurs lits ou dans leurs cercueils les travailleurs de tous les pays, en même temps?

Une sécheresse universelle, un déluge universel, une épidémie universelle, ce seraient des causes naturelles de crise. Et si telles sont les prévisions, la dépêche de Lake-Success devrait demander à tous les pays de se mettre en prière et de fuir le péché, pour fléchir la colère de Dieu.

Mais ce n’est point du tout cela qu’on conseille aux pays, à tous les pays du monde. On leur demande de se préparer tous à faire face à une crise mondiale, parce qu’elle doit venir; c’est écrit sur le mur de l’observatoire de Lake-Success.

Une crise faite de mains d’hommes

L’avertissement est donné par la sous-commission des Nations-unies sur l’Embauchage et la stabilité économique. Embauchage... stabilité économique... C’est donc une crise de chômage, une crise d’instabilité économique, une crise de culbute de prix, une crise de ventres creux en face de greniers pleins, qu’annonce l’Observatoire économique des Nations-unies.

Ce n’est point une crise naturelle, mais une crise artificielle. Pas une crise de manque de produits, mais une crise de manque d’argent pour acheter les produits. La crise est prévue parce qu’elle est voulue. Ou bien, parce que l’abondance, à mesure qu’on répare les ruines de guerre, est incompatible avec le régime financier imposé à tout l’univers.

Crise artificielle

Crise artificielle. Pas une crise de tem­pérature. Pas une crise de bras. Pas une crise de machines. Rien de tout cela; mais une crise d’argent. Une rareté d’argent, ra­reté que les maîtres de l’argent vont infli­ger à tous les pays du monde en même temps.

Ces financiers-là n’ont pas besoin de convoquer les délégués de 50 nations à San Francisco ou ailleurs, pour établir un organisme international, c’est fait depuis longtemps.

On n’en est pas à leur premier coup de fouet. Ils n’ont pas besoin de siéger des mois et des mois, à écouter des dis­cours, à prendre des votes, à s’immobili­ser devant des veto, à monter des pactes de l’Atlantique ou du Pacifique.

Les rouages de leur mécanisme tour­nent imperturbablement quel que soit le nombre d’humains qui devront passer dans le malaxeur. La petite consolation pour cette crise-ci, c’est qu’on daigne nous avertir d’a­vance tandis qu’on nous prit au dépourvu en 1929:

«Que tous les pays se préparent à prendre des mesures efficaces pour af­fronter une crise mondiale.»

L’ouragan s’en vient, préparez-vous à l’affronter. Comme si la crise était aussi inévitable que les ouragans, les orages, les averses ou les sécheresses. A-t-on jamais vu une crise d’argent ar­rêter la production en temps de guerre ? On a vu des pays capituler, faute d’hommes ou de matériel, mais pas faute d’argent.

Lorsque le président Roosevelt lança son pays dans la deuxième guerre mon­diale, il déclara solennellement que devait cesser le «non-sens financier», et que toutes les forces productives de la nation seraient mises en activité.

Le non-sens financier du temps de paix

Le «non-sens financier» visé par le président, c’était l’arrêt de la production et de la distribution, faute d’argent; c’était le chômage en face de besoins; le président mettait ce non-sens à la porte pour la guerre. Pourquoi lui rouvre-t-on la porte quand la guerre est finie?

C’était bien la peine d’établir un orga­nisme économique des Nations-unies, pour dire à tous les pays de se préparer à rece­voir les coups du non-sens financier, au lieu de demander à tous les pays de met­tre fin, une fois pour toutes, à ce non-sens financier.

Aucun des partis qui aspirent à gou­verner le Canada ne mettra dans son pro­gramme le remplacement du non-sens financier par la logique financière. Seul le Mouvement créditiste dénonce le non-sens financier, seul, il propose l’établissement d’un régime sain, où l’abondance sera une bénédiction au lieu d’être un problème.

Qu’est-ce qu’on fait des personnes qui ont perdu la raison ? On les enferme dans les hôpitaux d’aliénés. Mais quand il s’agit de finance, c’est le non-sens qui tient les rênes.

Louis Even

 

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