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Les amis du colombier Lureuil

HOSPITALE DE LORIOLO

les communes voisines.................. Publié le Samedi 7 Avril 2012 à 12:55:48

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                                 Notre chef lieu de canton ‘’Tournon saint martin’’

 

La première trace de l'existence de ce village nous amène à l'époque gallo-romaine, par l'étymologie de son premier nom qui nous soit connu : "Turnus Magos". "Turnus" semble être le nom d'un chef de tribu ou d'un grand propriétaire terrien, et "Magus", signifiant marché, rappelle l'emplacement de ce village au carrefour de trois provinces, emplacement favorable au commerce : le Berry, la Touraine et le Poitou, provinces déjà constituées à l'époque gallo-romaine. Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune, qui s’appelait Saint-Martin-de-Tournon, change de nom pour Tournon[Jacques-Marie Rougé, dans son "Folklore de la Touraine", nous apprend qu'autrefois existait une coiffe propre à Tournon, qu'il a conservé au Musée du Terroir de Loches qu'il a fondé. Peu avant la grande guerre, fut aménagé au hameau de Coudon un hangar pour le dirigeable "adjudant Réau", dans le cadre des "Grandes Manœuvres du Centre». Dans les années 1920 et 1930 eurent lieu à Tournon-saint-Martin des "cavalcades", des chars décorés par les habitants qui circulaient dans les rues du village, et qui acquirent localement une certaine notoriété.

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Démographie 

En 2008, Tournon-Saint-Martin comptait 1 223 habitants (soit une diminution de 2 % par rapport à 1999). La commune occupait les 7 910 e rangs au niveau national, alors qu'elle était au 7 099e en 1999, et le 32e au niveau départemental sur 247 communes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Tournon-Saint-Martin depuis 1793.

Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité, afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.

Pour les communes dont la population est inférieure à 10 000 habitants, les enquêtes sont exhaustives et ont lieu chaque année par roulement au cours d'une période de cinq ans[] Pour Tournon-Saint-Martin, le premier recensement a été fait en 2004, les suivants étant en 2009, 2014, etc. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1e janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006, qui, pour Tournon-Saint-Martin, est une évaluation intermédiaire[]

Le maximum de la population a été atteint en 1886 avec 1 622 habitants.

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                                                          MARTIZAY

 

 

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En 2008, Martizay comptait 1 041 habitants (soit une stagnation de 1 % par rapport à 1999). La commune occupait les 9 156 e rangs au niveau national, alors qu'elle était au 8 269e en 1999, et le 39e au niveau départemental sur 247 communes. L’évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Martizay depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint en 1846 avec 1 945 habitants

 

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 http://musee.martizay.pagesperso-orange.fr/

http://amisduvieuxmartizay.pagesperso-orange.fr/


                           

 

                                       Mérigny à 12 kms de Lureuil

 

 

 

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En 2008, Mérigny comptait 562 habitants (soit une diminution de 2 % par rapport à 1999). La commune occupait les 15 080 e rangs au niveau national, alors qu'elle était au 13 800e en Le maximum de la population a été atteint en 1800 avec 1 345 habitants1999, et le 89e au niveau départemental sur 247 communes

 

 

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 http://merigny.pagesperso-orange.fr/associations/amis_merigny.html

 


 

                                       Lurais 8kms de Lureuil

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Du passé lointain du village avant l’an mil, on ignore à peu près tout. Le choix du site par les premiers habitants tient sans doute moins à la proximité de la rivière qu’à la forte saillie de la falaise calcaire, qui ménage des anfractuosités propices à un habitat troglodyte ou semi-troglodyte : aujourd’hui encore, plusieurs maisons du village sont adossées à la falaise ou s’y prolongent par des caves ou par des granges. Des habitats troglodytes sont attestés dans la région – plus au sud, c’est l’origine de l’ermitage du moine Gombault, ancêtre éponyme de l’abbaye de Fontgombault, plus au nord on retrouve ces dispositions dans la région de La Roche-Posay ou dans celle de Beauval.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Le prieuré de Lurais disparut au début du XVIIe siècle, mais l’abbaye de Saint-Cyprien conserva une partie de ses biens et de son influence sur le village jusqu’à la Révolution. Le prieuré devint une seigneurie affermée par l’abbé de Saint-Cyprien ; les bâtiments du prieuré proprement dits furent désormais désignés sous le nom de « château de Lurais », qui leur est resté jusqu’à présent, et servirent au stockage des récoltes ; jusqu’en 1789, le curé de Lurais fut nommé sur présentation de l’abbé de Saint-Cyprien. La puissance des seigneuries ecclésiastiques était cependant en recul : en 1715, Mathieu Pinsonneau, marquis du Blanc, déclarait posséder ainsi plusieurs rentes et droits sur le prieuré de Lurais.

Les familles nobles de Lurais et de ses environs sont moins bien connues que les seigneuries ecclésiastiques qui y exerçaient leur influence. La noblesse locale avait des attaches en Berry comme en Poitou, voire en Touraine et en Limousin. En 1736, un sieur de Landeterre, gentilhomme de Lurais, était accusé de faux-saunage aux environs d’Ingrandes. Les Le Picard de Phélypeaux, originaires de Blois mais appartenant à la noblesse du Poitou, possédaient des fiefs à Lurais, notamment la seigneurie de la Comté.

À la veille de la Révolution, sur le plan administratif et fiscal, Lurais appartenait au gouvernement de Poitou, à la généralité de Bourges, à l’élection et à la subdélégation du Blanc. Sur le plan judiciaire, le village relevait de la coutume de Poitou, du présidial de Poitiers et du Parlement de Paris. Sur le plan ecclésiastique, la paroisse dépendait de l’archiprêtré d’Angles et du diocèse de Poitiers.En 1790, lors de la formation des départements, cinq paroisses de l’ancien diocèse de Bourges furent données au département de la Creuse. En compensation, l’Indre reçut sept paroisses de l’ancien diocèse de Poitiers : Lurais, Mérigny, Ingrandes, Saint-Hilaire-en-Benaize, Jauvard, Tilly et Bonneuil. Lurais prit place dans le canton de Tournon-Saint-Martin et le district du Blanc. Comme aujourd’hui, le canton de Tournon-Saint-Martin se composait alors des communes de Fongtombault, Lurais, Néons, Preuilly-la-Ville et Tournon-Saint-Martin (procès-verbal de la division du département en districts et cantons par les députés de l’Indre, 15 mars 1790).

Comme dans le reste de la France, la Révolution entraîna de fortes modifications de la structure sociale et foncière de Lurais, les propriétés ecclésiastiques et celles des émigrés étant vendus comme biens nationaux. Parmi les biens ecclésiastiques, on comptait quatre biens relevant de la cure de Notre-Dame de Lurais, le prieuré relevant de Saint-Cyprien de Poitiers et une autre propriété ayant appartenu à cette abbaye. Les biens nationaux « de seconde origine » consistaient en onze propriétés ayant appartenu à Louis-Edmond Lepicard de Phélypeaux (1767-1799), capitaine émigré en 1791, qui servit dans l’armée des princes puis rentra en France pour soulever le Berry. 

 

Le pont de Lurais en 1971.

En 1812, l’administration préfectorale de l’Indre, appuyée par le ministère des Finances, présenta un projet de réunion de la commune de Lurais à celle de Néons, pour former une seule commune sous le nom de Néons-sur-Creuse. Ce projet recueillit l’accord du conseil municipal de Néons, mais suscita l’opposition des représentants de Lurais. Au vu des plans dressés par le géomètre délimitateur, le ministre de l’Intérieur prit parti contre le ministre des Finances et proposa au contraire de réunir à Lurais la partie méridionale du territoire de Néons, qui se trouvait séparée du chef-lieu de cette commune par les territoires d’Angles et de Lurais.

En définitive, le 22 mars 1813, un décret impérial, donné à Trianon et pris sur le rapport du ministre de l’Intérieur, réunit à Lurais la section sud de la commune de Néons. La commune de Lurais s’étendit désormais jusqu’à la rive droite de l’Anglin, depuis le hameau de Rives jusqu’au château de Montenaut, et s’accrut du hameau de Fournioux et des fermes ou lieux-dits suivants : les Martinières, le Bas Coreil, la Brisetière, Baiseborde, les Gerbaudières, les Prunières et la Riguelière, soit 690 hectares. Du fait de cette réunion, le territoire de la commune était doublé et sa population augmentée d’un tiers.

 

 

Au XIXe siècle, Lurais connut un accroissement lent mais continu de sa prospérité. L’habitat se transforma : dans les maisons, des grands pavés de pierre remplacèrent la terre battue, des fenêtres plus larges percèrent les murs. Un pont fut établi sur la Creuse en conséquence d’un décret de 1846. Ouvert au public le 1er janvier 1850, ce pont suspendu, ouvrage des frères Seguin, mesurait 87 mètres de long. Ayant sauté en 1944, il fut reconstruit après la guerre.                       

 

 

 


 

                                                              Fontgombault

 

 

 

 

 

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L'Abbaye Notre Dame, construite sur la rive droite de la Creuse, fut fondée en 1091 par Pierre de l'Étoile et ses compagnons ermites, qui avaient vécus jusque là dans les grottes de la rive gauche, auprès de la fontaine de Gombaud. Pierre de l'Etoile commença à édifier la vaste et belle église abbatiale qui se trouve être la plus importante du Bas-Berry après celle de Déols.

Aux 12 ème et 13 ème siècles l'Abbaye se développe considérablement avec la fondation d'une vingtaine de pieurés. "Au 15ème siècle, les abbés de Fontgombault contribuent avec les Abbayes de Saint-Cyran et de Méobecq au développement de la pisciculture en Brenne par la création de nombreux étangs. Pillée et dévastée par les Calvinistes en 1569, l'Abbaye est restaurée à la fin du siècle suivant par le grand Prieur Dom Andrieu. En 1741, la communauté des Bénédictins, réduite à cinq membres, est remplacée par des Lazaristes, qui fondent un séminaire et missionnent dans la région.

En 1791, lors de la révolution française, l'Abbaye fut en partie démolie puis vendue comme "bien national". Les emblèmes féodaux sont détruits. Il ne reste plus que le cloître et quelques assises qui avaient porté les arcs. L'Abbaye appartiendra ensuite à trois familles avant d'être rachetée par les moines Trappistes en 1849. Ils s'y installèrent afin de sauver de la destruction le vieux monastère. Aidés par une colonie agricole, ils défrichent également une grande partie des terres du monastère et reprennent en main le domaine. Afin de remonter les finances de l'Abbaye, les Trappistes créèrent en 1899 une distillerie de kirsch. Cette petite industrie, florissante dans ses débuts, fut démantelée puis vendue à cause En 1904, les lois anti-congréganistes obligent les moines Trappistes à s'exiler aux États-Unis où ils construisirent un monastère. Les religieux de Fontgombault qui ne sont pas partis, furent répartis dans diverses Trappes de France. Après plus de cinquante ans de restauration de l'Abbaye, l'inauguration prévue à cet effet n'aura pas lieu.

En 1905, Louis Bonjean, avocat à la cour d'appel de Paris, rachète la demeure monastique et ses dépendances pour la sauver d'une nouvelle destruction. Dès son arrivée à Fontgombault, Louis Bonjean améliora les conditions de vie des ouvriers, créa une fabrique de boutons, un journal ainsi qu'une école... Il mourut en octobre 1914 suite à ses blessures de guerre

             de la fermeture et de la dislocation du monastère en 1905. De 1914 à 1918 : les bâtiments sont aménagés en hôpital militaire pour les blessés de l'armée belges. De 1919 à 1948, c'est un séminaire inter diocésain pour vocations tardives qui s'établit dans une partie des bâtiments. Pendant trente ans, le séminaire Saint-Martin de Fontgombault forma des prêtres pour plusieurs diocèses. L'enseignement intensif et qualitatif lui permit d'obtenir une excellente réputation. Cependant, après la deuxième guerre mondiale, des établissements similaires ayant été créés, l'effectif des élèves a progressivement chuté et le séminaire a été obligé de fermer ses portes. En 1948, l'Abbaye redevient bénédictine avec l'installation de 22 moines venus de l'Abbaye de Solesmes. Le monastère devint prieuré en 1950. L'activité monastique prenant de l'ampleur, plusieurs monastères furent fondés, celui de Notre-Dame de Randol près de Clermont-Ferrand en 1971, celui de Notre- Dame de Triors dans la Drôme en 1984 et celui de Sainte-Marie de Gricigliano en Italie en 1975 ; malheureusement ce dernier ferma en 1990 par faute de recrutement. Les travaux de restauration de l'Abbaye Notre-Dame de Fontgombault se poursuivirent avec l'achèvement de l'aumônerie, la restauration de la sacristie et du réfectoire, le remplacement de la verrière (du grand pignon occidental) dans l'église abbatiale et enfin la construction d'un grand orgue.

Le 9ème centenaire de l'Abbaye a été célébré en 1991.

D'après l'ouvrage "L'Abbaye Royale Notre-dame de Fontgombault" rédigé par Dom Jacques de BASCHER aux éditions P.OUDIN

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 http://fontgombault.pagesperso-orange.fr/abbaye.htm


 

                                            Néons sur creuse

 

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En 2008, Néons-sur-Creuse comptait 395 habitants (soit une augmentation de 2 % par rapport à 1999). La commune occupait le 19 034e rang au niveau national, alors qu'elle était au 18 089e en 1Pour Néons-sur-Creuse, le premier recensement a été fait en 2008, les suivants étant en 2013, 2018, etc. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006, qui, pour Néons-sur-Creuse, est une évaluation intermédiaire Le maximum de la population a été atteint en 1851 avec 903 habitants999, et le 120e au niveau départemental sur 247 communes

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                                  Preuilly la ville

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           Étymologie

 

En fait, on ne devrait pas écrire Preuilly la ville, ce dernier mot semblant dérisoire pour un bourg aussi peu conséquent, mais Preuilly la villa, ce qui serait conforme à l'origine de la commune. Le mot original étant Villa Proliacus, c'est-à-dire la villa d'un nommé Proliacus. Le mot villa, d'influence germanique, signifie « domaine rural », soit une ferme avec sa maison de maître et ses dépendances. Par conséquent, les logements des ouvriers et de tous les corps de métier qui en assuraient l'exploitation. Petit à petit, ces villas arrivaient à former de véritables agglomérations ; tel fut le cas de la villa de Preuilly.

La plus ancienne mention de la villa de Proliacus date de l'an 936, dans une charte du cartulaire de l'abbaye de Saint Cyprien de Poitiers. On y trouve écrit que cette villa appartenait à la dite abbaye et se trouvait située en Poitou ; ce n'est que vers 970 que Preuilly la Ville sera placé en Berry.

En 1254, on trouve mentionné Prullet et de Prulhiacio ; en 1359, Pruilhi ; en 1560, Preuilly la ville.

Sous la Révolution, la commune prendra le nom[2] de Preuilly les Roches

Historique

 

Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Preuilly-les-RochesJacques-Marie Rougé, dans son « Folklore de la Touraine[4] », nous apprend qu'autrefois se trouvait « dans le grenier de la cure, saint Grenouillard, auquel on apportait des marmots en cire pour avoir des enfants ».

Origine: Village perché au sommet d'un coteau rocheux, dominant la vallée de la Creuse, dans un beau cadre de verdure.

De nos jours, ce n'est plus qu'un petit bourg agricole, dont la population n'a cessé de décroître. En cent ans, la commune a perdu près de la moitié de ses habitants.

En 2004 un referendum a eu lieu dans la commune afin de retenir un gentilé. Le nom choisi a été Preuillavillois.

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                                   Sauzelles

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En 2008, Sauzelles comptait 243 habitants (soit une augmentation de 5 % par rapport à 1999). La commune occupait les 24 792 e rangs au niveau national, alors qu'elle était au 24 353e en 1999, et le 182e au niveau départemental sur 247 communes. L’évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Sauzelles depuis 1793.Le maximum de la population a été atteint en 1793 avec 714 habitants.

 

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Sources: wikipédia, cartes de diverses provenances .............

 


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