Découverte du sud-ouest

Voilà, je suis arrivé à l'aéroport de Mérignac!!  Je suis le couple qui était installé dans le rang à côté de celui où je me suis assis. Il s portent un gros sac à deux, chacun portant une anse du sac.

Je les suis, je pense que je vais arriver au niveau des tapis pour récupérer mon sac, mais il y a un terminal spécial pour les compagnies low-cost, et je suis dans l'aérogare des compagnies  normales.

Je demande à une personne de l'aérogare où je suis, comment récupérer mon sac, et il me renseigne en me disant que les compagnies low-cost ont leurs propre aérogare, et que je dois ressortir et revenir en arrière pour l'atteindre. Arrivé à cet aérogare, pas un chat, tout est désert et je ne vois pas mon sac.

Je retourne à l'aérogare principal, et demande à l'accueil de me renseigner pour pouvoir récupérer mon bagage, et une hôtesse me renseigne en m'indiquant de la suivre.

Elle me conduit à l'aérogare où je suis déjà passé, mais elle ouvre l'accès à la partie où se trouvent les tapis qui permettent de récupérer les bagages. Mais mon sac n'y est pas. Elle me conduit finalement aux objets trouvés, et là mon sac est déposé derrière le comptoir. Maintenant que je suis arrivé et que j'ai mon bagage, je rejoins un arrêt de bus, qui doit m'amener à la place des Quinconces, et donc me permettre de rejoindre la gare de Bordeaux et ensuite la gare de La Réole.

Arrivé à La Réole, je vérifie que j'ai les clés du 8 rue Lagrave dans la poche du blouson, et je dandine jusqu'à l'appartement. J'ouvre la porte extérieure, je rentre et ouvre le placard où se trouve le robinet d'arrivée d'eau; après l'avoir ouvert, je monte, j'ouvre la porte intérieure de l'appartement, pose mon sac, et vais brancher le courant.

Je déballe mes principales affaires, met à la machine le linge sale et vérifie ce qui reste à manger dans les placards.

Voilà, le principal est fait, je peux me poser, penser à ce que je vais faire le lendemain. 

"Personne ne m'aura poussé dans le dos, tout seul j'ai fais le saut, j'ai plus qu'à prier pour ne pas me pêter les os".