Philippe de Villiers semble avoir mené son enquête :
"Candidat à ces élections sous la bannière Libertas, il a aussi protesté contre le fait que «les frontières de l'Europe ne sont pas contrôlées», prenant l'exemple de la kalachnikov utilisée lors de l'attaque d'un fourgon à La Courneuve qui, selon lui, «est arrivée d'Afghanistan, par l'Europe de l'Est»."