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Bayern Munich-Internazionale Milano Publié le Jeudi 29 Avril 2010 à 17:33:03

L'Inter est donc de retour au sommet du football européen. C'est le succès d'un groupe mais, avant tout, le triomphe d'un homme, Jose Mourinho. Entraîneur et personnage hors normes, le Portugais cristallise autour de lui les haines les plus féroces comme le respect le plus profond.

En se qualifiant pour la finale de C1, les nazzuries ont néanmoins perdu 1 but à 0 ... mais rien de bien grave ! Qui predisait, il y a 6 mois que les hommes de José Mourhino seront en finale ... face au Bayern ?

Par la volonté d'un homme

 

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Bayern Munich-Internazionale Milano Publié le Jeudi 29 Avril 2010 à 17:33:01

L'Inter est donc de retour au sommet du football européen. C'est le succès d'un groupe mais, avant tout, le triomphe d'un homme, Jose Mourinho. Entraîneur et personnage hors normes, le Portugais cristallise autour de lui les haines les plus féroces comme le respect le plus profond.

En se qualifiant pour la finale de C1, les nazzuries ont néanmoins perdu 1 but à 0 ... mais rien de bien grave ! Qui predisait, il y a 6 mois que les hommes de José Mourhino seront en finale ... face au Bayern ?

Par la volonté d'un homme

 

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Le PSG humilié. Publié le Mercredi 28 Avril 2010 à 18:10:33

 

Le PSG humilié

Avant sa finale de Coupe de France, samedi, le PSG a concédé son plus lourd revers de la saison à Grenoble (4-0) en match avancé de la 35e journée. Face à la lanterne rouge, les Parisiens rêvaient sans doute d'une meilleure préparation. Et Grégory Coupet d'un retour plus tranquille...

GRENOBLE - PSG : 4-0
Buts : Batlles (26e), Dieuze (44e), Akrour (65e) et Ljuboja (68e)

 Dans un match sans enjeu, c'est très souvent l'équipe la plus concernée qui l'emporte. Une analyse qui s'est vérifiée au stade des Alpes mardi soir. Entre un Grenoble déjà condamné pour la Ligue 2 et un Paris Saint-Germain déjà tourné vers sa finale de Coupe de France, il n'y a pas eu photo. La faute aux hommes d'Antoine Kombouaré qui ont été indignes du haut niveau sur la pelouse iséroise. Sérieux et appliqués, les partenaires de Jody Vivani n'ont pas eu à sortir une grosse prestation pour l'emporter et signer leur quatrième succès de la saison...

Kombouaré fait tourner

A la lecture du onze parisien et les présences de Hoarau, Erding, Jallet, Sessegnon et Clément ... sur le banc des remplaçants, le message du technicien kanak était on ne peut plus clair. Priorité à la Coupe de France samedi contre Monaco. Un choix pas si discutable, mais discuté au vu du rendu côté parisien. Car, pour son retour en tant que titulaire, Grégory Coupet a vécu une soirée difficile. Disputé sur un faux rythme, les Parisiens se sont logiquement fait surprendre par un but magnifique des 25 mètres de Batlles (1-0, 26e) et une tête décisive de Dieuze étrangement seul au deuxième poteau (2-0, 44e). Un avantage logique et mérité à la pause pour des Grenoblois étonnés face à tant de laxisme de la part de son adversaire du soir.

Au retour des vestiaires, Antoine Kombouaré sortait Chantôme et Sankharé, coupables à ses yeux de ne pas avoir assez montré d'agressivité. Des changements qui profitaient aux entrées en jeu d'Erding et de Sessegnon. En vain. Malgré un évident changement d'état d'esprit d'une durée de... vingt minutes, les Parisiens ne reviendront jamais dans la partie. Pis, ils encaisseront finalement deux buts de plus par Akrour (3-0, 65e) et Ljuboja (4-0, 68e) qui mystifiera Traoré, d'une lenteur indigne sur ce coup. Un succès finalement plus que logique pour la lanterne rouge, jamais inquiétée devant son public. Pour Paris, il est maintenant l'heure de montrer un autre visage samedi au Stade de France. Car le match de mardi soir a confirmé que Paris ne pouvait rien espérer dans ce championnat. Si ce n'est moquerie et compassion.

LA DECLARATION : Antoine Kombouaré (entraîneur du PSG)

"C’est une grande déception. Nous sommes venus ici faire quelque chose de bien et au final, on s’incline 4-0. Ce n’est pas ce à quoi je m’attendais. Mais bon, on savait que ce match était mal placé et les têtes étaient peut-être déjà tournées vers la finale de la Coupe de France (...) Si j’avais pu changer les onze joueurs (à la mi-temps), je l’aurais fait. On est tous dans le même bateau et nous avons tous perdu. Moi inclus. Après samedi, face à Monaco, ça sera une autre compétition."

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Le Mans, un pied dans la tombe. Publié le Mercredi 28 Avril 2010 à 18:09:16

 

Un pied dans la tombe

Tenu en échec à Monaco (1-1), Le Mans sera officiellement relégué en Ligue 2 ce week-end si Sochaux fait match nul et que Saint-Etienne gagne. Les Sarthois avaient pourtant ouvert le score dans ce match avancé de la 35e journée mais Maazou a égalisé pour un ASM plus préoccupé par la Coupe de Fance.

MONACO - LE MANS : 1-1
Buts : Maazou (48e) pour Monaco, M. Dossevi (10e) pour Le Mans

Mardi, Le Mans a ramené un bon point de Monaco (1-1). Du moins, en apparence. A bien y regarder de plus près, ce nul, qui intervient après cinq défaites en autant de déplacements sur le Rocher, n'a pourtant rien d'une bonne affaire. Il condamne quasiment les Sarthois - toujours dix-huitièmes, avec sept points de retard sur Saint-Etienne - à la relégation. Une victoire des Verts, dimanche, face à Lens, scellerait leur descente en Ligue 2. Avec un peu plus d'ambition, le MUC aurait pourtant pu remporter ce match avancé de la 35e journée de Ligue 1. Car pendant une bonne demi-heure, l'équipe d'Arnaud Cormier a malmené celle de Guy Lacombe, trop obnubilée par sa finale de Coupe de France, samedi, face au Paris Saint-Germain.

En alignant quasiment son équipe-type, où seul Pino était titulaire au détriment de Maazou, l'entraîneur monégasque pensait pourtant procéder à une répétition générale. Et effacer la gifle reçue à Lille (0-4) dix jours plus tôt. La blessure de Stéphane Ruffier, touché à la cuisse droite lors de l'échauffement, a contrarié ses plans. Catapulté au pied levé dans la cage monégasque, Yohann Thuram n'a certes pas démérité pour son quatrième match en L1. Mais abandonné par sa défense, le neveu de Lilian n'a pu que s'incliner sur une reprise aux six mètres de Mathieu Dossevi (0-1, 10e). Il fut ensuite sauvé par sa transversale, sur une lourde frappe de Lamah (19e), puis héroïque sur l'action suivante, en sortant dans les pieds de Dossevi (20e).

Maazou, entrée gagnante

Poursuivi par le mauvais sort, l'ASM a perdu Park en fin de première période. La sortie par précaution du Sud-Coréen, touché à l'arcade, a paradoxalement eu le don de dynamiser l'attaque monégasque. Entré juste avant la pause, Maazou s'est signalé dès le retour des vestiaires, en reprenant un caviar d'un Pino intenable pour tromper Ovono (1-1, 48e). Le maigre public de Louis-II pensait alors que ses protégés forceraient la décision lorsque M. Malige sanctionna d'un penalty une main de Joao Paulo dans sa surface. Mais Nenê buta sur un Ovono impérial dans sa cage (56e). Le portier manceau fut aussi heureux de voir un coup franc du Brésilien caresser sa transversale dans le temps additionnel (90e+2). Son équipe a pourtant un pied et quatre orteils en Ligue 2.

LA DECLARATION : Arnaud Cormier (entraîneur du Mans)

"Je ressens un sentiment de frustration par rapport à notre première période. On aurait dû accentuer notre avantage. En menant 2-0, on aurait pu se mettre à l'abri. En guise de quoi, nous avons souffert après la pause lorsque Monaco a réagi. Mais nous avons aussi payé l'enchaînement des matches. On a eu du mal alors à sortir les ballons. L'égalisation était logique. Mais l'équipe reste cohérente malgré les rotations et fait preuve d'un engagement total dans cette fin de saison. L'écart sur Saint-Étienne est sûrement impossible à combler, mais il faut se dire qu'il reste des matches à livrer. Dans lesquels il faudra donner le meilleur pour l'avenir."

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Et le Bayern est en finale !!! Publié le Mercredi 28 Avril 2010 à 18:07:44

En s'imposant 3 buts a 0 , les hommes de Van Gaal ont fait le travail,pas tres dur, face a des lyonnais tres timides. Malgré une bonne entame et une occasion en or, les lyonnais se sont inclinés lourdement. Olic aura été le meilleur homme du match, grace a son triplé. De plus la défaite est d'autant plus amere que l'expulsion de Cris suite a une petite faute et une contestation presque "inexistante"...

Lyon, le pétard mouillé

L' immense tristesse des lyonnais après le second but encaissés.

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