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les joies de Paris

la vie d'un parisien

éphéméride du 21 novembre Publié le Samedi 21 Novembre 2009 à 07:15:32

21 novembre 1898 :naissance de  René Magritte, peintre belge

Enfance

René Magritte est le fils de Léopold Magritte, tailleur, et d'Adeline Bertinchamps, modiste. La famille s'installe en 1900 à Gilly, où naissent ses deux frères Raymond (1900-1970) et Paul (1902-1975). En 1910, ses parents s'installent à Châtelet où il suit un cours de peinture Leurs affaires marchant mal, son enfance se passe en déménagements constants. En 1912 sa mère se suicide par noyade dans la Sambre. Magritte et ses deux frères habitent l'année suivante à Charleroi avec leur père qui confie leur éducation à des gouvernantes. Il fait ses études à l'athénée de la ville et se passionne alors pour les films de Fantômas, lit Stevenson, Edgar Allan Poe, Maurice Leblanc et Gaston leroux. Lors de la foire de Charleroi, il rencontre en 1913 une fille de treize ans, Georgette Berger, dont le père est boucher à Marcinelle. Ils se rencontrent régulièrement sur le chemin de l'école. Les premières œuvres de Magritte, de style impressionniste datent de 1915.

les débuts

De 1916 à 1918 Magritte fréquente l’Académie royale des beaux-arts de Bruxelles où il suit les cours de Van Damme, Sylva, Ghisbert Combaz et le symboliste Constant Montald. La famille installée à Bruxelles, il travaille en 1919 et 1920 dans l'atelier de Pierre-Louis Flouquet qui lui fait découvrir le cubisme et le futurisme. Avec Flouquet et les frères Pierre et Victor Bourgeois, il collabore à la revue Au volant que dirige Pierre Bourgeois. Des toiles de Magritte et Flouquet sont exposées en janvier 1920 au Centre d'art de Bruxelles. Le même mois Magritte rencontre E. L. T. Mesens, engagé comme professeur de piano pour son frère Paul. Après avoir fait en 1921 et 1922 son service militaire au camp de Beverloo, près de Leopoldsburg, puis au ministère de la guerre à Anvers, il épouse en juin 1922 Georgette Berger qu'il a retrouvée par hasard au Jardin botanique de Bruxelles en 1920 et travaille comme dessinateur, avec le peintre Victor Servranckc, dans l'usine de papier peint Peeters-Lacroix.

Rencontre avec le dadaïsme

En 1924 Magritte rencontre Camille Goemans et Marcel Lecomte qui l’introduisent dans le milieu dada. Il doit alors à Lecomte, ou selon Scutenaire à Mesens, sa plus grande émotion artistique : la découverte d’une reproduction du Chant d’amour de Giorgio De Chirico (1914). « Mes yeux ont vu la pensée pour la première fois » écrira-t-il en se souvenant de cette révélation. En octobre Magritte et Mesens projettent de lancer, avec Goemans et Lecomte, une nouvelle revue, Période, coulée dès avant sa naissance par un tract lancé par Paul Nougé puis fondent en mars 1925 la revue Œsophage (un seul numéro).

Le groupe surréaliste de Bruxelles

Le rapprochement du groupe de Correspondance, qui réunit dès 1924 Nougé, Goemans et Lecomte, avec Mesens et Magritte, leur confection d'un tract commun en septembre 1926 contre Jean Cocteau, auquel s'associe le musicien André Souris, leur participation commune en 1927 au dernier numéro de la revue Marie créée par Mesens en juin 1926, marquent l'ébauche de la constitution du groupe surréaliste de Bruxelles, que rejoint en juillet Louis Scutenaire et Irène Hamoir. Le groupe se trouvera réuni en janvier 1928 pour la première grande exposition de Magritte à la galerie L'Époque dirigée par Mesens, dont la préface de Nougé est contresignée par Goemans, Lecomte, Mesens, Scutenaire et Souris. Magritte peint dès 1926 Le Jockey perdu, l'une de ses premières toiles surréalistes (exposée en avril 1927 à la galerie Le Centaure) et réalise plusieurs projets publicitaires pour la maison de couture Norine van Hecke, en 1927 illustre pour la maison Muller et Samuel le catalogue des fourrures pour 1928 (le Catalogue Samuel), édité avec des textes de Nougé.

Rencontre avec le surréalisme parisien

En août 1927, Magritte quitte la Belgique et séjourne au Perreux-sur-Marne, (Val-de-Marne) jusqu'en juillet 1930. Il rencontre les surréalistes (André Breton, Paul Éluard, Max Ernst, Salvador Dalí), participe à leurs activités et expose à la galerie Goemans. Il publie en 1929 Le Sens propre, suite de cinq tracts reproduisant chacun l'un de ses tableaux avec un poème de Goemans, et Les Mots et les images dans La révolution surréaliste. Durant l'été il rend visite à Dali à Cadaqués où il retrouve Éluard et Gala. Il rentre à Bruxelles en 1930 et y présente en 1931 une exposition organisée par Mesens, avec une préface de Nougé. Il adhère l'année suivante au Parti communiste belge et rencontre Paul Colinet. Entre 1931 et 1936, il participe à une petite entreprise de publicité une activité alimentaire qu’il n'exerce certainement pas par vocation et qui s’est étendue sporadiquement entre 1918 et 1965.

Magritte expose en 1933 au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles et dessine en 1934 Le Viol pour la couverture de Qu'est-ce que le surréalisme ? d'André Breton. Il réalise en 1936 sa première exposition à New York, à la galerie Julien Levy, fait la connaissance l'année suivante de Marcel Mariën et séjourne à Londres où il expose en 1938 à la London gallery de Mesens. Après avoir dirigé de février à avril 1940 avec Ubac la revue L'Invention collective (deux numéros), Magritte, après l'invasion allemande, le 19 mai 1940, de la Belgique, quitte Bruxelles, séjourne trois mois à Carcassonne, où le rejoignent Scutenaire, Irène Hamoir, Raoul et Agui Ubac, puis rentre à Bruxelles.

Période Renoir et période vache

De 1943 à 1945, Magritte utilise la technique des impressionnistes durant sa période du surréalisme en plein soleil ou période Renoir. En 1943 Les Images défendues de Nougé et Magritte de Mariën, en 1947 René Magritte de Scutenaire, constituent les premiers ouvrages qui lui sont consacrés. En mars 1948 il peint en six semaines une quarantaine de tableaux et de gouaches aux tons criards (période vache) destinées, en un acte typiquement surréaliste, à dérouter les marchands parisiens et scandaliser le bon goût français, qui sont exposées à la galerie du Faubourg et préfacées par Scutenaire (Les pieds dans le plat) Irène Hamoir léguera bon nombre de ces œuvres au Musée de Bruxelles.

L'heure des rétrospectives

De 1952 à 1956 Magritte dirige la revue La Carte d'après nature, présentée sous forme de carte postale. Il réalise en 1952 et 1953 Le Domaine enchanté, huit panneaux pour la décoration murale du casino de Knokke-le-Zoute, en 1957 La Fée ignorante pour le Palais des Beaux-Arts de Charleroi et en 1961 Les Barricades mystérieuses pour le Palais des congrès de Bruxelles. Une première exposition rétrospective de son œuvre est organisée en 1954 par Mesens au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles. Le succès de Magritte vient lentement grâce au marchand Iolas, à partir de 1957, et à l’Amérique. En avril 1965 il part pour Ischia en Italie pour améliorer sa santé et passe par Rome, en décembre se rend pour la première fois aux États-Unis à l'occasion d'une exposition rétrospective au MOMA, présentée par la suite à Chicago, Berkeley et Pasadena. En juin 1966 et juin 1967 les Magritte passent avec Scutenaire et Irène Hamoir des vacances en Italie. Le 4 août une nouvelle rétrospective ouvre au Musée Boijmans Van Beuningen de Rotterdam. Magritte meurt chez lui le 15 août d’un cancer à soixante-neuf ans. Il est enterré aux côtés de son épouse au cimetière communal de Schaerbeek. Sa sépulture fait l’objet d’une procédure de classement comme monument et site.

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éphéméride du19 novembre Publié le Jeudi 19 Novembre 2009 à 16:07:00

19 novembre 1805 :naissance de  Ferdinand de Lesseps, promoteur du canal de Suez

Surnommé « Le Grand Français », Ferdinand de Lesseps a été le principal promoteur des deux projets de canaux les plus ambitieux de son temps, le canal de Suez puis le canal de Panamá. Ce dernier projet fit perdre tant d'argent aux actionnaires que le promoteur fut condamné à cinq ans de prison, peine qu'il ne purgea pas en raison de son état de santé précaire.

Ses origines

L'origine de sa famille remonterait à la fin du XIVe siècle. Ses ancêtres, venus, semble-t-il, d'Écosse, se sont installés à Bayonne alors que la région était occupée par l'Angleterre. Un de ses arrière-grands-pères est le secrétaire de la reine Marie-Anne de Neubourg, veuve de Charles II d'Espagne, exilé à Bayonne après l'accession au trône de Philippe V

Depuis le milieu du XVIIIe siècle, les ancêtres de Ferdinand de Lesseps suivent la carrière diplomatique, dans laquelle lui-même occupe plusieurs fonctions de 1825 à 1849. Son oncle est anobli par le roi Louis XVI, et son père, Mathieu de Lesseps (1771-1832), est fait comte par Napoléon Ier. Sa mère, Catherine (de) Grivegnée, est espagnole, et tante de la comtesse de Montijo, mère de l'impératrice Eugénie.

Il est né à Versailles, rue des Réservoirs, le 19 novembre 1805. Il passe ses premières années en Italie, où son père est en poste. Il suit ses études au lycée Henri-IV à Paris. Son éveil intellectuel se serait produit, selon le témoignage de l’intéressé, dans un cycle de conférences donné par l’abbé de La Mennais et ses amis ultramontains. Bachelier à Amiens, le futur perceur d’isthme s’inscrit aux cours de droit commercial en vue du quai d’Orsay, mais il préfère de loin les séances d’équitation. Il deviendra un cavalier remarquable, d’une adresse qui lui donnera grand crédit auprès de ses partenaires arabes. De 1825 à 1827, il est vice-consul auxiliaire à Lisbonne, où son oncle, Barthélemy de Lesseps, est chargé d'affaires. Cet oncle était un vieux compagnon de La Pérouse et survivant de l'expédition dans laquelle celui-ci périt.

Sa carrière

Caricature par André Gill
La Lune, 29 septembre 1867.

En 1828, Ferdinand de Lesseps est envoyé en tant que vice-consul auxiliaire à Tunis, où son père est consul-général. Il facilite courageusement l'évasion d'un certain Yusuf, poursuivi par les soldats du Bey dont il est un des officiers. Yusuf se montrera reconnaissant de cette protection française en se distinguant dans les rangs de l'armée française à l'heure de la conquête de l'Algérie. Ferdinand se voit ensuite confier par son père une mission auprès du comte Clauzel, général en chef de l'armée d'occupation en Algérie. Dans une lettre du 18 décembre 1830 à Mathieu de Lesseps, le général écrit : « J'ai eu le plaisir de rencontrer votre fils, qui promet de soutenir avec grand crédit le nom qu'il porte. »

En 1832, Ferdinand de Lesseps est nommé vice-consul à Alexandrie. Afin de le faire patienter pendant la quarantaine du navire, le Diogène (des Postes françaises) qui l'a conduit en Égypte Monsieur Mimaut, consul-général de France à Alexandrie, lui envoie plusieurs livres, parmi lesquels le mémoire écrit, selon les instructions de Bonaparte, par l'ingénieur Jean-Baptiste Le Père, membre de l'expédition scientifique d'Égypte, chargé d'étudier le creusement d'un canal à travers l'isthme de Suez. De ces lectures et de sa rencontre avec les saint-simoniens venus là marier l'Orient et l'Occident, naît le projet du Canal dans l'imagination de Ferdinand.

Des circonstances bien particulières facilitèrent la réalisation du projet. Mehemet Ali, qui était le vice-roi d'Égypte, devait, au moins dans une certaine mesure, sa position aux recommandations faites au gouvernement français par Mathieu de Lesseps, consul-général en Égypte quand Mehemet Ali n'était qu'un simple colonel. Ferdinand fut donc amicalement et affectueusement accueilli par le vice-roi. Plus tard, c'est Saïd Pacha (fils de Mehemet Ali), qui lui accordera la concession pour la construction du canal de Suez.

En 1833, Ferdinand de Lesseps est nommé consul au Caire, et peu après consul général à Alexandrie, poste qu'il tient jusqu'en 1837. Pendant cette période, une terrible épidémie de peste sévit pendant deux années, coûtant la vie de plus d'un tiers des habitants du Caire et d'Alexandrie. Faisant preuve d'une ardeur imperturbable, Ferdinand poursuit sa mission, allant d'une ville à l'autre selon la présence du danger.

Vers la fin de l'année 1837, il revient en France et, le 21 décembre, épouse Agathe Delamalle, qui lui donnera cinq fils.

En 1839, il est nommé consul à Rotterdam, et l'année suivante, transféré à Málaga, dans le pays d'origine de la famille de sa mère. En 1842, il est envoyé à Barcelone, et bientôt promu au rang de consul général. Au cours d'une insurrection sanglante en Catalogne, qui finit par le bombardement de Barcelone, Ferdinand de Lesseps fait preuve du courage le plus persistant en sauvant de la mort, sans distinction, des hommes appartenant aux factions rivales, et en protégeant non seulement les Français en danger mais aussi des étrangers de toutes les nationalités. En 1859 il crée une école pour scolariser les enfants des français immigrés à Barcelone, cet établissement qui porte son nom est aujourd'hui le plus ancien établissement français de la péninsule Ibérique. De 1848 à 1849, il est ministre de la France à Madrid.

Durant cette année le gouvernement de la IIe République le nomme auprès de la jeune République romaine. L'avènement de Louis Napoléon Bonaparte bouleverse la politique étrangère de la France. Un corps expéditionnaire commandé par le général Oudinot impose le retour du pape au Vatican. Désavoué, Ferdinand de Lesseps « entre en dissidence » selon son expression et démissionne.

En 1853, il perd en l'intervalle de quelques jours son épouse et un de ses fils d'une épidémie de scarlatine. En 1854, l'accession au trône de vice-roi d'Égypte de son vieil ami, Said Pacha, donne une nouvelle impulsion aux idées qui l'avaient hanté pendant les vingt-deux dernières années au sujet du canal de Suez. Ferdinand de Lesseps est invité par Said Pacha, et le 7 novembre 1854 débarque à Alexandrie. Le 30 du même mois, Said Pacha signe la concession autorisant Ferdinand de Lesseps à percer l'isthme de Suez.

Sur ses indications, un premier plan est immédiatement dessiné par deux ingénieurs français, Linant de Bellefonds et Mougel. Après avoir été légèrement modifié, le plan est adopté en 1856 par une commission internationale à laquelle il a été soumis. Encouragé par ce verdict, pas plus l'opposition de Lord Palmerston, qui craint alors pour la position commerciale du Royaume-Uni, que les avis amusés prédisant le comblement du canal par les sables du désert, n'arrêtent Lesseps. Il prend d'ailleurs cette année-là comme secrétaire un journliste, humoriste et auteur dramatique anglais Charles Lamb Kenney, qui a néanmoins le diplôme d'avocat.

Poussé par ses convictions, soutenu par l'empereur Napoléon III et l'impératrice Eugénie, il réunit par souscription plus de la moitié du capital de deux cents millions de francs nécessaires pour fonder la Compagnie Universelle du canal maritime de Suez. Le gouvernement égyptien souscrit pour quatre-vingts millions.

La compagnie de Ferdinand de Lesseps construit le canal de Suez entre 1859 et 1869. Dans l’affaire, Lesseps s’est entouré d’un vaste réseau de compétences, sinon de connivences, notamment dans la presse, qui lui seront toujours de la plus grande utilité. En 1869, après l'inauguration du canal de Suez, Napoléon III propose de le nommer duc de Suez. Instruit par le précédent des lacs Amers, il est le premier à applaudir au projet Roudaire. Il le soutiendra en même temps que d’autres grandes entreprises telles que le creusement d’un tunnel sous la Manche, l’établissement de liaisons ferroviaires à travers l’Asie, le canal de Panama, ou le transsaharien. Phare du Tout-Paris, homme clé des relations de l’Occident avec l’Orient, pape de la géographie et de l’expansion européenne en Afrique, président de la Société de géographie en 1881, membre de la Société protectrice des indigènes... le perceur d’isthme laisse derrière lui des zones d’ombre propice au culte comme à la suspicion. En 1893, poursuivi pour trafic d’influences et détournement de fonds dans le cadre des suites judiciaires dù au Scandale de Panamá, Ferdinand de Lesseps est condamné à cinq ans de prison qu’il n’effectuera pas. Il meurt à l’âge de 89 ans.

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éphéméride d 18 novembre Publié le Mercredi 18 Novembre 2009 à 14:02:00

18 novembre 1793 : inauguration du musée du Louvre.

Le musée du Louvre est le plus grand musée de Paris par sa surface (210 000 m² dont 68 000 consacrés aux expositions) et l'un des plus importants du monde. Situé au cœur de la ville, entre la rive droite de la Seine et la rue de Rivoli, dans le Ier arrondissement, le bâtiment est un ancien palais royal, le palais du Louvre. La statue équestre de Louis XIV constitue le point de départ de l'axe historique, mais le palais n'est pas aligné sur cet axe. Le Louvre possède une longue histoire de conservation artistique et historique de la France, depuis les rois capétiens jusqu'à nos jours.

Musée universaliste, le Louvre couvre une chronologie et une aire géographique larges, depuis l'Antiquité jusqu'à 1848, de l'Europe occidentale jusqu'à l'Iran, via la Grèce, l'Égypte et le Proche-Orient. Il est constitué de huit départements: Antiquités orientales, Antiquités égyptiennes, Antiquités grecques, étrusques et romaines, Arts de l'Islam, Sculptures, Objets d'art, Peintures, Arts Graphiques et présente 35 000 œuvres dans 60 600 m² de salles. À Paris, la période postérieure à 1848 pour les arts européens est prise en charge par le musée d'Orsay et le centre Georges-Pompidou, alors que les arts asiatiques sont exposés au musée Guimet. Les arts d'Afrique, d'Amérique et d'Océanie prennent quant à eux place au musée du quai Branly, mais une centaine de chefs-d'œuvre sont exposés au pavillon des Sessions. Les œuvres sont de nature variée : peintures, sculptures, dessins, céramiques, objets archéologiques et objets d'art entre autres. Parmi les pièces les plus célèbres du musée se trouvent le Code d'Hammurabi, la Vénus de Milo, La Joconde de Léonard de Vinci, et La Liberté guidant le peuple d'Eugène Delacroix. Le Louvre est le musée le plus visité au monde, avec 8,3 millions de visiteurs en 2006

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nos troupes en Afghanistan Publié le Mardi 17 Novembre 2009 à 08:24:26

MAG TERRE n°32 sur l'armée de Terre en Afghanistan
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éphéméride du 17 novembre Publié le Mardi 17 Novembre 2009 à 08:02:17

17 novembre 1558 : La reine Élisabeth Ire monte sur le trône d'Angleterre.

Élisabeth Ire d'Angleterre (7 septembre 1533 à Greenwich – 24 mars 1603 à Richmond) est l'une des plus célèbres souveraines d'Angleterre. Également nommée « La reine vierge », « Gloriana » ou « Good Queen Bess » par ses partisans, Élisabeth Ire fut reine d'Angleterre, de France (seulement en titre) et d'Irlande du 17 novembre 1558 jusqu'à sa mort. Elle parlait l'anglais, le latin, le grec, le français et l'italien. Fille du roi Henri VIII d'Angleterre et d'Anne Boleyn, Élisabeth fut la cinquième et dernière représentante de la dynastie des Tudors

À la mort d'Henri VIII, le 28 janvier 1547, elle n'était cependant que troisième dans l'ordre de succession à la Couronne. Seules les morts successives de son demi-frère cadet, Édouard VI le 6 juillet 1553, puis de sa demi-sœur aînée, Marie Ire le 17 novembre 1558, lui permettront d'accéder au trône.

Son long règne de 45 ans définit la période élisabéthaine, qui maintient l'Angleterre au rang des grandes puissances.

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