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ma soeur ma vie

des rires et des pleurs..

de 16 à 24 ans Posté le Mercredi 4 Juin 2008 à 15h48

j'avais 16 ans, l'age de sortir en boite, l'été en tout cas....ma soeur avait plus de 18 ans, elle sortait avec mon ex, elle avit son permis,

elle nous fesait des promesse chaque samedi qu'elle ne tenait pas, "désolé, il n'y a pas de place dans la voiture"...elle nous planté, on se retrouver là, il ne restait plus qu'à aller faire un tour à la plage pour tuer le temps pendant qu'ils s'eclataient tous en boite !

à 17 ans j'ai connu mon 1er grand amour,

à 18 ans passé ça s'est terminé, ma soeur m'en voulait, elle disait que j'étais conne d'avoir rompu, que c'était un mec bien, que je ne trouverais jamais personne parceque j'etais trop conne....et j'en passe

à 20 ans j'ai rencontré celui qui fut mon 1er mari, j'ai souffert enormement, il était violent, brutal, agressif physiquement et verbalement, je perdais petit à petit confiance en moi.

ma soeur aussi avait des problèmes de couple, elle disait que c'était normal d'avoir des haut et des bas, que la vie c'était ça, qu'il n'y avait pas que du bonheur, et que les disputes fesaient partie de la vie, et je l'ecoutais...

quand je me refugié chez elle en pleurant parcequ'il m'avait encore frappé, le lendemain, ma soeur me fesait moral en disant que les disputes c'est 50/50, que j'avais ma part de responsabilité avec mon sale caractère, qu'il fallait que je lui redonne une chance, elle avait mal au coeur pour lui, mal au coeur pour un homme qui maltraitré sa petite soeur....comment peut-on...

24 ans j'ai divorcé, grace à ma meilleure ami qui m'a convaincu que la vie devait ertre basé sur le respect de l'autre et que sans ça, le couple ne pouvait pas marché, et elle a eu raison, merci à toi.

je me suis retrouvé seul, et pour consolation, ma soeur me répété sans cesse que je ne referais jamais ma vie,

j'avais une situation trop elevé professionnellement, que j'avais trop confiance en moi et que je fesais peur aux hommes, que les hommes avait besoin d'avoir la sensation de dominer et qu'avec moi ça ne serait pas possible...

quel homme voudrait d'une femme qui gagne plus que lui me disait-elle...comme si je n'avais pas déjà été detruite, je ne l'était sans doute pas encore assez....

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