Le rêve d’Alice Dans La chaleur d'un jour d'été, Alice est là, nue, allongée Sur un lit d’un hôtel étoilé. Des caresses , ses seins dressés Par la chaleur de son aimé Son amant la couvre de baisés De cinq à sept les jours d'été Son homme dans la chambre est entré Pour jusqu'au firmament la porter leurs lèvres, fougueusement unifiés Dans cet hôtel un jour d'été Alice, heureuse est transporté Mais la pendule vient de sonner Alice il faut te réveiller Et ton quotidien retrouver Alain BOUVRY Avril 2011