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Ils étaient déjà venus donner le coup d'envoi d'un match de championnat il y a quelques semaines mais cette fois, les Taloche sont revenus au Spiroudome pour un peu plus longtemps. Mardi dernier en effet, ils étaient en tournage pour une pub du CPH, un de nos partenaires, qui passera bientôt sur le petit écran.
Frank Mine avait réuni une bonne centaine de supporters et les jeunes en stage à Jumet sont également venus grossir les rangs des figurants dans les tribunes. De 14 h à 22h, tout ce beau monde a joué le jeu, y compris les Spirou de Drazen Anzulovic qui ont été présents une bonne partie de l'après-midi, bref une super ambiance et des gags improvisés dans un Spiroudome aménagé pour l'occasion.
Partenaire de Spirou Basket depuis plus d’une décennie, la banque CPH a franchi un cap en 2004 en devenant un des « main sponsors » du club carolo. Paul Henrotte, le responsable du département marketing, aime jouer sur les slogans qui renforcent l’image de sa société.

"Notre collaboration avec les frères Taloche est bien sûr destinée à mettre notre produit en valeur et est axée sur plusieurs thèmes", explique Paul Henrotte. "Celui qui nous concerne aujourd’hui est la volonté de réussir ensemble, un slogan qui convient très bien à l’esprit des Spirous. Nous sommes une banque de proximité et le basket-ball s’adresse à tous les publics, n’est pas politique et est familial. Une collaboration comme nous avons avec le club depuis des années consolide notre image de marque. C’est important voire essentiel en cette période de crise. D’où cette idée d’associer les frères Taloche et les Spirous pour un spot publicitaire qui passera sur les chaînes nationales et régionales dans les prochains mois."
Le contrat de cinq ans qui lie le CPH au club carolo et qui en est à sa 2e saison trouve donc toute sa raison d’être.
"L’infrastructure du Spiroudome était le cadre idéal pour tourner cette pub, comme la salle nous permet de nouer des contacts fructueux durant la saison", ponctue Paul Henrotte. "Et notre partenariat avec les frères Taloche, que nous avions déjà vécue il y a quelques années, a tout son sens. Je remercie les supporters et les Spirous qui ont joué le jeu à mort. Et croyez-moi, ce n’était pas évident de goupiller les agendas de chacun !"
(paru dans La Nouvelle Gazette du 9 avril 08) 

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