Un paysage vallonné, la forêt, peu de voitures, des infrastructures complètes et de qualité, me revoilà sur une terre qui m'est chère, celle de Brommat. Ah qu'est-ce que l'on y est bien une fois arrivé. Et heureusement d'ailleurs car quelle galère pour s'y rendre ! Mon voyage a commencé à 9 heures ce matin à la gare de Montpellier, puis changement à Toulouse pour un train express régional (TER) qui m'a emmené jusqu'à Figeac ; là j'ai pris un bus direction Aurillac pour rejoindre Marc Fleuret et toute l'équipe pour trois derniers quart d'heure en voiture… Arrivée 17 heures 30. Je dis à un agent SNCF qu'il est compliqué de voyager dès lors que l'on ne passe pas par Paris, il me répond d'un poli mais peu sincère « Je vous comprends Monsieur ».