Respirer, encore une fois, encore une bouffée
D'oxygène, de gaieté
Sentir mes nerfs se délier
Face à cette nature immaculée.
Par delà les monts et les vallées,
S'agite la ville
Mais qu'importe, dans ma nature tranquille, mon asile,
Je ne sens qu'une agitation animale.
Là où les routes goudronnées sont le seul mal,
Là où les oiseaux planent sur un vert royaume,
Là où il n'y a pas traces d'homme.
La nature monte en moi
Et avec elle, cette sérénité, cette joie.
Doucement bercée par le bruissement des feuilles
Que le vent fait frémir et vibrer...