Un regard sur l'outre-mer

        En ce début de l'année  2016, les préoccupations ne sont pas les mêmes, si on est dans la zone concernée  « ZIKA »  ou pas. 
      Loin de là, je n'essaies pas de faire de vers, mais tout cela fait désordre, avec les différentes appellations (Dingue, Moustiques tigre voir Zika).

J'ai  fini par me poser des questions  sur ce sujet:

Est-ce que tout cela réservera  à  ces populations concernées ? 

   C'est plus qu'une provocation, malgré toutes les bonnes volontés, ces petites bêtes continuent à sévir dans les zones concernées.
  Aujourd'hui la situation est loin d’être sous contrôle, malgré toutes les bonnes paroles de part et d'autres.

  On tous espère que ces secteurs concernés, retrouveront une condition de vie normale ….

  Au tout début, c'était un propos assez « soft ». Ces derniers temps, c'était presque unanime, le phénomène était sous contrôle et voilà : La moustique tigre « ZIKA » s'est envolée, en laissant sans voix, tous les spécialistes de recherches sanitaires.

   Ma foi les populations qui sont sous l'emprise de cette épidémie, sont toujours en attente, pas de discours, mais d'une éradications de ces petites bêtes qui occasionnent des dégâts irréparables sur les populations identifiées géographiquement.
 
   Protégeons ces populations !!!   

 On ne parle pas de leur point de départ, mais l'on  pourrait toute vraie semblance,prévoir leur destination, voir à quel endroit convergent ces bestioles .
   Les chercheurs, je crois bien, on d'autre objectif !
   En voyant la capacité de nuisance, ces spécialistes en petites bêtes, voir le maladies dites tropicales, essaient de naviguez à vue, alors qu'on dans une situation si complexe.

 D’ailleurs, les grands médias, parlent d'autres choses pour détourner l'attention…

   Au départ ces moustiques étaient basées dans des secteurs bien précis, et après leur signalement raisonnait, comme une cloche qui annonçait la mauvaise nouvelle.
  C'est seulement à partir de ce moment, que les noms de moustiques « TIGRE » ou « ZIKA », sont sortis des médias.
  En ce moment on ne parle dans les organes d’informations, cela ne veut pas dire ces petites choses ont disparues !
   Les larves sont bien présentes autours et à l'intérieur de cette végétations subtropicales…

     En protégeant cette zone, c'est la planète toute entière qui se porterait mieux ...