Histoire d'amour

    Aiko pensait tout le temps à Hotoshi, elle avait très envie de le voir mais à cause de sa timidité, elle osait à peine l'appeler. Ses mains tremblaient à l'idée de le faire, son cœur s'emballait dés qu'elle pensait à lui, elle ne se contrôlait plus. Son seul désir à cet instant était de pouvoir prendre son téléphone, de composer son numéro et de lui dire qu'elle l'aimait. La sonnette de la porte retentit, elle se demanda qui pouvait venir à cette heure-ci. Elle ouvrit la porte et vit Hotoshi devant elle. Elle voulût refermer la porte mais quand elle le regardait, elle avait envie de lui sauter dans les bras tellement elle était heureuse. Hotoshi la salua et l'embrassa sur le front. Aiko rougit et le prit dans ses bras. Elle n'était pas habituer à ce genre de situation. Elle lui proposa d'entrer mais il préféra l'emmener dehors pour discuter sous les arbres fleuris. Elle prit sa veste et sortit. Hotoshi lui proposa d'aller en forêt mais Aiko préférait aller au bord de la rivière, là ou nageait des dizaines et des dizaines de poissons. Ils s'assirent tous les sur le bord et Hotoshi lui posa la seule question  dont il ne pouvait pas avoir la réponse sans lui avoir demandé : /Est-ce que tu m'aimes ?/ Aiko le regarda et lui donna la réponse de son cœur : /Oui. / Aoigami passait près d'eux et les entendit. Elle les observa quelques secondes, prit son téléphone et envoya un message à Hotoshi : #C'est beau l'amour.# Hotoshi la regarda, Aiko fit la même chose et ils se mirent tous trois à rire.

    Aoigami leur posa quelques questions tels que : /Qu’est-ce que ça fait de sortir avec quelqu’un d’aussi génial ?/ /Vous êtes enfin heureux ?/ Aiko et Hotoshi répondirent et ils étaient fiers de leur relation, ils se disaient que rien ne pourraient les séparer. Hotoshi regarda Aiko avec un regard attentionné et lui dit : /J’aimerais être une larme pour naître dans tes yeux, vivre sur ta joue et mourir sur tes lèvres. /  Aiko eût une larme à l’œil, elle ne pensait pas qu’un jour elle pourrait autant aimer un garçon en si peu de temps. Hotoshi vit que Aiko se sentait mal à l’aise, qu’elle n’osait pas vraiment s’approcher de lui, donc il la regarda droit dans les yeux et lui dit : /Ne t’inquiète pas. / Ces quelques mots rassurèrent tout de suite Aiko, elle se sentait beaucoup mieux, comme si Hotoshi avait été un grand écrivain et qu’il lui avait dit un grand roman pour la rassurer, mais ces trois mots suffirent. Aoigami les regardait et préférait les laisser seuls car une flamme brillait entre eux, c'était la flamme de l'amour.