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BALMANE RESTO

RESTO THEQUE

Thème 3 Posté le Mardi 7 Octobre 2008 à 22h40

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RESTAURATION

 

 Étymologie :

Le mot restaurant provient du verbe restaurer qui signifie au XIIe siècle « remettre en état », « remettre debout ».

Dès le début du XVIe siècle, le terme de « restaurant », revêt une acception alimentaire pour désigner un « aliment reconstituant ». Au milieu du XVIIe siècle le terme désigne plus spécifiquement un « bouillon reconstituant fait de jus de viande concentré » puis, à partir du milieu du XVIIIe siècle, le lieu qui en assure la vente.

Restaurant désigne aussi un pain de 400g dans certaines régions du sud de la france.

 

Histoire :

 

Le premier restaurant, dans l'acception moderne, a été ouvert à Paris, rue des Poulies (rue du Louvre), vers 1765 par un cafetier, Boulanger (dit Champ d'Oiseau). Il invente le nom de restaurant dans son sens actuel. Auparavant le restaurant était un bouillon qui restaurait les forces. Il fut le premier à proposer de la nourriture sur table à toute heure suivant et imitant le changement du service qui s'opère à cette époque dans l'aristocratie passant du service à la française au service à la russe dans lequel le convive est assis et servi par les ustensiles et le personnel qui lui sont dédiés individuellement. A la différence des auberges, les tables sont individuelles et non pas communes. En outre, on choisit sur une carte, alors que dans les auberges il n'y avait qu'un seul plat proposé par le cuisinier.[3]

Jusque là, seuls les traiteurs étaient autorisés à vendre des sauces et ragoûts, proposant à leurs tables d'hôtes des repas à heure fixe, à l'instar de ce qui se passait dans les auberges. Boulanger brise ce monopole et cuisine ce qui plait à sa clientèle. Il baisse les prix et affiche la carte devant le restaurant afin que les clients sachent quel sera le coût de leur repas.[4] Les traiteurs intentèrent à Boulanger un procès, qu'ils perdirent. Suite à ce procès, d'autres restaurateurs s'installent.

Un certain engouement se crée pour l'établissement de Boulanger parmi l'aristocratie et les intellectuels.[5]

En 1782, Antoine Beauvilliers, cuisinier du prince de Condé et officier de bouche du comte de Provence, reprend la formule de Boulanger et ouvre, dans un cadre raffiné, la « Grande Taverne de Londres », au 26 rue de Richelieu à Paris.[6] Il propose aux clients de manger comme à Versailles. Le service des vins est fait en bouteille, comme à Londres, à la mode à cette époque.[7] C'est là le premier véritable grand restaurant de Paris, qui restera pendant plus de vingt ans sans rival.

Mais c'est à partir de la Révolution française que le phénomène prend de l'ampleur. En effet, d'une part, la fuite des nobles laisse leur personnel de service, dont leurs cuisiniers, sans emploi et, d'autre part, de nombreux provinciaux arrivent à Paris où ils ne comptent pas de famille qui puisse les nourrir. Dès lors de plus en plus de cuisiniers, formés à la préparation de cuisine de qualité, vont devenir restaurateurs et l'on compte dès 1789 à Paris une centaine de restaurants fréquentés par la bonne société, regroupés autour du palais-Royal. Trente ans après la Révolution, on dénombre 3000 restaurants.

Les restaurants se sont rapidement multipliés à travers le monde, le premier restaurant ouvrant aux Etats-unis dès 1794, à Boston. Le type de service restera longtemps basé sur le principe du « service à la française » où les plats étaient posés à table, les convives se servant eux-mêmes. Cependant, ce service rendait la facturation difficile pour les restaurateurs. La forme actuelle de service, où le convive reçoit un repas dressé sur assiette, appelé « service à la russe », fut introduit en France par le prince russe Kourakine dans les années 1810 d'où il se répandit progressivement.

 

restauration du monde :

Les 3 restaurants anciens les plus réputés de Pékin

La ville hôte des Jeux olympiques d'été de 2008, Beijing, est également réputée pour sa cuisine. Voici quelques suggestions sur les plats à goûter pendant votre visite dans la capitale chinoise.

Le canard laqué de Beijing est sa spécialité la plus célèbre. Il existe un proverbe disant que vous ne pouvez pas avoir été à Beijing si vous n'avez pas goûter au canard laqué de Quanjude.

Le restaurant Quanjude a été établi il y a 134 ans, lors de la règne de l'empereur Tongzhi (Dynastie des Qing: 1644-1911), par Yang Quanren. Ce commerçant gagnait sa vie en vendant des canards et des poules au marché avant de vendre des canards laqués.

Yang a ensuite employé un chef cuisinier qui avait servi dans la cuisine impériale. Ce dernier a introduit de nombreuses recettes secrètes, qui ont aidé à établir la réputation du restaurant auprès des officiels de la cour de l'empereur.

Les chefs cuisiniers de Quanjude apportent un soin particulier à rendre le canard laqué aussi savoureux que possible. Le poids moyen des canards est d'environ 2,5 kg. Par ailleurs, des efforts sont faits pour assurer que seuls les canards de la meilleure qualité puissent être offerts aux clients.

Le siège de Quanjude se trouve avenue Qianmen. Actuellement sous rénovation, il devrait rouvrir avant les JO d'août.

Quant à la marmite de fondue mongole, le vieux restaurant musulman Donglaishun est renommé pour la qualité excellente de son mouton en provenance de Mongolie intérieure. Le mouton y est coupé en tranche aussi fine que du papier.

Le restaurant a été établi en 1902 par les deux frères Ding. Leur prédécesseur était un restaurant de bouillie.

Le principe est de faire bouillir rapidement ses tranches de mouton dans les marmites de fondue au milieu de la table. Le restaurant sert également d'autres aliments pouvant être mangés en fondue, tels que le boeuf, des légumes et des fruits de mer, souvent servis avec de la sauce de sésame, dans laquelle on peut ensuite tremper les aliments cuits.

Donglaishun se trouve au Plaza Dong An sur l'avenue Wangfujing dans le district de Dongcheng.

Le restaurant Duyichu, encore plus ancien que Donglaishun est vieux de 250 ans et est connu pour ses shaomai, aliment à base de riz, viande, légumes et farine.

Il y a une histoire intéressante derrière le nom du restaurant. Lors d'une veille du Nouvel an chinois, l'empereur Qianlong (dynastie des Qing) retourna à la Cité interdite après une visite au district de Tongzhou. En passant par l'avenue Qianmen, il nota qu'il y avait une seule lampe allumée.

Il entra dans le restaurant et y fut satisfait de la nourriture. L'empereur découvrit que le restaurant n'avait pas de nom. Il écrit donc les trois caractères "Du yi chu", signifiant "le seul restaurant en service".

Le restaurant est devenu populaire peu après. Les shaomai de Duyichu sont caractérisés par leur enveloppe fine, leur lustre, et leur goût délicieux. Les plus savoureux, selon la majorité des clients, sont ceux au crabe, porc et poireau.

Botin est le plus ancien restaurant au monde :

Botin ;Calle Cuchilleros 17 , 28005  Madrid :

Cette Maison fondée en 1725 est le plus ancien restaurant au monde (selon le livre Guiness des records !). Il est à deux pas de la Plaza Mayor. La carte y est superbe ! Un gigantesque choix de spécialités locales aussi bonnes les unes que les autres. La spécialité de la maison est le cochon de lait...

le Maroc, pays de la gastronomie et d'hospitalité :

Le Maroc possède une cuisine qui a 2000 ans d'histoire cultivée avec des influences douces. Ils ont hérité des Persans le mariage de viandes et de fruits et des Turcs, un penchant pour le sucre glace et les sucreries. C'est ainsi qu'on retrouve la pastilla, fleuron de la cuisine marocaine, un feuilleté subtil, mélange de sucré et de salé parfumé à la cannelle. Il existe depuis peu des variantes - poisson, fruits de mer, abats - mais c'est toujours un plat de fête que l'on sert en début de repas et qui peut compter une cinquantaine de couches de pâte fine entre lesquelles on dépose un mélange subtil d'oignon, de pigeons (ou de poulet), de persil, d'oeuf dur et d'amandes. Il existe aussi les briouats, des feuilletés de bœuf que l'on sert chauds disposés en couronne autour d'une soucoupe de sucre glace et de cannelle.

À côté de ce raffinement, le couscous représente la cuisine paysanne, une base de semoule qu'on mouille de bouillon chaud ou de sauce. Chez les Berbères, il est parfumé au lait de brebis ou de chèvre. C'est le traditionnel déjeuner familial du vendredi; il varie selon les régions ... à l'agneau, au poulet et olives, au poulet et pruneaux, aux merguezs, etc. Fait à partir de semoule de blé dur, il est cuit à la vapeur. Pour le manger, il faut prendre une poignée de semoule dans la main et en faire une boule avant de la manger. Le couscous se fait dans une couscoussière . C'est en somme un chaudron, dans lequel on fait cuire le poulet ou l'agneau avec les légumes, chapeauté d'un autre chaudron muni d'un couvercle. Ce deuxième chaudron est ni plus ni moins une passoire. La vapeur de cuisson monte par les multiples trous pour faire gonfler et parfumer la semoule. Une fois cuite, on la verse en monticule dans un grand plat creux au centre duquel on creuse un puits pour y déposer viandes et légumes.

Les Marocains aiment les arômes riches et fleuris, notamment ceux du safran, du cumin et de la coriandre. Chaque cuisinier prépare son mélange d'épices pour parfumer soupes et ragoûts. La Kama associe le poivre noir, le curcuma, le gingembre, le cumin et la noix muscade.

La viande d'agneau et de mouton tiennent la première place. Ce dernier possède même son jour de fête, l'Aïd el-Kebir (ou Aïd el-Adha) qui commémore le sacrifice d'Abraham. La fête du mouton se tient chaque année le Premier Moharrem, le premier jour de l'hégire de l'an musulman. On retrouve aussi beaucoup de poulet et parfois de la chèvre selon les régions.

La viande est cuite sur la broche "mechoui" ou en tajine, un ragoût longuement mijoté avec des fruits, notamment des dattes, des pruneaux, des citrons au sel, dans un plat en terre cuite vernissé dont le couvercle très haut ressemble à un chapeau de sorcière. Il permet à la vapeur de monter et de redescendre pour une cuisson à l'étouffée. En hiver, surtout dans les montagnes, la température descend relativement bas. La tajine est placée sur les charbons du foyer et on la relève d'un peu plus d'épices pour se réchauffer tout en dendans.
Il existe un autre ustensile bien typique et un plat bien populaire: La Tanjia marrakchia. C'est à la fois le nom d'un pot en terre pansu et celui d'un met délicieux à base de mouton et d'épices. On y jette pêle-mêle tous les ingrédients, on la secoue pour mélanger et il n'y a plus qu'à la fermer avec du papier et de la ficelle et à la porter au hammam où le "farnachi" sera chargé de l'enfouir dans les cendres chaudes pour au moins 4 heures de cuisson à l'étouffée.
C'est un plat fait par les hommes pour les hommes, la gourmandise préparée par les célibataires pour une soirée ou une sortie champêtre où l'on jouera aux cartes en faisant de la musique.

Au Maroc, on retrouve aussi des cuissons en casserole, en kdra dans laquelle les viandes sont saisies au smen, un beurre très goûteux, assez fort. Puis on mouille avec de l'eau qu'on parfume avec beaucoup d'oignons, des épices, un bâton de cannelle et on laisse mijoter.

Nombreux sont ceux qui commencent la journée par une grand bol de soupe. La harira est la soupe nationale. Pendant les 30 jours du mois de Ramadan, chaque maison prépare ce potage parfumé, imprégnant les rues de son odeur à l'heure du coucher du soleil. On rompt alors le jeûne (f'tour) avec cette riche soupe à base de viande, lentilles, pois chiches, que l'on mange avec les beghrirs, petites crêpes en nid d'abeille servies avec du beurre fondu et du miel, les shebbakias, gâteaux frits dans l'huile et enrobés de miel. Cette " légère " collation permet d'attendre le vrai dîner qui se déroule plus tard dans la nuit.

La chermoula est la préparation de base pour assaisonner la plupart des poissons dans les recettes marocaines, qu'ils soient frits, cuits en tajines avec des légumes ou bien farcis et cuits au four. C'est un mélange de coriandre, d'ail, de piment doux et fort, de cumin et de gros sel mouillé au jus de citron et à l'huile d'olive.

Un repas traditionnel ne serait pas complet sans des fruits et surtout de nombreuses pâtisseries

  • Mahancha - pâtisserie fine fourrée aux amandes
  • Righaif - crêpe au miel et aux graines de sésame
  • gâteaux au miel
  • Cornes de gazelles
  • Feqqas aux amandes, aux raisins secs
  • Ghoriba aux amandes, au sésame
  • shebbakia - gâteaux frits dans l'huile et enrobés de miel etc.

Marrakech s'éveille. Comme chaque matin depuis 800 ans, avec les mêmes inflexions chantantes, l'appel du muezzin résonne du haut des 70 mètres de la Koutoubia, le phare spirituel de Marrakech. Le soleil se lève. Une foule bigarrée envahit les rues tortueuses de la médina. Charrettes remplies d'oranges, de graines grillées, femmes venues de l'Anti-Atlas pour vendre leurs paniers, conteurs, musiciens, écrivains publics devant leur parapluie noir, diseurs de bonne aventure, apothicaires offrent le spectacle hallucinant d'une journée comme une autre.

Le Maroc s'éveille. Dans les souks de Fès, les dinandiers commencent à façonner théières et chaudrons. Le souk aux olives embaume. Les pâtisseries s'empilent en appétissants beignets, cornes de gazelle, gâteaux aux dattes...

À Rabat, à l'ombre de la casbah des Oudayas, forteresse d'indomptables corsaires andalous du XVIIème siècle, les hommes s'installent au café maure, traitent leurs affaires devant un thé fumant à la menthe, et laissent parfois traîner leur regard, au loin, sur les barques qui dansent dans l'Oued Bou Regreg au pied des remparts de Salé.

À Agadir, dans le premier port sardinier du monde, les sirènes retentissent, des chalutiers multicolores accostent, des hommes burinés réparent leurs filets, les pêcheurs déchargent bruyamment, au fil des heures, des cageots de poissons frétillants, sardines, merlans, loups, mulets, thons et aussi crevettes, homards et langoustes...

Le thé à la menthe est un signe d'hospitalité. On vous le sert bien chaud et bien sucré à toute heure de la journée chez le marchands de tapis, sous une tente berbère ou au salon d'un grand hôtel. Servi dans un petit verre, il est versé très haut pour en enlever toute âcreté. On retrouve aussi le Chiba, un thé à l'absinthe.

Puis, quand vient le soir, les gargotiers s'installent. Alors les quinquets et les étoiles s'allument et les fumets des viandes rôties, du couscous, de la harira, des beignets emplissent l'air de la nuit. Dans la médina, le spectacle continue avec ses souks, labyrinthe d'ombre et de lumière, ramifié à l'infini sous des treillages de roseaux, festival marocain de couleurs, de sons, de parfums qui invitent à suivre le rythme de la foule, à pénétrer plus avant dans la culture marocaine.

On monte sur la terrasse respirer la douceur du soir. On pose les plats sur la table basse et on prend le temps de vivre.

Recevoir à la marocaine

maroc12Une leçon d'hospitalité…

Les goûts et les senteurs de la cuisine marocaine invitent au voyage. Pour plonger dans l'atmosphère chaleureuse d'un repas typique, il faut tout d'abord créer une ambiance conviviale. Les pastillas, tajines ou autres couscous n'en seront que meilleurs. Riche en épices et très parfumée, cette gastronomie aux multiples recettes met nos papilles en fête. Voici quelques idées et conseils pour recevoir famille et amis comme on sait si bien le faire au Maroc…

La boisson nationale au Maroc est le thé à la menthe. On le boit à toute heure de la journée, on l'offre à un hôte pour lui souhaiter la bienvenue ou pour conclure un repas. Le cérémonial a son importance : les verres et la théière sont disposés sur un plateau en métal ciselé et le thé est toujours préparé en présence des invités. Ensuite, il faut un peu de dextérité pour le servir. D'un mouvement ample du poignet, le thé se verse de très haut dans des petits verres étroits. Pour ne pas se brûler, il faut le tenir le verre par le haut en aspirant le thé avec un peu d'air.  

 Pour les marocains, l'hospitalité est un art de vivre. Manger et recevoir sont deux plaisirs indissociables. Toute occasion est bonne pour réunir famille, amis ou étrangers autour d'un repas. La cuisine marocaine marie facilement les fruits aux viandes et a un petit penchant pour les sucreries. En outre, toute une palette d'épices donne la possibilité de créer des saveurs uniques.
L'entrée la plus typique est la pastilla. Originaire de Fès, cette spécialité se prépare généralement lors de grandes cérémonies ou des repas de fête. Il s'agit d'un
feuilleté, fabriqué à partir de feuilles brick, farci de viande de pigeon. Le tout est recouvert de sucre et de cannelle. Pour des jours moins fastueux on peut la préparer avec du poulet ou de l'agneau. Il existe aussi des variantes au poisson et même au lait pour le dessert.
Pour la suite du repas, le tajine, véritable plat national, est une solution idéale. Si vous voulez épater vos invités, n'hésitez pas à utiliser l'ustensile traditionnel, un plat creux et un couvercle en forme de cône. Beau et coloré, il passe au four, sur des plaques électriques ou au gaz. Cependant, pour plus de facilité, on cuisinera le tajine dans une cocotte avant de le présenter dans le plat en terre cuite. Ce mets est un ragoût de viande et de légumes cuits à l'étouffée dont les variétés sont nombreuses. Essayez celui à
l'agneau au fenouil et aux dattes ou aux coings, vous ne le regretterez pas. On peut également utiliser d'autres viandes, comme le veau, le poulet, et même le lapin, préparées avec des pommes, des pruneaux ou des fruits secs.            
Le deuxième plat typiquement marocain est le couscous. Traditionnellement servi le vendredi midi, on le déguste aujourd'hui, indifféremment, tous les jours de la semaine. Composé d'un mélange de viande, de légumes et de semoule de blé cuite à la vapeur, les recettes de couscous sont toutefois très nombreuses. Pourquoi ne pas en tenter un à
l'orge vert ou au 27 épices. L'un et l'autre sont un vrai régal !                
Lors de grands repas de fête, comme les mariages, le couscous est servi à la suite de la pastilla et du tajine. Autant dire qu'après tout ceci, les fruits servis en dessert sont les bienvenus. L'idéal est de proposer une salade d'oranges à la cannelle qui apporte un peu de fraîcheur. On peut l'accompagner de pâtisseries traditionnelles. Pour une touche finale tout en douceur, confectionnez de délicieuses cornes de gazelle, des ghoriba aux amandes ainsi que divers petits gâteaux, au miel et aux épices, comme les
Chebbakia et les Blighattes.



Pour plonger dans l'atmosphère chaleureuse d'un repas typique, vous devez tout d'abord créer une ambiance conviviale. Chacun doit prendre place autour d'une table ronde, généralement en cuivre travaillé, dont le poli reflète les gros plats de terre cuite vernissée. Pour plus de confort, les invités sont installés sur de gros coussins aux couleurs vives.
Si vous partagez un repas familial, il faut se rincer les mains à l'aiguière. Le maître de maison prononce ensuite le '' bismillah '', '' louange à Dieu ''. Le repas peut alors commencer. 
Quelque soit le mets servi, il est posé au centre de la table. Tout autour du plat principal, de petites soucoupes contiennent les différents condiments, qui viendront parfumer les plats, ainsi que des salades. Si l'usage des couverts s'est généralisé dans les restaurants, la tradition marocaine veut que l'on mange avec les doigts. Ce qui demande un peu d'entraînement. En effet, c'est tout un art que de prendre une poignée de semoule et de la rouler avec les doigts d'une seule main. Généralement, on utilise le pouce, l'index et le majeur de la main droite, la gauche étant considérée comme impure dans les pays musulmans. Si vous avez trop de difficultés, la solution est d'utiliser un morceau de pain sur lequel on dépose un peu de nourriture. La cuisine marocaine est réputée abondante et un repas traditionnel est généralement très copieux. Ainsi, il n'est pas mal vu de ne pas terminer son assiette. Tout finir est très souvent impossible !    



les 50 meilleurs restaurants du monde :


01 El Bulli, Spain (http://www.elbulli.com/) Roses, Nr. Barcelona
02 The Fat Duck, UK (
http://www.fatduck.co.uk/) Bray, Berkshire
03 Pierre Gagnaire, France (
http://www.pierre-gagnaire.com/) Paris
04 Mugaritz, Spain – (
http://www.mugaritz.com/) Gipuzko, Nr. San Sebastian
05 French Laundry, USA(
http://www.frenchlaundry.com/) Yountville, California
06 Per Se, USA (
http://www.per-se.com/) New York
07 Bras, France (
www.michel-bras.com/) Laguiole
08 Restaurante Arzak, Spain (
http://www.arzak.es/) San Sebastian
09 Tetsuya's, Australia (
http://www.tetsuyas.com/) Sydney
10 Noma, Denmark (
http://www.noma.dk.com/) mpenhagen
11 L'Astrance, France, Paris
12 Gambero Rosso, Italy (
http://www.gamberorosso.it/) San Vincenzo, Livorno
13 Gordon Ramsay (Royal Hospital Road), UK (
http://www.gordonramsay.com/), London
14 L'Atelier de Joël Robuchon, France (
http://www.robuchon.com/) Paris
15 Restaurant Le Louis XV, Monaco (
www.alain-ducasse.com/) Monte Carlo
16 St John, UK (
http://www.stjohnrestaurant.co.uk/) London
17 Jean Georges, USA (
http://www.jean-georges.com/), New York
18 Alain Ducasse au Plaza Athénée, France (
http://www.alan-ducasse.com/) Paris
19 Hakkasan, UK, London
20 Le Bernardin, USA (
http://www.le-bernardin.com/), New York
21 Alinea, USA Highest New Entry (
http://www.alinearestaurant.com/) Chicago
22 Le Gavroche, UK (
http://www.le-gavroche.co.uk/), London
23 Dal Pescatore, Italy (
http://www.dalpescatore.com/) Mantova
24 Le Cinq, France, Paris
25 La Maison Troisgros, France (
http://www.troisgros.fr/), Roanne
26 El Celler de Can Roca, Spain (
http://www.cellercanroca.com/) Girona
27 Restaurant de l'Hôtel de Ville, Suisse (
http://www.philippe-rochat.ch/)
28 Hof van Cleve, Belgium (
http://www.hofvancleve.com/) Kruishoutem
29 Martin Berasategui, Spain (
http://www.martinberasategui.com/), Gipuzkoa
30 Nobu, UK (
http://www.noburestaurants.com/) London
31 Can Fabes, Spain (
http://www.canfabes.com/), Saint Celoni
32 Enoteca Pinchiorri, Italy (
http://www.enotecapinchiorri.com/) Firenze
33 Restaurant le Meurice, France (
http://www.lemeurice.com/)
34 Vendôme, Allemagne (
http://www.scholssbensberg.com/)
35 Die Schwarzwaldstube, Allemagne (
http://www.traube-tonbach.de/)
36 Le Calandre, Italy (
http://www.calandre.com/) Sarmelo di Rubano
37 Chez Panisse, USA (
http://www.chezpanisse.com/) Berkeley, California
38 Charlie Trotter's, USA (
http://www.charlietrotters.com/) Chicago
39 Chez Dominique, Finland (
www.chezdominique.fi/) Helsinki
40 DOM, Brazil Sao Paolo
41 Daniel, USA (
http://www.danielnyc.com/) New York
42 Oud Sluis, Netherlands (
http://www.oudsluis.nl/) Sluis
43 Ristorante Cracco, Italy, Milan
44 Asador Etxebarri, Spain, (
http://www.asadoretxebarri.com/)
45 Les Ambassadeurs, France, Paris
46 L'Arpege, France (
http://www.alain-passard.com/) Paris
47 Tantris, Allemagne (
http://www.tantris.de/)
48 Oaxen Skärgårdskrog, Suède, (
http://www.oaxenkrog.se/) Hölö
49 Rockpool (fish), Australie (
http://www.rockpoolsydney.com/)
50 Le Quartier Francais, South Africa – Best in Middle East & Africa (
http://www.lequartier.co.za/)

 

 

Un commentaire. Dernier par amateur de saveurs nouvelles le 23-07-2013 à 11h56 - Permalien - Partager
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