
Nous partons très tôt (6h de car pour rejoindre Puno), c'est peut-être pour ça que j'ai eu quelques petits ennuis avec mon appareil photo....
Toujours ces déserts d'herbe drue dont se nourrissent les alpagas, lamas et vigognes



Nous avons quand même droit à un arrêt dans les WC installés spécialement pour les touristes. Pour la petite histoire, c'est 1 sol = 25 cents le morceau de papier toilette, et la "dame pipi" jette un seau d'eau dans la cuvette en guise de chasse d'eau. Même dans les villes équipées de tout-à-l'égout, il est interdit de jeter le papier toilette dans la cuvette. Le système de plomberie péruvien laissant à désirer, des poubelles sont mises à dispositions.
Nous côtoyons quelques villages






Certains se préparent pour la fête










Nous nous sommes arrêtes pour visiter une propriété typique. Sur le toit des diverses "pièces" de la maison, 2 taureaux en poterie sont placés en protection





La chambre :
La cuisine où sont entreposées les bouses séchées qui servent de combustible (il n'y a pas d'arbre sur l'altiplano)
La maitresse de maison s'activait dans sa cuisine d'été. Elle nous a fait déguster des pommes-de terre (400 sortes existent au Pérou), du maïs, du quinoa, et nous a montré les pommes-de terre déshydratées (pour les conserver, ils les laissent se dessécher)


Son métier à tisser : 