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Ecriture

Mes poésies et Mes dessins

Joyeuses fêtes à tous Publié le Jeudi 23 Décembre 2010 à 16:02:10

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Joyeux noël      

 

 

La marmotte  rêve  dans l’attente du printemps.

Un lézard hiberne  au milieu d’un vieux mur.

Un soir d’hivers, La cheminée chante gaiement.

 

Dans la neige, jouent des enfants espérant.

L’arrivé de l’homme à la hôte et au traineau,

Alors que l’année  finie sa course doucement.

 

Dans sa chambre, le poète rêve  nonchalant.

Un mot, deux mots, le poète écrit des vers.

Pour  souhaiter  de finir l’année  joyeusement

Afficher les 3 commentaires. Dernier par Temps de Livres le 16-07-2013 à 11h12 - Permalien - Partager
portrait Publié le Vendredi 10 Décembre 2010 à 17:02:11

Image

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Saturnin Publié le Vendredi 10 Décembre 2010 à 03:54:39

 

Saturnin

 

 

 

 

Le réveil mélodieux d'un rossignol qui chante l'espoir,

La fraicheur du vent qui susurre des mots à l'oreille

La jolie qui passe et offre sa fraicheur aux parisiens,

Saturnin déambule un matin sans une tune en poche,

 

Deux amoureux assient sur un banc des quais de la seine

Un artiste ,non loin de là, immortalise un monument

Un petit chien , se promène et renifle on ne sait quoi

Saturnin , le carton sous une pile de pont, est toute sa vie,

 

L' éternel fleuve se ballade jours après jours dans Paris,

La Seine salut alors les habitants et admire l'éternelle capital

Saturnin qui avait tout, maintenant n'a plus rien

Saturnin, vêtu d'un beau costard marche vers son destin,

 

 

Sa vie était tel le colosse de Nabuchodonosor à la tête d'or,

dont une pierre fit s 'écrouler la statue aux pieds d'argile,

Les étoiles, ses amies , l'accompagnent désormais la nuit,

Saturnin , ce matin, est content car il a un rencard ,

 

 

Un bel immeuble rutilant a élu domicile un vieux quartier ,

Une vielle rue bordée de platanes et de pigeons attendent,,

Arrive alors Saturnin fier comme Artaban à son rendez vous,

Un taulier attend Saturnin pour un taf au deuxième étage,

 

 

Quel espoir pour un mec de cinquante balais de trouver du taf?

Saturnin entre dans le bureau, à l'heure, ou il avait rendez vous,

Le taulier l'invite a entrer et à poser ses miches sur une chaise,

Saturnin regarde l'homme qui a son age et pourrait être son frangin,

 

 

Un rossignol se pose sur la fenêtre sifflant une jolie mélodie,

Un arbre à l  'extérieur fit frémir ses feuilles sous l'effet du vent,

Le souvenir des paroles d' une frangine lui vint alors à l'esprit

Saturnin s'adressa au chef du personnel et se présenta,

 

 

Alain BOUVRY

Afficher les 4 commentaires. Dernier par Alain le 25-12-2010 à 11h41 - Permalien - Partager
L'africain Publié le Lundi 6 Décembre 2010 à 17:56:53

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L’africain

 

 

Ne laissant aucune empruntes sur la plage,

mes pieds sur le sable, sont brulés par le soleil.

Je ne laisserai aucunes traces ni aucuns souvenirs.

Je marche je ne sais ou espérant je ne sais quoi.

Un jour je le sais, je partirai.

 

L’océan africain est immuable et immobile,

alors qu’à l'horizon, un paquebot passe

vers le pays de cocagne ou ma fortune serait assurée.

Un jour le sait je partirai.

 

L’avenir m’est interdit et l’espoir m’est impossible

et je marche en ce lieu comme une âme en peine

espérant qu’un bateaux s’arrête et m’emmène.

Un jour je le sais, je partirai.

 

De jolies gazelles du nord, blondes aux yeux de braises

viennent pourtant le soir se consoler dans ma couche

Et s’enivrer de mon corps d’ébène.

Un jour je le sais je partirai.

 

M’offrant un dernier baisé avant de repartir au matin

dans leurs contrées lointaines et me laissant seul

comme un pauvre ère sur le bord de mer.

Un jour je le sais je partirai.

 

Un jour peut être, une de ces belles me montrera

ce lieu au loin regorgeant de délices

et de trésors ou tout rêve est possible.

Un jour je le sais je partirai.

 

Pourtant des que le soleil se lève, la belle de la nuit

qui dans mon lit la nuit s’endort est reparti

Je reste seul dans mon pays avec mon chagrin.

Un jour je le sais je partirai.

 

Je quitte alors le bord de mer et part dans ma savane

auprès des lions, des éléphants et des antilopes.

car après tout leurs pays n’est peut être pas si bien.

Maintenant je le sais jamais je ne partirai.

Alain BOUVRY

 

 

 

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