Je suis ému sa réponse m'a blessé
Et tous mes membres sont cassés
Je n'ai plus la force de continuer
Je pleur tristement, elle m'a manié
Les douleurs fussent persistées
Abattu, je n'en peux plus résister
J'ôterai ma triste vie sans remords
Mes peines ont combattu le record
J'invoque le Dieu fort de la nature
De mettre fin à mes mésaventures
La tristesse ordurière fut mon sort
Je suis condamné de vivre mort
Je sanglote les larmes saumâtres
Je me régale aux déplaisirs âpres
D'un sourire aigre je te dédaigne
Tant pis je ne vais plus te daigne
Je pleurais tristement dans cette nuit d'hiver.
Pour la perte des beaux jours de la jeunesse,
Innocent et beau, plein de joie et d'allégresse,
Gai, j'ai joué dans les champs généreux et verts.
O le temps tu es marâtre et éphèmère !
Hélas l'âge passe et anéantit ma souplesse,
Il mange ma vie et me cause la faiblesse,
Fi de la vie! comme elle est courte et sévère.
Contre la vie contre moi inutilement je m'éprouve,
Cherchant le bonheur, la douleur que je trouve.
Or le chagrin est un tourment long et superflus,
Je voudrais revivre les jours de l'enfance,
J'héle vainement et les souvenirs je recense.
Le pis se contraste mais le bonheur n'est plus.
Pardonne moi, si j'avais tort
Sans ton éclat je serai mort
Mes lèvres mornes et je chante
Le cauchemar hideux me hante
Je regrette de t'avoir blessée
De mes offenses tu t'es lassée
Donne moi encore une chance
Que l'amour s'exalte et danse
Tu es mon miel qui m'édulcore
Mes yeux charmés par ton corps
Blanc doux, agréable et bénin
Qui m'illuminait le chemin
ô nymphe adorable de l'amour
Je suis en période de labour
Je serai comme tu as désiré
Homme distingué et mesuré
Ah que ton fœtus me soutient
Dans ma solitude me fait du bien
Je t'imagine avec moi toujours
De l'aurore à l'aube du jour
Tu es ma source de félicité
Mon âme sous l'effet de gravité
De ta magie, de tes grandeurs
Je m'incline devant ta splendeur
tu m'as battu je hausse ma voix
M'entends-tu par quelle voie?
je m'acheminerai pour ta revue?
ô ma fée, m'as-tu vu ?
Triste et éperdu, las de vivre
Je secoue ma tête pour suivre
Le destin amer qui s'en moque
De moi,m'afflige et me choque
Mignonne, ta douceur m'a dompté le cœur
Dans tes yeux noirs j'ai vu mon rêve choir
De leurs éclat des astres, j'en suis idolâtre
Ton sourire parfumé m'a beaucoup allumé
Ah ta belle bouche qui me rend farouche
Ton buste dépravant et les seins en avant
Et le tétin cerise, me provoque et me brise
A cause de ta beauté, je suis très palpité
O ton corps souple, me cause des troubles
Vu ton gros cul, je souffre des scrupules
De ton nombril suave, j'en suis esclave
Ton abricot délicieux me hausse aux cieux
Ma bouche et mon courage contre ton orage
Je vais ardent, te toucher et te gamahucher
De ton nectar je serai ivre pour te suivre
Alors on fera l'amour, dans ton lit le labour