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Mammes Roussottes

Bienvenue

A Mlle ... Publié le Vendredi 11 Février 2011 à 01:16:06

Je suis ému sa réponse m'a blessé
Et tous mes membres sont cassés
Je n'ai plus la force de continuer
Je pleur tristement, elle m'a manié
Les douleurs fussent persistées
Abattu, je n'en peux plus résister
J'ôterai ma triste vie sans remords
Mes peines ont combattu le record
J'invoque le Dieu fort de la nature
De mettre fin à mes mésaventures
La tristesse ordurière fut mon sort
Je suis condamné de vivre mort
Je sanglote les larmes saumâtres
Je me régale aux déplaisirs âpres
D'un sourire aigre je te dédaigne
Tant pis je ne vais plus te daigne


Afficher le commentaire. Dernier par Babby le 17-02-2011 à 21h03 - Permalien - Partager
Hantise Publié le Dimanche 3 Juillet 2011 à 19:43:48

Je pleurais tristement dans cette nuit d'hiver.
Pour la perte des beaux jours de la jeunesse,
Innocent et beau, plein de joie et d'allégresse,
Gai, j'ai joué dans les champs généreux et verts.

O le temps tu es marâtre et éphèmère !
Hélas l'âge passe et anéantit ma souplesse,
Il mange ma vie et me cause la faiblesse,
Fi de la vie! comme elle est courte et sévère.

Contre la vie contre moi inutilement je m'éprouve,
Cherchant le bonheur, la douleur que je trouve.
Or le chagrin est un tourment long et superflus,

Je voudrais revivre les jours de l'enfance,
J'héle vainement et les souvenirs je recense.
Le pis se contraste mais le bonheur n'est plus.

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L'amoureuse de Marquis Publié le Dimanche 3 Juillet 2011 à 20:01:50
Elle était blonde d'une beauté si rare
Tellement très belle sans aucun tare
Elle avait seize ans quand il l'eut connu
Ce barbon fut le premier qui l'eut vu nue
Excelle la ruse, il lui fit cent serments
Irréelles, qui eurent causé ses tourments
Cependant dans un soir chaud d'automne
Il l'amena chez lui avec un accueil atone
La poussa sur le lit, la main sur le flingues
il Lui ordonna de trousser ses fringues
La pauvre fillette l’obéi et resta à poil
Pourquoi? malheureusement elle se dévoile
Pour un vieux corrompu qui ne mérite pas
La douceur angélique de ses appâts
il la tira par ses cheveux et la baise !
Ses cris mêlés de plaisir et de malaise.
Or ses beaux lèvres frimassent de peur
Il continua sans se soucier si elle pleure !  
Comme si il ne l'eut aperçu ni l'eut oui  
Aigrement le vieux rit quand  il eut joui
Et la blonde sortit sans dire un mot
Ayant l'envie de faire un complot
Contre le barbon pour le détracter
Qui eut abusé d'elle et de sa bonté
Sans que personne sut pourquoi
Traquer par la foule. Elle fut aux abois.
Elle devint pouffe aux yeux du peuple
A leurs mots rudes elle se tremble
Regrettant ses caprices et son dédain
Elle Sombra dans le dégoût et le chagrin.
Elle pleurait et sa douleur fut intense.
Puisqu'il eut détruit tout son essence.
Elle traça un dessein pour se venger.
La bouffe empoisonnée lui donna manger.
Le comte exhala le dernier soupir.
Il cria et gémit mais c'est encore pire.
Son agonie fut horrible jusqu'à sa mort.
Et elle se rendit compte qu'elle eut tort.
Que la terrible aventure soit mortelle !
L'humanité n'ait jamais connue de telle!
Inopinément la police survint et l'arrêta.
Inutile de fuir, l'un d'eux la menotta
Et ils la conduisirent vers la fourgonnette.
Hélas sa fin fut plus affreuse que chouette
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Las de vivre Publié le Samedi 29 Octobre 2011 à 18:23:05

Pardonne moi, si j'avais tort

Sans ton éclat je serai mort

Mes lèvres mornes et je chante

Le cauchemar hideux me hante

Je regrette de t'avoir blessée

De mes offenses tu t'es lassée

Donne moi encore une chance

Que l'amour s'exalte et danse

Tu es mon miel qui m'édulcore

Mes yeux charmés par ton corps

Blanc doux, agréable et bénin

Qui m'illuminait le chemin

ô nymphe adorable de l'amour

Je suis en période de labour

Je serai comme tu as désiré

Homme distingué et mesuré

Ah que ton fœtus me soutient

Dans ma solitude me fait du bien

Je t'imagine avec moi toujours

De l'aurore à l'aube du jour

Tu es ma source de félicité

Mon âme sous l'effet de gravité

De ta magie, de tes grandeurs

Je m'incline devant ta splendeur

tu m'as battu je hausse ma voix

M'entends-tu par quelle voie?

je m'acheminerai pour ta revue?

ô ma fée, m'as-tu vu ?

Triste et éperdu, las de vivre

Je secoue ma tête pour suivre

Le destin amer qui s'en moque

De moi,m'afflige et me choque

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Publié le Samedi 29 Octobre 2011 à 18:25:08

 

Mignonne, ta douceur m'a dompté le cœur

Dans tes yeux noirs j'ai vu mon rêve choir

De leurs éclat des astres, j'en suis idolâtre

Ton sourire parfumé m'a beaucoup allumé

Ah ta belle bouche qui me rend farouche

Ton buste dépravant et les seins en avant

Et le tétin cerise, me provoque et me brise

A cause de ta beauté, je suis très palpité

O ton corps souple, me cause des troubles

Vu ton gros cul, je souffre des scrupules

De ton nombril suave, j'en suis esclave

Ton abricot délicieux me hausse aux cieux

Ma bouche et mon courage contre ton orage

Je vais ardent, te toucher et te gamahucher

De ton nectar je serai ivre pour te suivre

Alors on fera l'amour, dans ton lit le labour

 

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