Mignonne allons voir si ton con te raffole
Et ma triste tragédie dont il fut i'idole.
Je suis l'humble esclave de tes grands yeux.
Mon gémissement intense, j'invoque mes aïeux.
Pour m'aider à m'en sortir de mon grisaille.
Renfrogné je râle et ma couleur devint pâle.
ô douleur, fi de l'aimbale et fi de la lie
ta bouche suc me tremble, je t'aime ma jolie.
Délicieuse, je veux éperdument te gamahucher.
Sauve mon âme noyé ou condamne moi au bûcher.
Lerche gracieuse et l'oeillade de ton buste.
Je m'accroupis faible devant ton corps robuste.
Armé d'une douçaine je viens sur ma licorne.
Sénérade chouette, chantonner sous ta lucarne.
Ouvre sur moi tes yeux éplorés à cause de lui.
J'écris à toi angélique cette idylle à minuit.
Pourrais-je vous parler de l'amour.
Qui a fait le long voyage sans retour.
Mon cœur qui pleure et son clameur,
Blesse mon âme et produit la terreur.
Je suis las. et ma vie sombre toujours,
Assez triste et se fane tous les jours.
Et mes sanglots qui chantent en chœur,
Avec la pluie, m'annihilent le cœur.
le suicide est simple comme bonjour.
Vaincre le chagrin au rythme du tambour,
Mais le deuil est triste dont la peur,
De trouver le bon Dieu en fureur.
A l'enfer inutile de faire le demi-tour.
Le mécréant cri fortement et court.
Je contemple les étoiles et je pleure.
Combien me reste-t-il d'heures?
De porter le linceul et faire le détour.
Itinéraire géhenne ou glamour?
Je transperce outre en outre,
Je suis misanthrope qui déteste les autres.
Quant à la vie amertume,
dont la merde, l'ennui et le fardeau m'abîme.
s'accrocher à l'escarpolette,
peu soucieux et incurieux s'il me jette.
ô douleur, Je rôti le balai,
qu'ai-je à faire ici et là ? Je suis chamboulé.
vos maudits à la noix,
Hélas mon père n'est pas le frère d'un roi.
sous un ciel d'automne,
je vais chez vous pour demander l'aumône.
Inexorablement suis-je expulsé,
par vous les bêtes féroces sans me compulsé.
mon génie n'est pas reconnu,
Coupable la société qui ne m'a pas entretenu.
je baise vos mains?
Léche-bottes y restent, toi reviens demain.
je vous emmerde les reptiles,
courber lâchement,je maudis la personnes vile.
je me contente aux miettes,
vivre digne, brave, neutre, loyal et honnête
Hier au soir, tu m'es jailli dans les rêves.
Courir gaie dans les champs sans trêve,
ET tes bras tendus s'élevant vers le ciel.
Le pourpre de tes lèvres distillent le miel.
Contorsionner ton corps joli et cueillaison,
Le benjoin et l'encens, l'extase séduisant.
Valser doucement sur un morceau de bois,
Sur le point de choir, le tintement coi.
- Bouille mou mol mouillé -, tu flottes.
Sur la vague exquise suave qui clapote.
Comme une sirène somptueuse tu sors !
Avec un sourire abracadabrant. et tu dors
Dans la clarté brillante comme un séraphin.
Autour de toi guinchent les dauphins.