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Mammes Roussottes

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L'homme Ardent Publié le Dimanche 3 Octobre 2010 à 05:46:34

Les greluches font le cent pas au trottoirs.
Et la bête assoiffée les toise du regard,
Contemple avec émoi les anus bombés effrénés.
Outrage les racoleuses pour les égratigner.
Obsédé et son coeur ne bat que pour l'érotique.
Coureur des jupons de la chair il est fanatique.
Se souvient-il de tous ses ex qu'il évoque.
Et ses belles nuits indicibles charnelles soliloque.
Toujours en rut, Client fidèle de bobinard.
Il adore bâfrer le clitoris et mordre les nibards.
Impostume, et ces mensonges intarissables.
Ruse les femmes, il est faquin méprisable.
Postillon jeune pimpant, corps robuste torride.
Et comme aujourd'hui vieux blasé morbide.

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Poème Saturnien Publié le Dimanche 3 Octobre 2010 à 05:46:06

Que fais-je excepte me blâmer moi-même.
Je voltige mes jours comme au ski le stemm.
La banalité de la vie m'envahit et me brouille.
Triste et éperdu et je ne puis me débrouille.
L'amour prude que je ressens, a été bafoué.
M'a traité de maboul, et le cœur m'a troué.
Malchanceux souvent,
éternel mélancolique,
Car vivre avec les ingrats, c'est le bernique.
O soucis que veux-tu ? t'es odieux et ridicule.
Ma vie pêle-mêle, je riposte mais je recule.
Baisser mes mains comme des armes vaines.
- Fastidieux -, ras le bol de la même scène.
Mégarde de destin ou erreur de la nature ?
Obscur au-delà au-deçà je manque de patûre.

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Fleur Bleue Publié le Dimanche 3 Octobre 2010 à 05:44:57

Dans le vieux temps passé.
De la douleur j'ai amassé.
Je t'ai vu une seule fois.
Et ça m'a troublée la foi.
te souviens-tu de ce jour?
Où on a gargarisé l'amour.
Ah pourquoi je t'ai perdu?
De tes yeux j'étais mordu.
Ton accueil fut chaleureux.
Mais ton amour douloureux.
Tes cheveux châtains épars.
Et tes yeux d'azur hagards.
D'une voix douce et sonore,
M'as dis-tu que j'ai tort.
T'as pris avec toi mon âme.
Je sens le chagrin infâme.

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