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Déca-Danse

décadence...

Cher B, Publié le Mardi 8 Juin 2010 à 11:32:40

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J'ai encore fait deux rêves cette nuit. arg, je ne m'en rappelle encore plus. ces temps ci, mes rêves m'échappent, c'est agacant, si tu savais à quel point !! la seule chose dont je suis sure, car je l'ai pensé lorsque je m'en suis réveillée, c'est que c'était des rêves connus, que j'ai fait souvent, tout au long de ma vie. c'est donc qu'ils doivent être important, et évidement, puisqu'ils le sont, je les oublis... logique.

il faut aussi que je te dise que depuis que j'ai mis en relation mes haults le coeur par rapport aux excréments, et ceux que j'ai eu lorsque j'ai tenté de nettoyer la main de grand père, je n'en ai plus ?! pourtant, je n'avais jamais oublié ce détail, c'est juste que j'ai fait la relation entre ces deux phénomènes. incroyable, c'est..."magique".

j'ai aussi pensé fugitivement, à une relation entre ma boulimie de nourriture, et ma boulimie de lecture... qu'en penses tu ??? tu vois comme si j'avais besoin de remplir quelque chose de toutes les façon possibles : rumination (pensées), alcool, nourriture, lecture... et donc, de remplir quelque chose qui n'est pas "strictement" boulimique. enfin, j'ai du mal à m'expliquer là.

j'ai téléphoné au frère du collègue à mon père. ca a été plus facile que ce que je pensais. il ne m'a pas donné d'autres numéros, il ma juste demandé de lui envoyé mon cv, et dit qu'il le donnerait aux gens qu'il connaissait. on verra bien.

demains, je suis sensée aller à un salon pour l'emploi dans le milieu médical. il n'y a que des postes d'infirmière, AMP, et aide soignantes... je ne vois pas l'utilité d'y aller, parce qu'ils n'y aura pas de poste de psy, et que même s'il y en a, ca marchera pas. il faudrait que je prenne le train, ce qui me terrifie et me dégoute, que je paye le train (pour rien), pour aller à un truc, où il y aura du monde, et tout ca... pour rien. mais comme mon père, veut que j'y aille, et que je veux pas qu'il pense que je suis une feignante (même, si j'imagine qu'on peut le dire), je vais prendre la voiture, et dire que j'y vais (en me garant à la gare), mais en fait, je vais aller me balader, et bouquiner dans la voiture, et préparer mes mensonges, en attendant qu'il soit une heure "logique" pour rentrer...  bref, j'aurai une journée de liberté, si on veut... je sais, suis pas fière de moi, mais, c'est le même prix.

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Une saison chez Lacan, Pierre Rey (1) Publié le Lundi 7 Juin 2010 à 16:10:10

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Une saison chez Lacan, Pierre REY, sept 2009 éd Points essais, 1ère publication 1989, Robert Laffont, ISBN : 978-2-7578-1534-2

"Les femmelles étaient plantées verticalement dans le sable, leur seule tête émergeant, gueule spasmodiquement ouverte comme pour une respiration difficile, laissant échapper une espèce de gémissement sourd tantdis uqe les mâles, par grappes, se pressaient contre elles, indifférents dans ce ballet d'amour et dem ort à l'asphyxie qui les guettait, toujours plus loin et plus loin de la vague qui n'arrivait plus jusqu'à eux. Certains, par bonds désordonnés, tentaient de retourner vers la mer en un ultime instinct de survie mais la plus part s'abandonnaient, ventre en l'air, inertes." Une saison chez Lacan, P. Rey, p17

" Je ne savais plus pourquoi j'étais là, ni depuis quand, ni pour combien de temps encore, ni ce que j'y faisais." Une saison chez Lacan, P. Rey, p18

"La culture, c'est la mémoire de l'intelligence des autres. Hormis quelques appareils digestifs exceptionnels, elle ne produit que de la culture, un discours sur un discours, à l'infini, qui se déploie dans les limites sans surprise du registre de la loi : la nier, la combattre ou la subir, dans tous les cas, c'est encore la reconnaïtre." Une saison chez Lacan, P. rey, p19

"Le jour où j'ai compris que thèse, anti-thèse et synthèse étaient le fondement de l'Université, j'ai quitté l'Université." Lévi-Strauss, in "Une saison chez Lacan", de P. Rey, p19

"Il (Sartre) avait écrit : "On est ce qu'on fait." J'avais la certitude absolue du contraire : on est ce qu'on ne fait pas. Je savais de quoi je parlais : je n'avais commencé à être qu'en cessant de faire. depuis quatre ans, ma vie était une non-action parfaite. Je ne faisais strictement rien. J'étais devenu un buveur de temps. Je l'aspirais au goutte-àgoutte, attentif à sa coulée, dont j'ignorais le sens et le goüt quand j'étais supposé ne pas le perdre, du temps que je ne prenais jamais le temps d'avoir le temps. Les creux se meublaient d'actions futiles comme les logements médiocres de guéridons surchargés de bibelots idiots qui, par compensation métaphorique, comblent le vide mental de ceux qui les empilent. Je ne savaient pas encore dire non." Une saison avec Lacan, P. Rey, p20-21

""On est ce qu'onf ait" pour le regard de l'Autre, pour le sien, "on est ce qu'on jouit"." Une saison chez Lacan, P.Rey, p22

"La jouissance est un état de plénitude qui se suffit à lui-même. C'est pour cela qu'on ne peut rien en dire -si on l'éprouve. Dans le cas contraire, on supplée par le discours. Moins on jouit, plus on explique. Moins on comprend, plus on affirme." Une saison chez Lacan, P.Rey, p23

"La création [...] ne peut naître que d'un ratage, le manque à jouir." Une saison chez Lacan, P.Rey, p23

"Le principal étant une question que je feignais de trouver insoluble : Comment l'écrire ? La réponse était pourtant évidente : Comme je l'écris." Une saison chez Lacan, P. Rey, p25

 "[...] dans "convaincre", il y a "vaincre", mais il y a surtout "con". Le con, c'était moi." Une saison chez Lacan, P.Rey, p37

"Je me ruai dans une librairie pour acheter les Ecrits. J'eus beau les parcourir toute la nuit, je n'y compris absolument rien. En apparence, Lacan utilisait pourtant les mots de tout le monde, mais la façon dont il en truffait le contexte à des places énigmatiques leur conférait une connotation ambiguë qui rendait évanescent le sens de la phrase, privée soudain de ses automatismes ordinaires." Une saison chez Lacan, P.Rey, p45

"[...] dès qu'il s'agit de langage, unique bien commun reçu en partage de naissance, chacun s'imagine que la faculté de s'exprimer donne le droit de comprendre et que l'accès au son débouche obligatoirement sur celui du sens." Une saison chez Lacan, P.Rey, p45

"Je savais désormais que, ne tenant à rien, je serais toujours riche. Je n'aimais que la vie et la liberté. En dehors de ces biens, on ne pouvait rien me prendre." Une saison chez Lacan, P.Rey,p47

"[...] il faut dire que j'avais réduit mon entourage au minimum. Je fuyais depuis longtemps les contacts rapides, multiples, superficiels et sans lendemain que semble faire naître une certaine forme de journalisme. Ils avaient engendré en moi une telle nausée que, eussé-je imaginé l'enfer, je l'aurai conçu comme une scène de parade sociale : un salon de gala brillamment illuminé. Les invités s'y pressent. Bloqué en leur centre, une cigarette dans une main, un verre plein dans l'autre, je suis agressé par la maïtresse de maison qui fait défiler devant moi pour me les présenter des gens que je ne reverrai jamais." Une saison chez Lacan, P.Rey, p56-57

"[...] je n'obéissais qu'à l'urgence de me mettre entre parenthèses, dérivant sur une orbite neutre où je ne pouvais plus nommer, car j'ignorais le mot qui renvoyait aux choses, le nom qui renvoyait aux visages, les visages qui me renvoyaient à moi -c'est-à-dire à presque rien- indifférent soudaint à la rumeur, sourd aux parfum, réfractaire à la course." Une saison chez Lacan, P.Rey, p57

"On est ce qu'on désire. Mais ce qu'on désire, on l'ignore. Et ce désir, dont nous ignorons en quoi il consiste, mais que nous subissons comme la frappe la plus singulière de notre "moi", nul d'entre nous n'a choisi qu'il nous habite. Il est "écrit". Il nous précède. Nous entrons dans son champ par le biais du langage. Avant même de naître, nous sommes voués, heur ou malheur, à en devenir un jour le gestionnaire. D'où la faille. Car ce désir qui nous structure n'est pas nôtre. Il est, par le biais du discours, désir de l'Autre, désir d'un Autre désirant. C'est pourquoi, être de désir, notre destin est de ne pouvoir accéder qu'au manque-à-être." Une saison chez Lacan, P.Rey, p58

"Fonction de l'erreur dans le champ de l'inconscient : pour vivre le discours de l'Autre, j'étais allé jusqu'à m'inventer une fausse raison d'occulter mes propres aspirations." Une saison chez Lacan, P.Rey, p 60

"J'ai appris depuis que tout déplacement dans le champ d'un savoir implique en préambule le difficile aveu de ses manques." Une saison chez Lacan, P.Rey, p63

"Ces jeux du signifiant, une phrase célèvre pourrait en illustrer l'ambiguïté. Phonétiquement, on la perçoit ainsi : "Je pan se don je suis." Mais, selon les hasards du jeu syntaxique, l'écriture en livre dix signifiés différents -à commencer par le bon- "Je pense, donc je suis", "Je panse, donc j'essuie", "Je pends ceux dont je suis", "Je panse donc jeu suit", "Jeu, pense donc, je suie", "Jeux, panses, dons, Jess, huis", "Jepp, anse, Donge, suie", "Je pense, Donge essuie", "Je panse, danger suit", "Jeux, pense donc, jeux-suie", "Je pense, donc j'essuie", etc. Au début du siècle, une jonction capitale fut manquée." Une saison chez Lacan, P.Rey, p71

"Tous les rapports humains s'articulent autour de la dépréciation d'autrui : pour être, il aut que l'Autre soit moins. Le "deux" appelle un rapport de forces. Si tu es moins, je suis plus, si tu es plus, je ne suis pas assez, si tu es trop, je ne suis plus." Une saison chez Lacan, P.Rey, p74

"Il en est de l'argent comme de l'analyse. Existe une zone subtile de dérapage où fin et moyens, se substituant l'un à l'autre, intervertissent la logique de leur fonction." Une saison chez Lacan, P.Rey, p79

"[...] lorsque l'intensité y fait défaut, aussi bien pourrait-il être le temps sans durée de la mort." Un saison chez Lacan, P.Rey, p85

"Au cours de son existence, l'être humain ne possède qu'une certitude, celle de sa mort. Par syllogisme, il est facile d'en déduire le désir de mort inconscient métaphoriquement contenu dans toute recherche de certitude." Une saison chez Lacan, P.Rey, p85

"Car là où on rate, c'est là qu'on réussit." Une saison chez Lacan, P.Rey, p86

"Je n'avais pu tirer aucun son de ma gorge, sinon ce "rien" rageur qui me renvoyait à un "tout" dont l'étendue confusément ressentie me pétrifiait." Une saison chez Lacan, P.Rey, p87

 "Ainsi se marquent, sitôt qu'il cherche à modifier le réel ou à en nier l'existence, les limites du symbolique. Posée comme but à atteindre, la jouissance devient alors un leurre de l'imaginaire : on croit s'y installer, elle vous quitte. C'est pourquoi ceux qui ont "tout" n'ont pas grand chose. Quand les objets et les heures peuvent se multiplier à l'infini dans l'accablante profusion de leur abondance, les visages et les paysages s'interchanger sans que bouge la saison d'un éternel été, ils ne sont que la marque d'un vide où rien ne s'inscrit, qu'un autre vide. L'empreinte en creux de cette absence pèse aussi lourd que le malheur, le malheur doux du mal de vivre. Tout s'y oublie, tout s'y ressemble. Rien ne s'y crée." Une saison chez Lacan, P.Rey, p93

"Rien en apparence ne s'opposerait à ce uqe la jouissance ne soit pas éternelle, sinon le trop de l'intensité et l'intensité de ce trop qui sonnent précisément le glas de son annulation." Une saison chez Lacan, P.Rey, p97

"[...] à supposer que quiconque puisse vivre sans espérer, tel serait pourtant l'antidote de ce poison qu'on appelle l'espoir." Une saison chez Lacan, P.Rey, p97

"[...] tout acte manqué est un discours réussi." Une saison chez Lacan, P.Rey, p105

"Je devais d'abord déconstruire. Patiemment. Je commençais aussi à souffrir. Une souffrance aiguë de loup solitaire. Mes valeurs vacillaient. ceux que j'avais côtoyés ne m'intéressaient plus et d'autres, très peu, que je désirais connaître, ne s'intéressaient pas à moi. Plus assez idiot pour savourer le bonheur d'être dupe, pas assez avancé pour lui trouver un produit de remplacement, je boitais de la tête et du coeur et n'avais d'autre recours, pour compenser ma claudication, que ma rage de comprendre."Une saison chez Lacan, P.Rey, p105-106

"Fatalité du sujet parlant : tout ramenait à l'homme et tout homme ramenait à la parole sans quoi n'existeraient ni l'imaginaire ni le symbolique, ni le réel qui ne se déduit que d'elle. Ile déserte. Homme ? Fumée : pas de fumée sans feu. feu, homme. Homme, langage." Une saison chez Lacan, P.Rey, p113

"Intérieurement, je vivais trop mal avec moi-même pour endurer plus longtemps cette fracture entre ce que j'étais et ce que j'avais l'air d'être : puisque je ne me reconnaissais pas dans le regard de l'Autre et que, par ailleurs, je n'existais pas pour mon propre regard, et comment, pouvais-je bien me voir ?" Une saison chez Lacan, P.Rey, p115

"On ne choisit pas grand-chose. Ni l'instant de naître, ni le nom qu'on porte, ni la couleur de ses yeux, ni ceux qui, plus tard, nous blesseront parce que nous les aurons aimés. Issus d'un désir qui nous restera à jamais étranger, marqués au fer par le langage et la place qui, avant même que nous fussions conçus, nous avait été dévolue comme nôtre par d'autres, un bandeau sur les yeux, nous crions liberté et mourons en aveugle." Une saison chez Lacan, P.Rey, p119

"[...] dès lors qu'elle l'investit, la lettre est maître et de l'être, en quoi s'abolit  son tour l'être devenu lettre." Une saison chez Lacan, P.Rey, p140

""Le signifiant est ce qui représente un sujet pour autre signifiant."" Une saison chez Lacan, P.Rey, p142

 "[...] il avait tord d'avoir raison.", Une saison chez Lacan, P.Rey, p151

"[...] il m'avait apporté ce présent inestimable : grâce à lui, j'avais appris la haine." Une saison chez Lacan, P.Rey, p154

"[...] toute peur envolée, je pus enfin éprouver le bonheur d'être vulnérable." Une saison chez Lacan, P.Rey, p156

"Un menteur dit : "Je mens". En disant : "Je mens", il dit la vérité. Donc, la disant, il ne ment plus. dans ces conditions, il ment encore, mais s'il ment, ce n'est que parce qu'il dit la vérité en avouant être un menteur. Par conséquent, disant la vérité lorsqu'il reconnaït mentir, il redevient menteur en prétendant qu'il ment. Conclusion : On peut mentir parce qu'on dit la vérité, et inversement, dire la vérité lorsqu'on ment." Une saison chez Lacan, P.Rey, p162

"[...] ne me restait plus qu'à assumer la déception inhérente à la rencontre du réel lorsque, magnifié par l'imaginaire collectif, il ne vous laisse sur les lèvres, d'en affronter le choc, qu'un goût à la saveur fade." Une saison chez Lacan, P.Rey, p164-165

"Autant pour celui qui l'utilise que pour celui qui en est l'objet, le regard est menace. Il fouille, pénètre, agresse, trahit le désir de qui le porte et, comme dans les religions animistes, fait peser le danger d'être possédé sur celui dont il capte l'image." Une saison chez Lacan, P.Rey, p183

"Fondée sur les danger qu'elle implique, la liberté, dire merde ou crier non, est plus exigeante et n'appartient qu'à ceux qui la méritent parce qu'ils sont prêts, pour l'obtenir, à y perdre la vie." Une saison chez Lacan, P.Rey, p188

 "Il était né en criant au secours. Son cri muet m'emplissait les oreilles." Une saison chez Lacan, P.Rey, p204

" Encore, pour le savoir, faut-il ne pas ignorer ce qu'elle (la vie) a à nous offrir, et, le sachant, pouvoir le prendre, être prêts à en payer le prix d'un abandon , d'un sacrifice, d'une mort. La nôtre."   Une saison chez Lacan, P.Rey, p211

"Mentir, en maintenant une espèce de statu quo provisoire -reculer pour mieux sauter- ou dire la vérité qui allait provoquer une explosion immédiate ?" Une saison chez Lacan, P.Rey, p215

"[...] personne ne jouit pour moi, ne souffre pour moi, ne meurt pour moi : pourquoi y ajouter la blessure d'un regard qui condamne, le déchirement d'un mot qui méprise ?" Une saison chez Lacan, P.Rey p216

"Le rôle prééminent du vide dans l'articulation de la vie sociale... Idées vides, vide des personnages, des rapports sociaux, des conversations, des débats, vide du discours politique, des idées, des symboles, comment ne pas se poser la question de la fonction du vide ?" Une saison chez Lacan, P.Rey, p217

"[...] il n'y a pas de malentendus, il n'y a que des malentendants." Une saison chez Lacan, P.Rey, p218

"Fallait-il encore que j'eusse appris que le but du désir n'est pas de combler le manque, mais, au contraire, que le manque est cause du désir." Une saison chez Lacan, P.Rey, p218

 

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Cher B, Publié le Vendredi 4 Juin 2010 à 11:48:06

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ce matin réveil en migraine, ca m'apprendra à mélanger tout et n'importe quoi sous pretexte d'avoir à boire...

je vais aller bosser ce week end... j'ai amené une cargaison de bouquin, 4 en même temps, c'est un peu beaucoup non ? mais il y a un thirller, un théorique, un fantastique, et un récit... comment choisir ?

papa a eu un coup de fil d'un ancien collègue qui a son frere qui travaille au ministère de la santé. Il m'avait aidé à trouver un stage l'année dernière. il faut que je l'appelle maintenant... j'ai pas envie. mais, ca y est le harcelement commence "quand est ce que t'appelle ?" . j'aimerai vraiment y voir plus clair avant, et commencer l'analyse... mais, je peux pas leur expliquer ca, ils pourraient pas comprendre. et j'ai même pas envie d'essayer de leur expliquer d'ailleurs. bref, je vais appeler cette après midi, en priant pour qu'il ne me dise pas d'appeler quelqu'un d'autre...

j'avais autre chose à te dire, mais je ne sais plus...

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Cher B, Publié le Mercredi 2 Juin 2010 à 15:37:00

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C'était vraiment la seule solution...

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Musique Publié le Mercredi 2 Juin 2010 à 14:00:47

Tu n'es plus là...

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