La crise de la vache folle
Bien que les nouveaux cas de vache folle se fassent rares, il est indispensable de faire le point sur les connaissances de cette maladie et de sa transmission à l'homme. Que peut-on réellement manger aujourd'hui sans risque ? Comment remplacer la viande de boeuf sans créer de déséquilibre nutritionnel ? Pourquoi les farines animales ont-elles été interdites ? Que sait-on de cet étrange prion ?
Que peut-on manger sans risques ?
L’épidémie de la vache folle se propage en France et la confusion règne chez les consommateurs. Malgré la multiplication des mesures de précaution, les rumeurs les plus "folles" circulent et le doute s’installe. Ce qu’il faut savoir pour ne pas céder à la panique.
Vache folle : distinguer le vrai du faux
Huit questions que vous pourriez poser à votre boucher
Peut-on remplacer la viande de boeuf ?
La viande française est-elle vraiment plus sûre ?
Que savez-vous de la vache folle ?
Les mesures de protection du consommateur
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Panique dans l’assiette
Des mesures pour rassurer les consommateurs
Le problème des farines animales
Le boeuf ne fera plus l’andouille
Viande bovine française : quels contrôles ?
La crise de la vache folle en France et dans le monde
Interdiction des farines, contrôles, embargo sur la viande bovine selon son origine. tous les pays ont pris des mesures pour éviter la contamination et protéger les consommateurs. Certains ont même interdit les dons du sang selon la provenance des donneurs ! Mais la crise semble s'éloigner et les embargos disparaissent. peu être un peu trop vite ! Le point sur les mesures de protection et la situation en Europe et dans le Monde.
Médicaments dérivés du sang et Creutzfeld-Jakob : nouvelles inquiétudes
Les raisons de l’embargo sur le boeuf anglais
Vache folle : le rapport qui accuse les autorités anglo-saxonnes
Don du sang : alerte au prion !
Chronologie d’un embargo
Bientôt du boeuf anglais dans nos assiettes ?
Que nous réserve l’avenir ?
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Des estimations de folie
Des prévisions raisonnablement optimistes
Où en est la recherche ?
L'encéphalopathie spongiforme bovine est due à un prion, une "simple" protéine. La découverte du plus petit agent infectieux connu fut l'objet d'une terrible controverse et valut le prix Nobel 1997 de médecine au biologiste américain le Dr Stanley Prusiner. Aujourd'hui encore, de nombreux points d'ombre subsistent sur ce microbe d'un nouveau genre, ses modes de transmission et les moyens de le détecter.
Prion : le microbe nouveau est arrivé
Vache folle : le prion bientôt piégé
Le prion transmissible de la mère à l’enfant ?
Jeanne Brugère-Picoux : "Je suis sceptique
quant à la transmission mère-enfant."
Vache folle : l'espoir d'un traitement
Maladies à prions : demain un vaccin ?
Vers un vaccin anti-prions ?
Avec plus de 10 000 nouveaux cas par an, la France fait partie des pays du monde où la fréquence des cancers de la gorge est la plus forte ! En cause, dans la plupart des cas : le tabac et l'alcool. Revenons sur les conditions de son apparition, ses symptômes, ses traitements et les meilleurs moyens de prévention...
On compte chaque année 10 200 nouveaux cas de cancers de la gorge. C'est quatre fois moins que les cancers de la prostate ou du sein, mais deux fois plus que ceux du cerveau.
La fréquence du cancer de la gorge est très différente dans les deux sexes : les hommes sont beaucoup plus touchés que les femmes. Cependant, le nombre de nouveaux cas annuels augmente sans pause depuis 30 ans dans la gent féminine, alors qu'elle diminue chez leurs compagnons.
Simple gêne, modification de la voix ou ganglion, le cancer de la gorge peut se manifester par des symptômes très différents selon sa localisation. Leur point commun ? Ils persistent et s'aggravent au fil du temps. Il faut alors consulter !
Le profil type est un homme de 60 ans, fumeur et qui boit trop de boissons alcoolisées.
Seule l'analyse d'un prélèvement de la tumeur permet d'affirmer qu'il s'agit bien d'un cancer.
Oui ! L'arrêt du tabac et la réduction majeure de la consommation de boissons alcoolisées permettraient d'empêcher l'apparition de 75 % des cancers de la gorge.
La chirurgie et la radiothérapie sont les deux méthodes le plus souvent utilisées pour soigner un cancer de la gorge.
Un mode de vie "anticancer" a toute sa place en complément du traitement conventionnel
Le mode de vie "Anticancer" consiste à augmenter vos défenses naturelles pour mieux combattre la tumeur. Il comporte un volet nutritif, physique, mental et émotionnel.
Avec plus de 10 000 nouveaux cas par an, la France fait partie des pays du monde où la fréquence des cancers de la gorge est la plus forte ! En cause, dans la plupart des cas : le tabac et l'alcool. Revenons sur les conditions de son apparition, ses symptômes, ses traitements et les meilleurs moyens de prévention...
On compte chaque année 10 200 nouveaux cas de cancers de la gorge. C'est quatre fois moins que les cancers de la prostate ou du sein, mais deux fois plus que ceux du cerveau.
La fréquence du cancer de la gorge est très différente dans les deux sexes : les hommes sont beaucoup plus touchés que les femmes. Cependant, le nombre de nouveaux cas annuels augmente sans pause depuis 30 ans dans la gent féminine, alors qu'elle diminue chez leurs compagnons.
Simple gêne, modification de la voix ou ganglion, le cancer de la gorge peut se manifester par des symptômes très différents selon sa localisation. Leur point commun ? Ils persistent et s'aggravent au fil du temps. Il faut alors consulter !
Le profil type est un homme de 60 ans, fumeur et qui boit trop de boissons alcoolisées.
Seule l'analyse d'un prélèvement de la tumeur permet d'affirmer qu'il s'agit bien d'un cancer.
Oui ! L'arrêt du tabac et la réduction majeure de la consommation de boissons alcoolisées permettraient d'empêcher l'apparition de 75 % des cancers de la gorge.
La chirurgie et la radiothérapie sont les deux méthodes le plus souvent utilisées pour soigner un cancer de la gorge.
Un mode de vie "anticancer" a toute sa place en complément du traitement conventionnel
Le mode de vie "Anticancer" consiste à augmenter vos défenses naturelles pour mieux combattre la tumeur. Il comporte un volet nutritif, physique, mental et émotionnel.