8 belles pommes de terre à purée
2 œufs durs + 1 jaune pour la mayonnaise
8 beaux cornichons
1 boîte de thon au naturel
1/2 poignée d’olives noires
Quelques câpres au vinaigre
Quelques cuillères à soupe d’huile d’olives
Un peu de lait si besoin est (pommes de terre trop farineuses par exemple)
Sel, poivre et une pointe d’aïl
Cuire les pommes de terre avec leurs peaux
Faire durcir les œufs
Dénoyautez les olives et les hacher grossièrement (si si vous pouvez leurs dire des grossièretés)
Coupez 6 cornichons (c’est paillard la langue française, Corps Nichons) en quatre et les hacher finement) les deux autres serviront pour la décoration.
Egouttez le thon et l’émietter
Prendre un bon saladier en verre
Ecalez les œufs durs et les écraser finement avec une bonne fourchette (le choix de la fourchette et très important)
Par alternance vous allez écraser les pommes de terre pelées encore chaudes, mettre un peu d’olives, de sel (attention les olives noires sont salées), de poivre, de câpres, de thon, d’huile d’olives, et toujours mélanger le tout jusqu’à épuisement des pommes de terre, si c’est trop compact ajoutez un peu de lait.
Tassez bien dans le saladier.
Mettre au frais
Râpez avec une râpe à muscade un moitié de gousse d’aïl dans un petit saladier et montez une mayonnaise pas trop relevée en sel, réserver au frais
Prendre une spatule de professionnel,
sortir le saladier du frigo et décollez soigneusement tour le tour du
pâté, la spatule doit épouser le contour du saladier et démouler sur
une assiette assez large.
Si vous n’avez pas de spatule convenable, avant de mettre au frais le saladier, huilez l’intérieur d’un autre saladier et transvasez le pâté tiède dans celui-ci le démoulage en sera facilité.
Décorer le pâté qui a une forme de dôme avec les deux cornichons coupez en lamelles fines et quelques olives noires entières, mais je vous laisse le soin de le décorer à votre façon.
Servir avec la mayonnaise aïlée, vous pouvez même faire une aïoli.
Ma
grand-mère le faisait, ma mère aussi, et moi je ne sais toujours pas
comment cela s’appelle ni la provenance de cette recette toute bête.
Aco es un estanque fam*
*ça c’est un coupe faim Estanquer = arrêter