Résonnent en moi nos mots à nous
Ce que nous étions, ce que nous vivions,
Maintenant de leurs joies mon cœur est jaloux
Car avant c’était moi son centre d’attraction
Il me semble que mes erreurs m’appartiennent
Que je ne peux faire marche arrière
Que lorsque je regarde le temps d’hier.
N’entends-tu pas ma tristesse
Lorsque dans la nuit le cœur gros
Pour ne pas que tu me délaisses
Ton nom j’énonce à demi-mots… ?
Que reste-t-il de tout cela ?
Des moments de tristesse, des souvenirs de joies ?
Plus que des remords,
Des regrets de n’avoir pu
Faire mieux encore
Que ce que je n’ai su…
Ce sentiment d’inachevé
Me bouleverse
Mon incapacité à y remédier
Se lit dans les larmes que je verse.