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Le blog de Chérif BOUTAFA

Parler de Grenoble, etc.

Sur le terrain! Posté le Lundi 1 Septembre 2008 à 19h24

Par Chérif le vendredi 11 janvier 2008, 23:07 <

Que se passe t'il pour les jeunes!

L'éducation populaire en France est une initiative de tout homme ou femme politique qui veulent une politique enfance jeunesse accueillante, adaptée et éducative!

Pourtant, il se passe des choses depuis quelques temps, un constat d'enfants d'ages primaires ou préadolescents et adolescents livrés à eux même au bas des escaliers avec toutes les conséquences négatives qui se joignent (bagarres, mégots, canettes, détritus jeté au sol, gêne et peur des habitants, les montées d'escalier ou entrées d'immeuble squattés, etc.).

Ces jeunes à l'abandon n'ont-ils pas droit à des loisirs ludiques et de qualités? Est ce qu'ils n'ont pas d'idée pour un meilleur épanouissement et avoir des projets?

En rencontrant quelques familles, elles le disent, elles sont inquiètes. Il ne s'agit pas de faire de la politique et de chercher qui a tort ou raison dans les responsabilités. Non, mais chercher à se dire si les municipalités ou l'état qui sont en cause et qu'ils ne veulent plus investir dans leur jeunesse.

Pour être précis juste dans certains quartiers, qui bénéficient de toutes les aides possibles (quartiers défavorisés, en difficultés, zup, zep, etc.), quand justement d'autres quartiers ne bénéficient d'aucune aide, mais de la bonne volonté des bénévoles ou des personnes volontaires. Ceux à qui on ne leur met pas une étiquette politique pour leur supprimer les subventions.

Face à cette régression sociale, alors que des dispositifs existent, tel le contrat éducatif local (Etat) et le contrat temps libre, contrat enfance (cnaf) crées vers les années 1998, nous arrivons dans une étape critique, car l'accès de ces structures de loisirs à un public solvable. Ce qui est grave, c'est un autre constat celui de limiter l'accès au centres de loisirs et mjc aux enfants qui ont leurs deux parents qui travaillent ne laissant pas la place aux autres jeunes qui n'auront que la télévision ou les cages d'escaliers pour se distraire.

Alors, je dis à l'Etat et les quelques municipalités qui ne font pas d'effort sur le terrain, que les jeunes ont interet à s'exprimer par leurs propres moyens et d'apporter les éléments qui font défauts aujourd'hui aux penseurs!

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