La plus jeune famille du 57255

     En Janvier 2008, lors de notre deuxième audience au tribunal d'instance, l'avocat de la défense avait une fois de plus remis des conclusions réservées. Le juge de proximité voulant en finir avec cette affaire, nous a donc laissé environ deux heures pour préparer notre défense le temps de juger d'autres affaires en cours. Lors de notre passage devant le juge, l'avocat de la défense à commis de fautes : elle a pris  la parole alors qu'elle n'en avait pas le droit puis à demandé au juge de vérifier une loi que nous avons mentionné. Le greffier nous a alors annoncé que le jugement sera rendu le 6 Mars 2008 et que nous aurons le verdict par courrier.

     Nous avons eu notre première audience au tribunal d'instance en Octobre 2007. N'ayant pas le droit à l'aide juridictionnelle et n'ayant non plus les moyens de se payer un avocat, nous avons été dans l'obligation de préparer notre dossier nous même. Lors de la première audience, l'avocate de la défense Maître S. qui défendait notre propriétaire avait remis des conclusions réservées. Cela veut dire que nous même comme le juge avons pris connaissance des demandes de la défendresse le jour de l'audience et ne pouvant en aucun cas préparer notre défense sur les sujets proposés. Le juge de proximité à alors reporter l'audience pour Janvier 2008.

     Le 28 Avril 2006, nous obtenons les clés de notre nouveau logement qui est encore notre logement actuel. Nous payons donc 535 € charges et garage compris pour un logement de type F4 de 85m². Là nous sommes vraiment bien. En Juin 2006, nous nous sommes aperçus que notre ancienne propriétaire refusait toujours de nous faire parvenir notre dépôt de garantie d'un montant de 760 euros. Elle prétendait que des travaux étaient à effectuer car nous avions oit disant casser la cabine de douche, arracher les prises de murs et la tapisserie. Elle prétendait également que notre préavis n'avait pas été respecté car nous avions donné un mois au lieu de trois. Nous lui avons donc fait rappeler par lettre en recommandé avec accusé de réception que suite à la perte d'emploi de ma conjointe, le préavis était réduit à un mois au lieu de trois et que les dégradations du logement étaient liées à la vétusté et donc à l charge du propriétaire et non du locataire. Restant muette à notre demande de restitution, nous avons fait appel au juge de proximité du tribunal d'instance de Metz pour obtenir les sommes qui nous sont dues en complément des intérêts légaux de retard. Dans l'article suivant, je vous détaillerais certains passages de nos audiences au tribunal.

     Tout à commencé par la tapisserie qui se décollait du mur à cause d'un taux d'humidité trop élevé car notre logement était bâti sur de la terre battue. On nous à dit que c'était de notre faute car nous n'aérons pas assez. Celà dit, comment voulez vous aérer quand vous travaillez à deux, vous habitez au rez de chaussée et que c'est les heures de pointe en pelin hiver lorsque vous êtes à la maison. Celà est possible mais pas très souvent ! ! Par la suite, le plafond se fissurait. Puis, un soir, après être rentré du travail, juste au moment où je sortais de la douche, La porte de la cabine de douche s'est débôitée de son rail et m'est tombée dessus m'implantant plusieurs bouts de verres dans le dos, les jambes et les pieds. Ce fût la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Nous avons donc donné notre préavis en Mars 2006.

     Le premier Novembre 2005, nous signons un contrat de location pour notre premier logement. Au début, nous sommes heureux d'être chez nous. Par la suite, trop de problèmes avec le logement nous pousse à en chercher un autre. Notre logement dont nous étions locataires, se dégrader au fur et à mesure pour cause de vétusté alors que nous payons à cet époque 400 € de loyers dont 20 € de charges pour un logement d'une superficie de 60m². Une façon simple de le décrire. Quand on entre, pas d'entrée. On arrive directement dans la cuisine. A droite de la cuisine, il y avait une petite pièce de 5m² qui servait de chambre à notre fils Mattéo. en face de la cuisine, il y avait la salle de bains avec les toilettes, à gauche de la cuisine, il y avait un salon sans fenêtre qu'on devait traverser pour accéder à notre chambre. Du à la vétusté de ce logement, nous avons eu plusieurs soucis que je vous énumère ci après dans le prochain article.