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L'Amour ???

Serait-ce la clé de tout ?

l'amour c'est quoi, Posté le Vendredi 30 Mai 2008 à 00h07

Tendresse

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Un tendre baiser peint par Bouguereau
Un tendre baiser peint par Bouguereau

Différente de l'amour et du désir, se rapprochant de l'affection, la tendresse est une qualité de l'attention qui s'offre, se propose, sans jamais contraindre, qui peut donc se mettre en réserve, en attente, sans se refermer, sans se bloquer à jamais. La tendresse se vit, s'éprouve, permet de recevoir et de donner. C'est une sensation fragile, une émotion imprévisible, quelque chose de secret et fugace faisant participer l'ensemble des sens. Elle transparait par les gestes, le toucher, la douceur, la délicatesse, l'attention, le regard, la voix, le respect. La tendresse permet de créer une relation d'affection.

Un besoin universel [modifier]

En 1997, la revue philosophique mensuelle Culture en mouvement annonce la publication d’un grand dossier portant le titre “Tendresse dans la Civilisation”. Réponse de la philosophie froide de Sigmund Freud, des psychiatres et des psychothérapeutes proclament haut et fort le besoin urgent d’introduire davantage de tendresse dans les relations entre les gens.Jacques Salomé fut parmi les premiers à s'y consacrer en formant nombre de personnes sur l'importance de la qualité des relations humaines.

Coup de foudre

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Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. 
wikt:

Voir « coup de foudre » sur le Wiktionnaire.

  • Un coup de foudre est une expression francophone qui désigne le fait de tomber subitement en admiration amoureuse pour une personne. C'est un phénomène presque mythique des notions amoureuses, et considéré comme un idéal romantique.

 

Compassion

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wikt:

Voir « compassion » sur le Wiktionnaire.

La compassion est le sentiment par lequel on est porté à percevoir ou ressentir la souffrance des autres, et poussé à y remédier. Le mot compassion provient du latin cum patior, « je souffre avec ». Il s'agit donc d'un calque latin du grec sym patheia, sympathie, dont le sens avait dévié. D'où le besoin de ce mot, ainsi que de celui d'empathie. « Pitié » et « apitoiement » sont tous deux devenus péjoratifs, mais signifient originellement compassion, tout comme « miséricorde » et son synonyme « commisération ».

En psychologie [modifier]

La compassion est une prédisposition à la perception et la reconnaissance de la douleur d'autrui, entraînant une réaction de solidarité active, ou seulement émotionnelle. Il s'agit donc d'une variante d'empathie axée sur la douleur. On peut aussi se porter de la compassion, ce qui sous-entend que l'on est détaché de soi-même, sans quoi on peut aisément la confondre avec l'apitoiement, avec sa composante de complaisance. De même la compassion envers autrui peut être confondue avec la pitié, au sens moderne, avec sa connotation de condescendance.

Ces deux distorsions de la compassion sont donc stériles, parce qu'il y manque une aide, un soutien actifs et efficaces, dans la mesure du possible. En effet, si une personne se noie, cela n'arrange pas les choses de se noyer avec elle, et peut même empirer sa condition. De plus, pleurer sur le sort de quelqu'un ne l'aide généralement pas.

Dans la culture humaniste [modifier]

En tant que valeur...

Dans le Bouddhisme [modifier]

La compassion, karuna en pâli et en sanskrit, est au cœur de la bodhicitta, elle-même au fondement de la pensée mahayaniste. Dans le cadre de la bodhicitta ce terme est alors synonyme de mahakaruna, la grande compassion aspirant à l'Éveil de tous les êtres également. Alors elle compte parmi les facultés spirituelles d'amour appelées les quatre Incommensurables. Elle est aussi dite 'grande' lorsque, par une pratique appropriée, cette aspiration devient complètement spontanée, manifeste la même intensité affective qu'envers un parent ou un enfant, et en actualise le même engagement.

Par contraste avec Maitreya, futur Bouddha de bienveillance, Shakyamuni est un Bouddha de compassion, survenu en notre âge de souffrance.

Les pricipales déités méditationnelles (yidam) de compassion sont Tara, Kouan-Yin, et Avalokiteshvara, dont le nom tibétain est Tchenrézi, qu'incarne le Dalaï lama.

Dans le Christianisme [modifier]

La compassion dans le Christianisme, évoque un sentiment de pitié; qui nous incite à effectuer des actes de : charité et à secourir notre prochain. On agit par compassion, en accomplisant tout acte de partage. Si on se trouve à détester quelqu' un, il est impossible d'éprouver de la compassion pour ce dernier; dans le cas contraire, tous les moyens nécessaires seront utilisés dans le but: d'aider ou de délivrer la personne ou même des gens qui méritent d'être sauvé. Si un Chrétien ressent un sentiment de compassion, c'est qu'il serait aussi disposé à accomplir un acte de charité par considération; mais non, en principe, dans l'indifférence. On peut considérer que la Vierge Marie a eu une réelle compassion pour son fils Jésus, sur la croix. Elle a souffert avec lui. Il nous est demandé d'apprendre à compatir à la souffrance du Christ et de notre prochain, pour avoir l'élan nécessaire pour aider notre prochain. Le Christianisme nous apprend à souffrir en aimant, et à aimer en souffrant.

Islam [modifier]

La notion de compassion dans l'Islam est essentiellement représentée par le concept de Zakâh qui veut que tout bon musulman se doit de faire preuve de charité et d'attention envers les pauvres. Ce concept est complémentaire au processus du Ramadan durant lequel le jeûne symbolise en partie la solidarité envers les êtres qui souffrent, que cela soit de faim ou d'autre chose. En cela, le Ramadan véhicule une dimension plus "pieuse" voire plus mystique de la compassion. Le Zakâh a, quant à lui, une origine plus civile que spirituelle. Contrairement au Ramadan, il s'agit moins directement d'une obligation d'origine divine que d'une obligation socio-politique, un peu à l'instar des philanthropes dans l'occident du XIXème siècle. En effet, le Zakâh fait directement référence à la compassion envers ceux qui croulent sous les dettes ou envers les captifs, ce qui tend à prouver son caractère plus pragmatique.

Relation amoureuse

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Une relation amoureuse est, par définition, une relation entre deux ou plusieurs personnes (voir polyamour et polygamie) (du sexe opposé), basée sur une attirance quelconque entre ces personnes.

Une relation amoureuse est, la plupart du temps, la base d'un amour entre ces personnes, et très souvent la base de relations sexuelles.

Parfois, les partenaires amoureux choisissent de rendre leur union définitive (ou espèrent qu'elle le sera) en contractant un mariage, et/ou de fonder une famille en concevant ou adoptant un ou des enfant(s).

Une relation amoureuse peut être exclusive (un seul partenaire amoureux à la fois) ou pas (polyamour, polygamie).

Dans la culture occidentale, la relation amoureuse implique des codes spécifiques (Saint-Valentin, reproduction, etc), du reste comme dans chaque civilisation humaine.

Les soirées câlin (en anglais « cuddle parties ») sont des soirées au cours desquelles des personnes qui ne se connaissent pas se blottissent l’une contre l’autre souvent pendant des heures, en pyjamas, sur des matelas qu’on a étalés, et peuvent bavarder entre elles sans pour autant avoir des rapports sexuels. Les soirées câlins sont nées dans le centre-ville de New York. Le plus souvent, elles réunissent jusqu’à cinquante participants âgés en moyenne de trente à cinquante ans, la proportion d’hommes et de femmes est à peu près la même. Ces évènements ne sont pas des orgies et le sexe y est interdit.

Histoire des soirées câlin [modifier]

Les soirées câlin ont été inventées par Reid Mihalko, né en 1969, qui s’est auto-proclamé thérapeute en sexologie et a écrit un livre sur le cunnilingus, et par sa compagne Marcia Baczynski, née en 1978, qui travaille comme conseillère en relations. La première soirée a eu lieu en 2004 à New York, la capitale des célibataires américains, avant de gagner le reste des États-Unis puis l'Europe, notamment l'Allemagne et les Pays-Bas.

Le dessein premier des inventeurs était de donner une impulsion nouvelle aux relations qui existaient entre leurs clients, puisque les contacts physiques quotidiens entre partenaires se limitaient à un minimum. Mihalko et Bazynski invitèrent à la première soirée câlin, dans l’appartement new yorkais du premier, des musiciens, des producteurs et des acteurs avec lesquels ils avaient lié amitié. Cette première soirée câlin, mit en branle tout un mouvement. Aujourd’hui, Mihalko et Baczynski travaillent comme formateurs des soirées câlin dans tous les États-Unis.

New York a la proportion de célibataires la plus élevée des États-Unis, un pays où le fait de toucher quelqu’un sur l’épaule peut être dénoncé comme harcèlement sexuel. La lente disparition des familles nombreuses, l’anonymat des grandes villes et l’allongement des heures de travail, combinés à la rareté du temps libre peuvent provoquer un sentiment de solitude chez les gens. La possibilité d’un contact physique mutuel et sans contrainte peut avoir ainsi chez nombre de gens un effet presque thérapeutique. Il existe différentes variétés de soirées câlin : d’après le groupe-cible, il existe des soirées pour les hommes, pour les femmes, pour un public mixte, pour un public de seniors et pour des célibataires. Les règles des inventeurs peuvent se résumer brièvement : d’abord, les hommes ne doivent pas se rendre aux soirées câlins pour draguer, mais seulement pour faire des câlins. Ensuite, les femmes doivent changer du tout au tout leur conduite envers les hommes, et proposer ce qu’elles veulent sans avoir peur qu’on leur refuse un rendez-vous.

Il semblerait que le fait de se toucher mutuellement fortifie le système immunitaire et empêche une décharge de cortisol, l’hormone du stress.

En Allemagne, les premières Kuschelpartys furent organisées en 2005 à Berlin, et elles trouvent aujourd’hui de plus en plus d’adeptes.

Les règles [modifier]

  • Garder ses vêtements (le port du pyjama est fortement recommandé).
  • Pas de sexe.
  • Pas de baisers.
  • Ne jamais se forcer, être clair dans ses réponses et dans le doute s'abstenir.
  • Personne n'est obligé de se blottir avec tous les autres participants.
  • Toujours demander la permission avant de câliner quelqu'un et accepter les refus.
  • Être respectueux envers soi-même et les autres et être à l'écoute de ses sentiments.
  • Faire savoir ses impressions aux autres.
  • En cas de questions, d'incertitudes ou de besoin de soutien, il est possible de s'adresser au coach câlin (cuddle coach).
  • Après le câlin, remercier ses partenaires.

Déroulement [modifier]

  1. Faire connaissance avec les autres participants.
  2. Accepter le câlin ou dire non.
  3. Créer une intimité corporelle.
  4. Se blottir.
  5. Après le câlin, continuer la conversation.

Le rapport sexuel

Un rapport sexuel est un acte sexuel impliquant plus d'un individu. Les termes « fornication » et « copulation » désignent également, parfois péjorativement, un rapport sexuel. Des partenaires sexuels peuvent être de même sexe ou de sexes opposés. On désigne par coït la pénétration du pénis dans le vagin, l'anus (sodomie) ou la bouche (fellation) d'une ou d'un partenaire; un rapport sexuel n'implique toutefois pas forcément un coït.

Aspects physiologiques [modifier]

Les phases selon Masters et Johnson [modifier]

Icône de détail Article détaillé : Réponse sexuelle humaine.

Le gynécologue William Masters et la psychologue Virginia Johnson ont défini quatre phases de la réponse sexuelle humaine dans un ouvrage célèbre intitulé Les réactions sexuelles (Human Sexual Response). À ces phases, le docteur Helen Singer Kaplan a ajouté celle du désir.

D'après ces auteurs, les différentes phases sont :

  1. le désir ;
  2. l'excitation ;
  3. le plateau ;
  4. l'orgasme ;
  5. la résolution.

Ces différentes phases, observables aussi bien chez l'homme que chez la femme, se manifestent par des variations physiologiques.

Variations physiologiques observées

  • Lors de la phase de désir :
    • léger gonflement des organes génitaux.
  • Lors de la phase d'excitation :
    • chez la femme :
      • lubrification des parois du vagin ;
      • augmentation du volume du clitoris ;
      • érection des mamelons ;
      • augmentation du volume de la poitrine ;
    • chez l'homme :
  • Lors de la phase du plateau :
    • chez la femme :
      • gonflement des seins et des mamelons ;
      • augmentation de la respiration, du rythme cardiaque et de la pression sanguine ;
      • disparition du gland du clitoris sous son capuchon (il se rétracte) ;
      • gonflement et augmentation du volume des petites lèvres ;
    • chez l'homme :
On observera également chez de nombreux hommes et de nombreuses femmes :
  • une vasodilatation se traduisant par une rougeur du visage, un triangle rouge sur la poitrine, etc., avec toutes les variations individuelles ;
  • un rétrécissement du champ visuel et un rétrécissement du champ auditif ;
  • un accroissement de la transpiration.
  • Lors de l'orgasme :
    • des contractions répétées au niveau du vagin ou du pénis toutes les 0,8 seconde. « Après les quatre à six premières, celles-ci diminueront en force et en fréquence ».
L'orgasme chez certaines personnes s'accompagne de manifestations sonores plus ou moins intenses et plus ou moins discrètes (cris, soupirs, gémissements, etc.)
  • Lors de la phase de résolution :
    • Les organes génitaux reprennent leur apparence initiale peu à peu.

Les phases [modifier]

Les préliminaires [modifier]

Icône de détail Article détaillé : préliminaires.

L'excitation sexuelle est de manière générale obtenue par un rapprochement physique entre les partenaires. Un jouet sexuel peut être associé à cette excitation. La femme nécéssite généralement de plus longs préliminaires que l'homme.

Le coït [modifier]

Le coït est l'action d'insérer le pénis dans un orifice naturel comme le vagin, l'anus, ou encore la bouche.

Le coït vaginal [modifier]

Vue en coupe schématique d'un coït vaginal (Léonard de Vinci)
Vue en coupe schématique d'un coït vaginal (Léonard de Vinci)

Au sens strict, le coït vaginal consiste en la pénétration du pénis de l'homme, en érection, dans le vagin de la femme.

Afin de provoquer l'excitation chez les deux partenaires, le coït est généralement précédé de préliminaires, consistant généralement en caresses, baisers, massages, masturbation des organes génitaux du ou de la partenaire, etc. On notera également que la parole pourra également, chez certaines personnes, produire un effet d'excitation non négligeable. L'excitation conduit chez l'homme à l'érection du pénis, c'est-à-dire à son gonflement en pleine longueur et à sa rigidification, et chez la femme au gonflement du clitoris et des petites lèvres, ainsi qu'à la détente et à la lubrification du vagin par la production de cyprine.

La pénétration peut être pénible et douloureuse pour les deux partenaires si le vagin est trop serré ou insuffisamment lubrifié. Le vagin et la vulve se lubrifient naturellement chez la femme pubère et non ménopausée lorsqu'elle est excitée, mais cette lubrification peut être insuffisante. Chez la femme vierge, la pénétration est souvent inconfortable, voire douloureuse, en raison de l'appréhension de l'acte et du déchirement de l'hymen. Chez la femme ménopausée, le vagin peut être atrophié et sec (ce phénomène est combattu par le traitement par hormones de substitution). En cas de lubrification insuffisante ou d'étroitesse excessive, on peut utiliser des lubrifiants intimes artificiels, notamment des gels à base d'eau.

Des mouvements d'aller-et-retour du pénis dans le vagin stimulent d'une part le pénis de l'homme, d'autre part le vagin, les petites lèvres et le clitoris de la femme. Le plaisir qui en découle dépend de nombreux facteurs, notamment l'habileté des partenaires. Ces mouvements peuvent s'accompagner de baisers, de caresses sur les seins, les fesses, le clitoris, l'anus, et autres parties du corps.

Le sommet du plaisir s'appelle l'orgasme. Au cours de l'orgasme masculin se produit généralement l'éjaculation, c'est-à-dire l'expulsion de sperme dans le vagin. Celle-ci peut être retenue par un préservatif. L'orgasme féminin se traduit par des spasmes du vagin, généralement accompagné par une intense lubrification, et dans certains cas d'une éjaculation (expulsion en jet du liquide secrété par les glandes de Skene, près de l'urètre).

Le coït peut se pratiquer dans diverses positions sexuelles, la plus classique étant la position dite du missionnaire : la femme est allongée sur le dos, cuisses écartées, l'homme s'allonge sur elle. En dehors des singes bonobos, l'espèce humaine est la seule qui puisse pratiquer le coït face à face, fruit de son évolution et de la bipédie. Cependant, le choix de la position dépend des anatomies, des goûts, des circonstances et des fantaisies des partenaires.

Lors d'un rapport sexuel, il existe un risque de transmission de maladies, notamment du SIDA. Ce risque peut être diminué par l'utilisation d'un préservatif.

Autres formes de rapport [modifier]

La pénétration du pénis dans le rectum via l'anus s'appelle la sodomie. La pénétration du pénis dans la bouche et sa succion par les lèvres et la langue s'appelle la fellation.

Le pénis peut être remplacé par un godemichet, c'est-à-dire un instrument artificiel de même forme. Celui-ci peut être monté sur un harnais pour obtenir des postures de pénétration semblables à celles d'un pénis.

Le baiser, la succion et le léchage de la vulve avec la bouche et la langue s'appellent le cunnilingus.

Le fait de caresser les organes génitaux de son ou sa partenaire (en général avec la main) s'appele la masturbation.

Il existe d'autres combinaisons, notamment la position 69, combinant une fellation et un cunnilingus, deux fellations ou deux cunnilingus. On peut également signaler l'existence du coït multiple et simultané.

stéréotype issu de la mythographie grecque Cette peinture du XIXe siècle renseigne dans quel état se trouve la représentation des rapports sexuels dans la société civile, dominée alors par un discours rigoriste de bonnes mœurs prohibant toute licence.[réf. nécessaire] Alors que de manière conventionnelle le patriarcat confère la séduction aux prétendants masculins[réf. nécessaire] pour l'objet de leurs émois, le peintre inverse ici de manière narquoise cette distribution des rôles, en les affectant à un faune pris en main par des nymphes délurées.(source: allégorie de William Bouguereau - XIXe siècle) ~ analyse du tableau
stéréotype issu de la mythographie grecque
Cette peinture du XIXe siècle renseigne dans quel état se trouve la représentation des rapports sexuels dans la société civile, dominée alors par un discours rigoriste de bonnes mœurs prohibant toute licence.[réf. nécessaire] Alors que de manière conventionnelle le patriarcat confère la séduction aux prétendants masculins[réf. nécessaire] pour l'objet de leurs émois, le peintre inverse ici de manière narquoise cette distribution des rôles, en les affectant à un faune pris en main par des nymphes délurées.
(source: allégorie de William Bouguereau - XIXe siècle) ~ analyse du tableau

L'orgasme [modifier]

Icône de détail Article détaillé : Orgasme.

Le rapport sexuel a généralement l'orgasme pour aboutissement et la plupart du temps. Mais dans d'autres formes de sexualités, comme par exemple, le tantra, il peut ne pas être recherché comme ultime but. Alors, la sensualité et le plaisir sexuel, restent.

Paraphilie [modifier]

Icône de détail Article détaillé : Paraphilie.

L'attirance (et l'acte) sexuelle pour des personnes du troisième âge porte le nom de gérontophilie. L'attirance (et l'acte) sexuelle pour les animaux (autres qu'humains) porte le nom de zoophilie et est globalement prohibé en Europe. La nécrophilie désigne l'attirance (et l'acte) sexuelle pour des êtres décédés ou inconscients. L'attirance (et l'acte) sexuelle d'un personne majeure sur une personne impubère porte quand à lui le nom de pédophilie, il est également interdit dans la plupart des pays.

Flou de la définition [modifier]

La définition de « rapport sexuel » souffre toutefois d'une certaine imprécision. L'ex-président des États-Unis d'Amérique, Bill Clinton, interrogé au sujet d'éventuelles relations extraconjugales, avait répondu qu'il n'avait pas eu de rapport sexuel avec Monica Lewinsky. Il avait ensuite argué que sa définition de rapport sexuel était un rapport vaginal ; or, il ne pratiquait que la fellation avec cette dame.

Classifications juridiques [modifier]

Icône de détail Articles détaillés : Agression sexuelle et Viol.

De nombreux États punissent sévèrement le viol.

Un rapport sexuel où l'une des deux personnes est enfant/mineure, et l'autre personne est âgée est usuellement dénommé acte de pédophilie.

Un rapport avec un membre de la famille est usuellement dénommé acte incestueux.

Certains États considèrent que les relations sexuelles entre époux sont toujours légales ; d'autre considèrent qu'il peut y avoir un viol conjugal.

Certains États considèrent la sodomie, la fellation et/ou le cunnilingus comme des « pratiques déviantes » et les répriment pénalement.

Un rapport sexuel entre un homme et une femme non mariés est qualifié de fornication. La fornication est réprimée pénalement dans certains États, avec cependant la même inapplicabilité pratique (sauf malchance) que pour le point précédent…

Un rapport sexuel entre une personne mariée et une autre personne qui n'est pas son époux est nommé adultère. L'adultère est réprimé pénalement dans certains États, et est généralement un motif de divorce aux torts de celui qui le commet.

En France [modifier]

Le viol est un crime, y compris entre époux. Le viol exercé sur son épouse est même devenu une circonstance aggravante du viol depuis la loi du 4 avril 2006. Les relations sexuelles entre adultes consentants ne sont pas punies pénalement, quelle que soit leur nature, tant qu'il n'y a pas d'atteinte à l'intégrité physique. L'adultère n'est plus une infraction pénale depuis 1975 mais reste un motif de divorce, l'article 212 du Code civil français disposant que « les époux se doivent mutuellement fidélité » ; cela entre dans la catégorie des « divorces pour faute » (violation grave ou renouvelée des devoirs et obligations du mariage imputables au conjoint et rendant intolérable le maintien de la vie commune).

En droit français existe également la notion d'abus sexuel sur mineur qui, suivant les circonstances, est considéré comme un délit ou un crime.

Religion [modifier]

Position de l'Église catholique [modifier]

L'Église catholique enseigne que le rapport sexuel chaste entre époux est un acte d'adoration.

La théologie du corps enseigne que l'amour est un transfert d'eros en agapè. Il y existe une « théologie de l'orgasme » qui exalte le plaisir comme étant voulu par Dieu.[réf. nécessaire]

Plus de détails, dans l'article Église catholique et sexualité.

Bibliographie [modifier]

Mots grecs pour dire amour

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La langue grecque ancienne est également faite de nombreuses notions philosophiques. Ainsi, pour décrire l'Amour en grec ancien, il n'y a pas un mot, mais quatre.

  • Éros (ἔρως e̋ros) : L'amour naturel, le désir, le plaisir corporel ;
  • Philia (φιλία filía) : L'amitié, l'amour Absolu, inconditionnel, le plaisir de la compagnie ;
  • Agapè (ἀγάπη a̍gápe) : l'amour divin, universel ;
  • Storgê (στοργή storgé) : l'affection, l'amour familial.
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