Oui, les cris sont alarmistes en matière de protection de l'environnement.
Est-ce le suel moyen de faire comprendre aux gens que le temps du n'importe quoi est fini ? Oui
Les images chocs de Yann Arthus Bertrand ou de Nicolas Hulot ( entre autres) sont un point de départ pour une nouvelle ère ; une ère de réconciliation avec notre planète. La Terre recèle des trésors de beauté et nous donne tout ce dont on a besoin, et nous en enfants gâtés nous prenons tout.
Nous sommes tous pris au piège de la pollution et il est difficile de faire marche arrière. Mais entre agraver l'asthme d'un enfant et le fait de prendre la voiture pour faire 500 m, qu'est-ce qui sera la plus fort ?
Entre vivre dans un cadre verdoyant et propre, et vivre dans une décharge à ciel ouvert faite de papiers gras jetés par terre et de cendriers de voiture vidés dans la rue, d'arbres couverts de sacs plastics et de jardins publics remplis de tessons de bouteilles : que préférez-vous ?
Face à la pollution et à la dégradation de la Terre, notre inquiétude grandit en même temps que nos enfants...
Réfléchissez, vite.
voici des conseils, on ne peut pas être parfait mais tendons vers l'excellence .
Voici quelques conseils pour profiter au mieux de votre jardin tout en préservant un bien précieux : l'eau.
L'arrosage :
Nourrissez-les pour les garder
Au printemps, lorsque les pucerons sont encore rares dans le jardin, les coccinelles se nourrissent de pollen. Il faut donc garder des "plantes à fleurs" comme les pâquerettes et les pissenlits.
A fin de l’été, les coccinelles se nourrissant essentiellement de pollen et de nectar, il convient de mettre des plantes sauvages dans le jardin comme la tanaisie et la grande berce. Les fleurs de saule et de noisetier sont riches aussi en pollen.
Les fleurs sauvages et les haies naturelles servent de refuges à beaucoup d’autres insectes utiles, comme les syrphes, attirés par les fleurs d’aubépines, dont les larves consomment des pucerons.
La coccinelle émigre lorsqu'elle manque de nourriture. Il est donc important de prévoir des réserves à pucerons comme un buisson d’orties, une haie d’essences indigènes. Ces pucerons spécifiques ne s’intéressent pas aux fleurs et légumes du jardin.
Ne les tuez pas avec des pesticides
Les pesticides transforment le jardin en un véritable désert écologique et compromettent toute régulation par les ennemis naturels.
Si vous manquez de ces charmantes auxiliaires de jardin, vous pouvez en acheter au printemps dans les jardineries sous forme de boite de larves.