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Arles au paradis, Strasbourg en enfer Publié le Samedi 15 Mai 2010 à 02:07:08

Un an tout juste après la création du club, Arles-Avignon, plus petit budget de Ligue 2, a réalisé vendredi l'exploit d'accéder à l'élite grâce à sa victoire devant Clermont lors de la dernière journée (1-0). C'est la première fois depuis la saison 1975-76 qu'Avignon retrouve le plus haut niveau français. Le défi est immense pour ce club aux structures encore balbutiantes, à commencer par son stade, de 7600 places actuellement, et dont la capacité devrait être portée à 17.000 pendant l'été... "90 minutes pour nous mener au 7e ciel": la banderole déployée dans l'une des deux petites tribunes du Parc des sports, a visiblement fait effet.

Plus vifs, plus inspirés, plus portés vers l'avant, les hommes de Michel Estevan, le coach aux sept montées, dont celles d'Arles de National en L2 la saison dernière, ont d'abord géré ce match couperet sans crispation. Le but de Benjamin Psaume, un ancien espoir, symbolisait l'audace de ce petit club: changement de pied à l'entrée de la surface, "sombrero" et demi-volée (1-0, 14). Virevoltant, comme Ayew, plus confus toutefois, il manquait de récidiver à la 40e.

Les Auvergnats, venus chercher eux aussi l'accession, ne faisaient réellement surface qu'en toute fin de mi-temps sur un coup-franc puissant d'Armand (45+2) repoussée par Merville et en début de seconde période, où ils gagnaient la bataille du milieu. Armand croyait d'ailleurs avoir égalisé, mais le but était refusé pour une faute sur un défenseur (51).

Le vent avait tourné et l'ACA, à défaut de flamber, resserrait ses lignes... "Camarguais, Camarguais", chantait aussi une partie du stade, rappelant ainsi que c'est Arles, monté de National, qui était à l'origine de cette drôle d'aventure. Les supporteurs sudistes envahissaient alors le terrain mais de petites échauffourées éclataient brièvement avec des groupes de clermontois.

Afficher le commentaire. Dernier par moi le 15-05-2010 à 10h12 - Permalien - Partager
Les 60 ans et les sondages Publié le Vendredi 14 Mai 2010 à 02:48:22

Pour la réforme 2010, il est sérieusement question de retarder l’âge qui est de 60 ans pour avoir le droit à une retraite à taux plein si l’on a cotisé le nombre de trimestres fixé pour chaque génération.


Les sondages ont montré une évolution sensible des français.

Voici ce que personnellement j’en retiens.

1 . 3 français sur 4 sont inquiets pour leur retraite (IFOP janvier 2010)
2. Entre 3 et 4 français sur 10 sont prêts à cotiser davantage quitte à perdre du pouvoir d’achat (baromètre BVA et IFOP)
3. 6 français sur 10 sont contre le recul de l’âge légal après 60 ans
4. La moitié des français est pour une augmentation des trimestres nécessaires pour avoir une retraite à taux plein.

Si les questions posées sont un peu plus élaborées cela donne :

o« puisque l’espérance de vie s’allonge, il est logique que l’âge légal à la retraite soit repoussée au-delà de 60 ans » 34%
o« l’âge légal de départ en retraite fixe à 60 ans est un acquis social, il ne faut pas revenir dessus » 63%
o« pour sauver le système de retraite tel qu’il existe, préfèreriez vous plutôt… que la durée de cotisation soit allongée » 51%

Et concernant l’âge estimé et l’âge envisagé pour prendre sa retraite.

·« D’après vous à quel âge serez vous contraint de partir à la retraite ? » moyenne des réponses : 64,7 ans
·« Jusqu’à quel âge seriez-vous prêt à travailler pour avoir une bonne retraite ? » moyenne des réponses : 61,9 ans

Conclusions : je comprends le casse tête des décideurs pour décrypter ces sondages. Moi ce que je lis est assez simple.


D’un coté, les français ne veulent pas que l’on touche à la retraite à 60 ans parce qu’ils pensent que l’on va les contraindre à travailler jusque 65 ans, par contre ils sont prêts à travailler jusque 62 ans mais à une condition :« pour avoir une bonne retraite ».

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My paris Publié le Jeudi 6 Mai 2010 à 03:58:38

Né en 1984 à Paris, il entre au Conservatoire à l’âge de six ans et en sort 10 années plus tard, le cœur empli de Chopin et de Litz, un romantisme dont on retrouve la dentelle à chacune de ses compositions.

D’abord à la tête d’un trio guitare, basse, batterie, JUNE s’affute sur les scènes parisiennes, de province et même internationales. Puis il décide de continuer seul. Un vœu de solitude qui n’a rien d’un sacrifice mais tout d’une offrande sur l’autel du plaisir de nos sens.

 Aujourd’hui pour écouter JUNE, il ne faut pas fermer les yeux, mais les lever, car sa musique vient d’en haut.

Si vous doutez encore d’avoir une âme, JUNE vous en convaincra, car il lui procurera de délicieux frissons.

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