Mon frère, un jour a dit…
Quelque fois triste, quelque fois gaie
Le temps passait et toi tu mourrais
Nul ne peut lire dans les pensées
Si versatiles, qui ne veut vivre qu’au passé
Tu nous laissais et tes proches et ami(es) pleuraient
Pour dissiper ces souvenirs
Qui s’accumulent et qui s’empirent
Nous nous sommes bâtis un monde
Ou nous pouvons en secret inverser les secondes
Et s’immiscer dans le passé
Trop souvent triste, pas assez gaie
Pour préserver le souvenir
L’instant présent dans certains délires
Conserver au fond, le meilleur de naguère
Mais le temps est l’ennemi de ceux qui espèrent
Mille prières, Mille lumières t'éclairent là où tu es
Oublier ses déboires, oublier ses rancœurs
Et oublier la peine que renferme son cœur
Aux instants ou le silence était le seul à l’écouter
Un homme avec une générosité immense vient de nous quitter !
-Le Maire Michel DESTOT représentant la ville de Grenoble vient de rendre hommage aujourd’hui samedi 17 mars 2012 à 11h30 au Père Jean FRECHET. C’était un grand moment !