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L'homme le plus cool de la planète Publié le Lundi 11 Août 2008 à 16:08:37

 

 

Et oui, même les américains reconnaissent sa gentillesse... il cool Zinedine !

Zidane, l'homme le plus cool de la planète

La presse américaine salue jeudi en Une la victoire de l'équipe de France sur le Portugal en demi-finale de la Coupe du monde de football et ne tarit pas d'éloges sur Zinédine Zidane, "l'homme le plus cool de la planète" pour le New York Times.

Le Wall Street Journal, quotidien des affaires, estime que "la qualité" et "l'expérience" ont défini cette Coupe du monde et confirmé d'"ennuyeuses et vieilles vérités: que les équipes traditionnellement fortes d'Europe et d'Amérique du Sud restent supérieures".

"C'est le pedigree qui l'emporte, poursuit le Wall Street Journal. Les quatre demi-finalistes - Allemagne, Italie, France et Portugal - possèdent tous une riche histoire du football".

Le journal relève que dans "cette Coupe du monde de vieux hommes et de vieux pays", l'Allemagne, l'Italie et la France, ont remporté à eux trois 7 Coupes du monde sur 18 depuis la création de cette compétition.

Le quotidien rend également un hommage appuyé au capitaine français Zidane, qui, avec "l'élégance de son style", a donné "une leçon magistrale de football".

Deux photos en Une illustrent en première page du New York Times le but de la victoire de Zidane, dont le journal dresse un portrait dithyrambique. "A 34 ans, il est l'homme le plus cool de la planète", s'exclame le quotidien new-yorkais qui suggère à la Fédération française de football "de faire un film de promotion avec des images de l'enthousiasme de Zidane et de le montrer aux joueurs, jeunes et vieux", pour montrer "comment un athlète travaille".

Pour USA Today, le match contre le Portugal a permis à la France de "s'éloigner un peu plus du cauchemar de 2002". Le quotidien ajoute que la "balance a finalement penché en faveur des Bleus" grâce au but de Zidane, qui "a poursuivi sa renaissance dans cette Coupe".

Sources : Sport fr

Posté par Adriana Evangelizt

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Sarkozy parle de Zidane Publié le Lundi 11 Août 2008 à 16:09:11

 

 

Sarkozy parle de Zidane

Le ministre de l'Intérieur et président de l'UMP Nicolas Sarkozy salue en Zinédine Zidane le "symbole de cette France plurielle qu'(il) aimerait voir émerger au quotidien", dans une tribune à paraître dimanche dans le JDD.

M. Sarkozy, qui doit se rendre dimanche au Maroc pour la Conférence euro-africaine, pronostique une finale du Mondial de
football "dure" et "croisera (ses) dix doigts pour nos Bleus" en regardant la rencontre Italie-France qui aura lieu dans la soirée à Berlin.

"Depuis le début de la Coupe, j'ai suivi tous les matches en famille. Comme tout le monde, j'ai serré les dents, encouragé, bondi de joie et de fierté. On est en finale ! On n'attendait pas la France, et la voici qui s'impose avec détermination et technique. Notre pays aime déjouer les scénarii écrits à l'avance", ajoute-t-il.

Rendant hommage à "l'orgueil décidé et méthodique" du meneur de jeu français, Nicolas Sarkozy trouve que, "au-delà du symbole", il est "touchant de voir que c'est un homme de coeur qui soit le visage de la France qui gagne".

"Il y a en lui une générosité et une fermeté intérieure, et je crois que ce sont précisément ces deux qualités qui seront décisives face à l'équipe italienne", estime-t-il.

M. Sarkozy a aussi "une pensée" pour le sélectionneur des Bleus,
Raymond Domenech. "Il a été critiqué. Il a tenu. C'est une belle leçon".

Sources :
Sport fr

Posté par Adriana Evangelizt

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Royal Zidane Publié le Lundi 11 Août 2008 à 16:09:37

 

 

Zinedine Zidane Royal

1er Juillet - Zinedine Zidane a été l’incontestable homme du match et a une nouvelle fois confirmé son statut de bête noire de l’équipe du Brésil éliminée de la Coupe du monde après une série de onze victoires consécutives.

Quatre jours après avoir humilié l’Espagne (3-1), les Bleus ont battu la plus grande équipe du monde grâce à une défense héroïque et à un but opportuniste de Thierry Henry à l’heure de jeu. Les Français accèdent aux demi-finales de la Coupe du monde où ils affronteront mercredi le Portugal qui a sorti l’Angleterre au terme de la séance des tirs au but.

La France s’impose comme la bête noire du Brésil : après les victoires de 1986 (quart de finale) et de 1998 (finale), les coéquipiers de Zinedine Zidane démontrent qu’ils sont quasiment les seuls à pouvoir contester la suprématie des quintuples champions du monde. Depuis leur élimination par l’Argentine en 1990, les Auriverde n’ont perdu que deux matches en Coupe du monde et les deux fois ce fut contre la France.

Cette qualification pour le dernier carré transforme définitivement en réussite une aventure qui avait pourtant commencé dans la douleur et la morosité. Plus vieille équipe du tournoi, la France a livré un match dont on ne la pensait plus capable après le fiasco de 2002 et le semi-échec de 2004.

Autre bonne nouvelle pour l’équipe de France, elle a retrouvé un Zinedine Zidane au sommet de son art et qui n’a visiblement pas envie de prendre une retraite anticipée. Elle rappelle également qu’elle figure parmi les quatre meilleures équipes de la planète et elle a certainement préparé une bonne partie de son avenir samedi soir.

Synthèse de Rayane

Sources :  Algerie dz

Posté par Adriana Evangelizt

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Zidane, la dernière danse Publié le Lundi 11 Août 2008 à 16:12:23

 

 

 

 

 

Zidane, la dernière danse

Comme il le rêvait, Zinédine Zidane arrêtera sa carrière sur une deuxième finale de Coupe du monde face à l'Italie, ce soir. Les Bleus veulent lui offrir une sortie digne d'un joueur qui pourrait entrer dans la légende du football. Car, à 34 ans, il est toujours au sommet de son art.

On a d'abord cru au combat de trop. Lorsqu'il annonce à la fin du mois d'avril qu'il rangera ses crampons après le Mondial, Zinédine Zidane se fixe un défi à la mesure du personnage, énorme : terminer sur une victoire en Coupe du monde. "Je ne suis pas revenu pour faire le guignol. On y va pour gagner la Coupe du monde. Si je vous disais le contraire, je n'irai pas, tout simplement", annonçait-il alors qu'il était en plein marasme avec le Real Madrid. Quelques mois plus tard, s'il a aidé les Bleus à se qualifier pour le Mondial, le doute persiste. Lors du premier match de préparation face au Mexique (1-0) le 27 mai, il rend peut-être sa pire copie sous le maillot tricolore pour sa dernière apparition au Stade de France. Ses premiers pas en Allemagne sont également timides. On le dit usé, voire fini. L'Espagne annonce même qu'elle veut le mettre à la retraite.

Mais Zidane a finalement tenu parole. Après un France-Togo qui aurait pu le voir s'arrêter sur une rencontre à laquelle il n'avait même pas participé, c'est la libération. On retrouve le grand Zidane. L'orgueilleux face à l'Espagne, l'artiste face au Brésil ou encore le combattant face au Portugal. Le scénario est presque parfait. Un à un, le Marseillais retrace les grands moments de sa carrière au fil du parcours des Bleus, jusqu'à l'Italie où il a remporté le Ballon d'Or sous les couleurs de la Juventus. "Je suis heureux pour lui car c'est un symbole. Heureux de savoir que, pour ces grands joueurs, ça ne s'est pas terminé en queue de poisson. Ça ne se sera pas terminé le jour de France-Grèce en 2004 dans le dépit ou dans l'oubli. Ça va se terminer par quelque chose de grandiose", se réjouit Domenech.

Dans la légende ?

A 34 ans, Zinédine Zidane est donc en passe de réussir ce que personne n'a jamais fait jusque là dans l'histoire du sport : tirer sa révérence sur une couronne mondiale. Pour le héros de la finale du 12 juillet 1998, qui avait rangé une première fois le maillot bleu après l'Euro 2004, ce come-back gagnant pourrait le faire basculer dans une autre dimension, bien plus encore que ne l'avaient fait ses deux têtes victorieuses face au Brésil (3-0). La dimension des légendes du football que sont Pelé, Cruyff ou Di Stefano, son idole. "Zidane est le meilleur joueur de ces vingt dernières années", estime Marcello Lippi qui l'a eut sous ses ordres à la Juve. Vingt ans... soit depuis Maradona. En France, il pourrait bien supplanter l'indétrônable Michel Platini dans le coeur des amateurs de football.

"Je ne suis pas le messie", mettait-il en garde lors de l'annonce de son retour. Mais personne n'oserait aujourd'hui soutenir que, si la France se trouve aux portes de sa deuxième finale de Coupe du monde, elle ne le doit pas au génie de son maître à jouer. "Je ne sais pas si le fait qu'il soit là nous fait arriver en finale. Mais tant mieux. Pour lui, c'est la fin. Il arrête sa carrière et on a tous voulu faire en sorte qu'il arrête sur une bonne note, explique Eric Abidal. Maintenant, on a fait le boulot pour l'emmener jusqu'au 9 juillet. Mais je pense que c'est lui qui aura la touche finale". Zizou n'a pas attendu la finale pour apporter sa touche personnelle. Depuis l'égalisation de Franck Ribéry face à l'Espagne, il est ainsi impliqué dans tous les buts des Bleus jusqu'en finale.

Abidal : "Il aura la touche finale"

Au crépuscule de sa carrière, Zidane réalise tout simplement sa meilleure Coupe du monde et tutoie le Zizou de l'Euro 2000. Face au Brésil, on dit qu'il a signé le plus beau match de sa carrière internationale. Pour certains, il est le meilleur joueur de la compétition en Allemagne. Pour d'autres, il a carrément le profil du prochain Ballon d'Or. Pour les derniers, il s'en va trop tôt. Bref, il est au sommet de son art. Mais ce succès ne doit rien au hasard."On est en admiration devant tous les sacrifices qu'il a consentis. Par rapport au travail qu'il a effectué à Clairefontaine ou à Tignes, toutes les séances qu'il s'est obligées lui-même à faire, il a fait plus que tous les autres, raconte Sagnol. Aujourd'hui, c'est en train de payer. Je ne vais pas dire qu'on est fier de lui mais on est content qu'il soit là. On est vraiment heureux qu'il ait changé d'avis il y a un an".

Pourtant, en annonçant prématurément qu'il effectuerait ses derniers tours de passe-passe lors du Mondial, le "magicien" dixit Pelé s'était mis une pression incommensurable sur les épaules. Chacun de ses gestes étaient épiés comme un moment rare alors que pesait au-dessus de lui l'épée de Damoclès qui faisait que chaque match pouvait aussi être le dernier. "On en parle déjà depuis un petit moment et pour l'instant cela ne l'a pas handicapé. Au contraire. Si Zizou a réussi à être aussi performant ces derniers matches, c'est peut-être aussi parce qu'il a su faire abstraction de ça et, comme l'a fait Thierry Henry, se mettre à fond avec l'équipe" , témoigne Willy Sagnol, devenu l'un de ses plus proches partenaires. Car, cloitré dans son château à Aerzen, le roi Zidane est resté concentré sur son objectif : rendre à l'équipe de France ce qu'elle lui avait tant donné. "Demandez-lui, il vous dira qu'il ne fait pas cela pour lui", insiste Thierry Henry.

Del Piero : "C'est le numéro 1"

Aujourd'hui, Zidane se trouve aux portes de sa deuxième finale de Coupe du monde. La plus belle parce que la dernière, comme pour Thuram, Makelele et peut-être Barthez. Les Bleus peuvent-ils y trouver une source de motivation supplémentaire ? "Ça peut être une chose qui peut nous porter ou faire que l'on se transcende pendant cette finale, estime Sidney Govou. Pas jouer pour eux mais avoir une petite pensée supplémentaire. Penser à ça quand on doit faire les efforts et qu'on est peut-être un peu moins bien, ça peut nous aider faire les dix ou vingt qu'il faut en plus". "Eux, ça les poussent surement à finir sur la meilleure note possible, reconnaît pour sa part Sagnol. Mais il y a d'autres joueurs pour qui ça n'est pas fini. Si on peut aider ses trois-quatre joueurs qui vont arrêter l'équipe de France à finir sur une note extraordinaire, tant mieux. Ça voudra dire que ce sera également pas mal pour nous ".

Zidane impose le respect, même chez ses adversaires du soir. "On ne stoppe pas Zidane !", confie Gennaro Gattuso. Jouer contre Zidane est un peu comme jouer au Bunto (en italien, les trois cloches sous lesquelles on cache une balle). Tu vois la balle, tu la vois plus, tu vois la balle, tu la vois plus ! C'est un des joueurs qui font que ça vaut la peine d'acheter un billet". "Il est magnifique mais j'espère qu'il ne le sera pas dimanche. Dans l'absolu, c'est le numéro 1. Peu de joueurs sont proches de lui en qualité" , lui rend hommage son ancien coéquipier Alessandro Del Piero. Et les Italiens ont raison de le craindre à en croire Eric Abidal. " Moi, je me prononce avant comme je l'avais fait pour l'Espagne : Nous, on a Zidane et eux ne l'ont pas. Je pense qu'il fera encore la différence". Espérons qu'il aura une nouvelle fois raison pour que le maestro s'offre une sortie à la démesure de son talent...

Sources : Eurosport

Posté par Adriana Evangelizt

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