Blog créé grâce à Iblogyou. Créer un blog gratuitement en moins de 5 minutes.

MaLLeK..info..ZiDaNe

MaLLeK and ZiDaNe...ThEy Are FrOm ...

L'homme du match c'est Materazzi Publié le Lundi 11 Août 2008 à 15:51:33

 

 

Raymond Domenech : "L'homme du match, c'est Materazzi"

 

Raymond Domenech (France, sélectionneur) : C'est une grosse déception, je n'ai pas d'autres mots, une grosse déception."  "On ne peut être que déçu, profondément déçu. Sur la qualité du jeu, on le méritait. Seule la victoire est belle. Il manquera un petit quelque chose. Se satisfaire d'à peu près, ce n'était pas l'objectif".

Au sujet de l'expulsion de Zidane : "Il faut être arbitre pour faire un truc pareil. Le faire finir de cette manière là, c'est triste. On n'excuse pas mais on comprend, quand on prend (des coups) pendant une heure vingt."

"On peut dire que l'exclusion de [Zinédine Zidane] est un élément du match parce que sur la deuxième mi-temps et la prolongation, les Italiens n'attendaient qu'une chose, c'était d'arriver aux tirs au but, c'était leur seul espoir. Mais il y a déjà eu la sortie de Patrick Vieira qui a aussi eu une influence. Après il y a la sortie de Zinédine, on se retrouve à dix. Il y a eu deux faits marquants avant les tirs au but."

"Materazzi a fait beaucoup de cinéma quand il est tombé de si haut. Il est grand, il est costaud, et un coup de vent l'a fait tomber. L'homme du match, ce n'est pas Pirlo, c'est Materazzi, il marque et il fait exclure Zidane... Mais après, sur le geste, je le regrette, et nous le regrettons aussi, et Zidane aussi. Mais Materazzi ne doit pas y être pour rien. Je n'imagine pas que Zidane avait envie d'être exclu. Il s'est passé quelque chose. C'est évident. (...) C'est triste quand un grand joueur termine sa carrière comme ça, exclu, alors qu'il a fait une grande compétition. J'aurais préféré le sortir, moi, à cinq minutes de la fin, pour qu'il ait une vraie ovation. Je ne m'attendais pas à une ovation comme celle-là..."

Willy Sagnol à propos de l'incident Zidane-Materazzi : "Je n'ai rien vu, je ne sais pas ce qu'il s'est passé mais ça n'a rien changé au match. J'espère que ce qu'on a fait jusqu'à la finale va nous servir de base pour les qualifications à l'Euro-2008. Si on garde le même état d'esprit, on devrait y arriver. Arriver en finale et perdre aux tirs au but, c'est difficile de retenir quelque chose au niveau sportif, mais on retiendra notre merveilleuse aventure humaine et cela, ça n'a pas de prix. Jedis merci à Zidane, Thuram et Makelele pour ce qu'ils ont fait mais maintenant on va essayer de se débrouiller sans eux."

David Trezeguet : "C'est vrai que je connais bien Buffon, mais je n'ai pas specialement changé ma façon de tirer pour ça. Je ne pense pas avoir mal tiré, il est important de prendre ses responsabilités et je garde la tête haute. J'ai dit à Buffon qu'on allait se retrouver pour les vacances. il faut accepter la défaite, ça fait partie du football, nous avons dominé et malheureusement on s'est retrouvé aux tirs au but."

William Gallas (au micro de Canal+) : "Après l'expulsion de Zidane, on savait qu'on pouvait les mettre encore en danger. Même si Zizou est sorti, on voulait absolument gagner, et ne pas repartir sur une défaite. C'est le football. Malheureusement on ne le maîtrise pas! C'est dommage, peut-être qu'on fera mieux la prochaine fois. Tout le monde a vu que dans le jeu on a été meilleurs qu'eux. On n'a été mis en danger que sur les coups francs et les corners. Je pense qu'on a vu une grande équipe de France".

Marcello Lippi, sélectionneur de l'équipe d'Italie : "Nous avons mal commencé en concédant le penalty, mais mes joueurs ont bien réagi et ils se sont créés des occasions. Je suis fier de mes joueurs pendant cette Coupe du monde. Les tirs au but, c'est toujours une loterie, je le sais, j'en ai gagné et perdu en Ligue des champions. Mais mes joueurs étaient prêts, ils avaient les idées claires."

Fabio Cannavaro
: "Nous voulions le trophée et nous nous sommes battus de toutes nos forces. L'Allemagne a gagné chez nous (en 1990) et nous gagnons en Allemagne. C'est très bien. Je suis vraiment très heureux car personne n'y croyait au début du Mondial. Mais nous l'avons mérité".

Gennaro Gattuso (milieu de terrain de l'Italie) : "C'est la victoire d'une équipe peut-être pas belle à voir jouer mais avec un coeur gros comme ça. Le succès d'un groupe authentique, mais je ne réalise pas encore".

Sources : Le Monde

Posté par Adriana Evangelizt

Ecrire un commentaire - Permalien - Partager
L'Italie a gagné mais à quel prix ? Publié le Lundi 11 Août 2008 à 15:52:56

 

 

L'Italie a gagné mais à quel prix ?

par Jean-Marc Manach
 

'Italie a gagné, mais à quel prix ? Interrogée par le Guardian, une jeune femme précise ainsi que "le meilleur n'est pas tant d'avoir gagné que d'avoir gagné contre la France". Pour le quotidien britannique, le Circus Maximus de Rome, où 200 000 tifosis s'étaient réunis pour assister au match, n'avait probablement pas connu une telle liesse depuis les courses de chars qu'il accueillait il y a 2 000 ans ! Il Tempo – pour qui le patriotisme est préférable à Coubertin, parce que "l'important est de gagner, pas de participer" – écrit "notre revanche contre Zidane est consommée, l'Italie le méritait, six ans et sept jours après"  la défaite de l'Italie en Coupe d'Europe. Libero, ironiquement, affiche en "une" : "Garçon, champagne". La Stampa, résumant bien l'état d'esprit transalpin, affiche un non moins sobre "Campioni del mondo" suivi de cinq points d'exclamation. Dans La Repubblica, le président de la République se félicite quant à lui de cette victoire "qui redonne du sens de l'honneur et de l'identité nationale à notre pays, qui a tant de problèmes et en avait bien besoin". Ce qu'Il Tempo résume en rappelant que si le footbal italien, à cause du scandale des matches truqués, a les pieds dans la boue, il a aussi désormais la Coupe du monde dans les bras, et donc lavé l'honneur du pays.

Le Telegraph parle pour sa part d'"une nuit de drame, d'intrigue et de virtuosité" digne d'un opéra de Verdi, mais dont le scénario aurait peut-être été considéré comme abusif par la Scala. Et la beauté et la "sublime grâce" de Zinédine Zidane ne résistent pas à son coup de tête. Pour le Times, c'est d'autant plus difficile à admettre que la France a dominé le match, même après l'expulsion de "Zizou". Et si l'on ne saura jamais qui aurait gagné s'il n'avait perdu la tête de la sorte, le quotidien britannique se refuse de plomber définitivement sa réputation, dans l'attente d'un complément d'enquête sur la provocation dont il aurait fait l'objet. Si les journaux italiens n'évoquent guère l'attitude du capitaine des Bleus, et encore moins ce que Marco Materazzi a bien pu lui dire pour qu'il l'agresse ainsi, Le Corriere note néanmoins que "Zidane aurait pu être célébré comme un héros, mais qu'il est parti la tête basse, à cause d'un coup de tête".

L'émotion est d'autant plus forte que les footballeurs sont des modèles, et le Mondial leur célébration. Le Gleaner jamaïcain notait ainsi dimanche matin que Zidane, du haut de ses 34 ans, avait plus contribué à unifier l'humanité que n'importe lequel des traités politiques, de même que Diego Maradona, "tout drogué, imbécile et incontrôlable qu'il soit, a plus réuni de monde autour de lui que Platon, Kant, Einstein, Gandhi et Mandela". Kofi Annan clamait pour sa part, en ouverture du Mondial, à quel point il en était envieux : alors que la FIFA compte 207 membres, les Nations Unis n'en dénombrent que 191. Pour le secrétaire général de l'ONU, le monde se porterait bien mieux si le concert des nations adoptait ce type de compétition où chaque pays a ses chances et où les citoyens sont fiers de lui appartenir, où les fils d'immigrés deviennent des héros nationaux et où tout le monde respecte les règles du jeu.


Mais pour le Times, impossible de ne pas voir dans ce match ("en noir et blanc") une conséquence de ce qui s'est passé, en Italie, ces dernières années. Ou, plus précisément, à la Juventus de Turin : six des vingt-deux joueurs qui se sont affrontés hier soir font partie de l'équipe – qui risque fort d'être reléguée en troisième division – sans oublier le fait que Thierry Henri et Zinédine Zidane en firent eux aussi partie, et que Trezeguet en est le buteur attitré. Et beaucoup avaient quelque chose à prouver. Or, si la Squadra azzurra a contribué cette nuit à réhabiliter la réputation des joueurs de la Juve, celle de Zidane s'en trouve du coup entachée. D'où cette question : "pourquoi tricher ?"

Sources : Le Monde

Posté par Adriana Evangelizt

Ecrire un commentaire - Permalien - Partager
La vidéo n'aurait pas été utilisée pour l'exclusion Publié le Lundi 11 Août 2008 à 15:54:01

 

 

Exclusion Zidane: la vidéo n’a pas été utilisée, assure la Fifa
 

LONDRES La Fédération internationale de football (Fifa) a assuré lundi que la vidéo n’avait pas été utilisée pour exclure le capitaine français Zinedine Zidane après son coup de tête assénée en pleine poitrine de l’Italien Marco Materazzi en finale du Mondial de football.

«Le quatrième arbitre a vu (l’incident) en direct sur la pelouse et en a avisé l’arbitre et l’arbitre a pris sa décision, point barre », a expliqué à la BBC Andreas Herren, porte-parole de la Fifa.

Zidane n’a pas reçu tout de suite son carton rouge après son geste. «Il semble que l’arbitre ait attendu que la situation se clarifie un peu avant de prendre sa décision », a ajouté le porte-parole de la Fifa.

Dimanche soir, le sélectionneur français Raymond Domenech avait amèrement ironisé sur l’exclusion: «On vient d’instaurer l’arbitrage vidéo parce que c’est le quatrième arbitre qui est venu le dire.
L’arbitre de touche n’a rien vu. C’est une nouvelle règle qui est mise en place, vive la vidéo dans le football! »
.

Sources : DH net

Posté par Adriana Evangelizt

Ecrire un commentaire - Permalien - Partager
Analyse de psychologue Publié le Lundi 11 Août 2008 à 15:54:35

 

 

Voilà une très belle analyse qui explique que l'humain a ses limites...

 

Psychologue: l’exclusion de Zidane «va le suivre longtemps»

Comment expliquer le coup de sang de Zidane?

Meriem Salmi, psychologue à l’Institut national du sport et de l’éducation physique (INSEP), estime que l’exclusion de Zinedine Zidane en finale du Mondial-2006 de football dimanche soir «va suivre longtemps » le capitaine de l’équipe de France.

Cette finale perdue aux tirs aux buts contre l’Italie (1-1, 3 t.a.b. à 5) était le dernier match de la carrière de Zidane, qui a fêté ses 34 ans le 23 juin.

Q: Comment expliquez-vous le coup de sang de Zidane?

R: «Comme tout être humain, il peut être sujet à des réactions auxquelles on ne s’attend pas mais qui sont assez banales, quand la pression est aussi importante et que vous avez plus d’un mois de compétition dans les jambes et dans la tête. Tout ça va ensemble.
Après un mois de compétition, on est complètement épuisé physiquement. On n’a plus les mêmes capacités. C’est pareil sur le plan psychologique. On passe par des moments où on est vulnérable à tous les niveaux et on peut aussi se blesser psychologiquement.
Quelque chose qui serait passé quand on est en forme, là, ne passe pas. C’est intéressant aussi de savoir ce qu’on lui a dit. »

Q: A-t-il succombé à la pression?

R: «On lui a fait porter d’énormes responsabilités. Il faut s’imaginer la vie de Zidane. A un moment donné, c’est trop, surtout que c’est une personnalité réservée qui contrôle les choses. Les gens qui ont plus l’habitude de s’exprimer ont aussi plus l’habitude de se lâcher. Par contre, quelqu’un de réservé comme Zidane, dès qu’il réalise quelque chose, ça prend des proportions plus importantes. C’est tellement contradictoire par rapport à l’image qu’il représente que ça prend une valeur énorme. Après le match, on ne l’a pas revu. Il était très mal. C’est extrêmement perturbant de perdre le contrôle pour quelqu’un qui a l’habitude de maîtriser les choses. »

Q: Etait-ce un geste réfléchi?

R: «Dans l’instant, il n’a pas mesuré, sinon il ne l’aurait pas fait. C’est comme si le temps s’arrêtait. C’est un passage à l’acte, un moment où rien n’est élaboré et réfléchi. Ca sort comme une pulsion. Zidane est un athlète de haut niveau, donc symboliquement, il a envie de se battre voire de tuer son adversaire. C’est comme si la symbolique prenait le pas sur la réalité. Au moment du coup, il a envie de le mettre à terre. »

Q: Sa distance par rapport à la presse a-t-elle pu renforcer la pression sur ses épaules?

R: «S’il s’enferme, c’est qu’il pense que c’est la meilleure manière de se protéger. Ce n’est pas toujours facile de parler aux médias, de répondre aux questions surtout quand on prépare un événement aussi important. Un sportif de haut niveau a besoin de rassembler toute son énergie sur cet objectif et donc il peut avoir envie de conserver pour soi ses moments de détentes. »

Q: Va-t-il mettre longtemps à se remettre de cette sortie ratée?

R: «Ca dépend de chacun mais, sans le connaître, je dirais que ça va le suivre longtemps, même s’il a des ressources et qu’il va évidemment se remettre. Quand on voit qu’il ne réapparaît pas, même pour aller chercher sa médaille, qu’il n’a pas cherché à s’expliquer, à se justifier ou à se faire pardonner, c’est que c’est difficile pour lui d’avoir craqué à ce moment-là. Par rapport à ses équipiers, ce n’est pas facile d’avoir symboliquement abandonné son équipe. Il va falloir qu’il travaille sur lui pour répondre à ces questions. Par rapport aux siens, c’est aussi une image qu’il n’accepte pas de lui-même. »

Propos recueillis par Gaël FAVENNEC

Sources : DH net

Posté par Adriana Evangelizt

Ecrire un commentaire - Permalien - Partager
Les réactions de la presse internationale Publié le Lundi 11 Août 2008 à 15:56:02

 

 

Et c'est là que l'on voit les médias qui vous encensent un jour et vous coulent dans la boue -pour être polie- le lendemain. Ils font monter la sauce pour faire d'un homme un dieu mais oublient qu'il est un humain. Ce qui est fait est fait. On ne vit pas avec des regrets. Inutile de s'apesantir sur les faits, il n'y a qu'à voir Zidane quitter le stade pour comprendre toute la peine qu'il ressent. Le premier qui souffre, c'est lui. Faut-il être le dernier des imbéciles pour ne pas comprendre cela..

Le coup de tête de Zidane éclipse le sacre italien

La presse internationale lance aussi un «Viva Italia » de circonstance

Le coup de tête de Zinedine Zidane sur Marco Materazzi en finale de la Coupe du monde de football a réussi l'impensable : éclipser le sacre de l'Italie dans la presse mondiale lundi.

Seuls les quotidiens italiens ont logiquement mis l'accent sur le quatrième titre mondial des «azzurri »: «Sur le toit du monde » (La Stampa), «Italie, coeur mondial » (Il Messaggero), «Le monde nous appartient » (La Repubblica).

«Partout sur la planète Terre, le passeport blanc-rouge-vert sera timbré avec admiration », résume l'éditorial du principal tirage italien, Corriere della Sera.

La presse internationale lance elle aussi un «Viva Italia » de circonstance à l'image du quotidien La Dernière Heure, mais enchaîne rapidement sur «l'incompréhensible fin de carrière » de Zidane, exclu en prolongation après un coup de tête violent dans le buste de Materazzi.

Dans les colonnes du New York Times, Zidane passe ainsi de «l'homme le plus cool de la planète », qualificatif utilisé jeudi, à la «star qui chancelle », auteur d'un «acte spectaculairement stupide ».

Le quotidien francophone algérien Liberté note que «ce qui devait être l'apothéose pour un véritable génie du football a finalement viré au cauchemar pour tout un peuple ».

«La plume et son propriétaire restent désemparés au moment où il faut parler des incidents aussi choquants que celui du coup de tête de Zidane administré à Materazzi. A quoi bon? Pourquoi? Est-il devenu fou? », lance incrédule le quotidien de sport polonais Przeglad Sportowy.

«Pourquoi Zidane? Pourquoi? Dans cette nuit qui devait être parfaite, comment a-t-il été possible de perdre la tête de cette façon? », s'interroge également le quotidien sportif portugais A Bola sous le titre: «La nuit où Zizou a rimé avec fou ».

«Merde, Monsieur Zidane »

«Zidane avait tout pour gagner. Et à la fin il a tout perdu », écrit encore le quotidien, qui estime que par ce geste «l'artiste » a jeté «un seau d'encre noire » sur «l'oeuvre d'art qu'il avait patiemment créée ».

Le quotidien de référence Publico, sous le titre «Zidane, de héros à vilain », estime même que le capitaine français par son geste «indigne » a «déshonoré le football ».

«Zidane perd la tête et la couronne », titre au Brésil le quotidien de Rio de Janeiro O Globo. Dans Folha de Sao Paulo, Tostao, ancien champion du monde brésilien de 1970, estime que «l'unique étoile grandiose de la Coupe s'est éteinte dans ce geste ».

Le quotidien populaire O Dia n'y va pas par quatre chemins sous la plume de l'éditorialiste sportif Teixeira Heizer qui titre, en français, «Merde, Monsieur Zidane ».

«Le plus élégant et raffiné joueur du monde, Zinedine Zidane, a entaché sa carrière et la Coupe elle-même avec un geste insensé vu par 200 millions de supporteurs incrédules. Le coup de tête criminel sur Materazzi a été un exemple à ne pas suivre par la jeunesse et il a aussi contribué à déstabiliser psychologiquement ses équipiers », écrit Heizer.

La presse allemande se montrait tout aussi sévère. «Zidane détruit son auréole de saint », affirme la Frankfurter Allgemeine Zeitung. Le quotidien Süddeutsche Zeitung titre sur «la face sombre du génie ».

Pour le quotidien populaire Bild, «Zidane est responsable de l'aspect le plus sale de notre Mondial ».

La Berliner Zeitung souligne que la star française a montré ses «deux visages: Dr Jekyll et Mr Hyde ». «Zizou le magicien s'est une nouvelle fois oublié », ajoute-t-il.

«Criminel! »

Le journal sénégalais Sud quotidien estime aussi que Zidane a montré «une facette du personnage que le monde avait oubliée, celle qui lui avait coûté le Ballon d'Or en 2000 ».

«Il est un virtuose du ballon, mais également très susceptible, abonde le quotidien néerlandais L'Algemeen Dagblad. Il n'a jamais cessé d'être le footballeur de rue de La Castellane », son quartier d'origine à Marseille.

«Le dieu du football, le génie, l'ange bleu, qui nous a tant donné (...) a quitté la scène mondiale comme un homme violent, un criminel », note pour sa part le quotidien danois Politiken.

Beaucoup de médias, à l'image du quotidien russe Sport Express, s'interrogent: «Qu'est-ce que Materazzi a dit à Zidane? »

D'autres se demandent si «le moment de folie de Zidane lui a coûté la Coupe du Monde? » (Daily Mail). Certains osent la réponse comme le journal koweïtien Al-Raï al-Aam qui titre en Une: «La Coupe aux Italiens, c'est la faute à Zidane ».

En France, la presse titrait «Cruel » (Libération), «Regrets éternels » (L'Equipe), «Le rêve brisé » (Le Figaro) et voulait dans l'ensemble pardonner à Zidane son «geste de folie ».

Mais beaucoup avaient du mal à le comprendre, à l'instar de L'Equipe, qui demande au néo-retraité dans son éditorial: «Comment cela a-t-il pu arriver à l'homme que vous êtes? »

Sources : DH net

Posté par Adriana Evangelizt

Ecrire un commentaire - Permalien - Partager