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Mon Beauf Préhistorique

La vie de Léon, Testeur de Pastaga

Léon Mon Beauf. Publié le Dimanche 6 Septembre 2009 à 13:29:59

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                 Voici la fabuleuse histoire de Léon Mon Beauf ,qui vécut en l'an de grâce, (ou de maigre je sais plus ) avant la grande chiasse liquide, soit 555 jours avant l'invasion des scolopendres enrhumés et unijambistes, ou bien selon le calendrier vénusien :une minute  moins le quart après le séisme des fosses septiques du village.
                  Son village se situe en plein milieu d'un marécage, entouré de marécages eux même cernés par des marécages qui sont le centre de marécages plus grands, faisant partis d'un ensemble de marécages plus ou moins marécageux. Pas très folichon comme site me direz vous; mais les habitants de ce villages ne connaissaient rien d'autre, la ligne B468 avec changement en WX279R du R.E.R. local n'étant pas encore créée, ni même inventée.
           Mon Beauf, que désormais j'appellerai Léon, puisque c'est son nom était issu (des pieds) d'une très noble famille, puisque son grand père n'était autre que le baron De La Bouteille, lui même né De La Cuite Journalière par son père et Ejaculation de Vinasse  par sa mère qui descendait directement des Figures Blettes grâce au lézard de service à la porte du poulailler.
        Léon donc exerçait le très noble métier d'inventeur créateur testeur gouteur de "Pastaga" (Boisson anisée et alcoolisée très légèrement, puiqu' elle ne titrait que 159 degrés à l'ombre sous abris).

Voila pour aujourd'hui

   Cette histoire vous sera racontée un  petit peu chaque jour, au gré de mes inspirations et surtout de vos demande.

   Alors si vous voulez la suite, à vous de jouer !...

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Suite de l'histoire de Mon Beauf Publié le Lundi 7 Septembre 2009 à 14:39:13
   Aujourd'hui, je suis en forme alors voici encore un petit bout de l'histoire;
         Léon donc issu d'une presque noble famille avait épouse en 36ème noce Berthe Fouillasse fille d'Alphonsine  Pudubec elle même demie soeur de Géraldine Tronchedetravers par sa mère qui avait copulé le 36 Décembre à l'aube avec le beau frère par alliance de Firmin Troupercé de La Gaule sur  Michebasse.
        C'est compliqué ? Non ? Bon je continue;
        Berthe etait une charmante dame d' environ cent cinquante trois kilos et des broquilles, courte sur pattes avec sur le visage une éruption de boutons, furoncles et autres pustules multicolores suintant d'un jus coloré suivant les humeurs de la dame, allant  du mauve clair au rouge camion de pompier, en passant par le cramoisi tracteur de course. Rajoutez en supplément quelques poils frisotant sur son triple et même quadruple menton ainsi que sur son nez proéminent, les oreilles tellement décollées que les jours de grand vent, elle était obligée de les attacher avec un cable servant à amarrer les bateaux, et vous aurez un portrait presque complet de la damoiselle.(Je ne veux pas continuer pour ne pas vous dégouter tout de suite !...).
   Passons maintenant à ses habits, qu'elle fabriquait elle même avec des restes de cartons d'emballages, des sacs de fumiers et autres résidus qu'elle collectait l' ors de ses sorties nocturnes et avinées à la recherche de son cher (10centimes dévalués) et tendre époux. 
    Vous avez envie de connaitre la suite ?


Alors j'attends vos commentaires !...

Afficher les 2 commentaires. Dernier par lonely-days le 10-09-2009 à 20h32 - Permalien - Partager
Suite de l'histoir de Mon beauf. Publié le Samedi 12 Septembre 2009 à 07:11:38
     Berthe Fouillasse, la très chère tendre et grasse amie de Léon, se fringait avec un peu de tout et n'importe quoi, en voici un exemple.
     Pour confectionner un sous tif, prenez: (Recette de sa grand mère, qui la tenait de sa grand mère, qui la tenait de sa grand mère, qui la tenait.....)
  -Deux ou trois sacs poubelle de cent litres recyclabes si possible et de couleur assorties.
  -Un rouleau de fil de fer barbelé, pour servir d'anti vol et d'anti touche (Dans le cas de Berthe je vois pas qui aurait envie de toucher ou même  de regarder ou même encore d'imaginer les deux horreurs flasques velues et véruqueuse qui lui pendaient sur le devant de sa personne, à part Léon, mais lui a des excuses, il est bourré comme une morue en rut les trois quart du temps et le soir, avant de se mettre au pieu, il en rajoute une couche pour pas cauchemarder !...)
     - Trois ou quatre douzaine de coquilles d'huitre, de moules et de bigornaux malgaches, pour confectionner une pommade sensée raffermir sa poitrine. En voici la recette qu'elle tenait de sa grand mère qui la tenait etc...)
1 _  Piler convenablement les coquilles
2 _ Les diluer avec de l'huile de tracteur de course, incorporer délicatement à coup de marteau du jus de bélicacouille frelaté.
2 1/2 _ Bien secouer pendant 2564 jours et 3 nuits.
2 3/4 _ Filtrer au moyen d'un collant pour bien enlever les résidus.
3 Moins le quart _ Jeter rapidement le collant avant qu'il ne fermente, ce qui donnerait un mauvaise odeur à la préparation.
4 _ Laisser épaissir trois nuits de suite bien au chaud entre les fesses d'une belle femme.
5 _ Et finalement jeter tout ça car je me suis trompé dans la recette, et le produit obtenu est très dangereux et même explosif .


Ouf j'en peu plus !
La suite Demain !...


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Mon Beauf (Suite) Publié le Dimanche 13 Septembre 2009 à 17:47:17
    Je voudrais avant de poursuivre cette histoire, remercier toutes les personnes qui m'ont aidé. (Financièrement, moralement, et tout et tout.)
  
Et en premier;
     Philomène Trouillasse, pour ses conseils avinés euh! pardon avisés.
Ensuite et dans le désordre;

     La compagnie des chasseurs alpins de Palavas les Falots, pour m'avoir rafraichi les neurones quand ça fumait un peu trop.
     Monseigneur Tunoupompe de Basenhaut, pour la qualité de ses hosties parfumées au gingembre.
     Gilberte Delafigue, pour la qualité et la régularité de ses calins réconfortants.
     Les Bucherons du Sahara septentrional,(A gauche en sortant des WC). pour leurs stylos en bois d'arbre du japon de très bonne qualité.
     Les Sous Mariniers du cantal, pour rien, comme ça.
     Mon Beauf, pour son soutiens anisé.
     Soeur Bernadette Scoubidou, pour ses prédiction.
     Giroflé Labignole, pour ses sandwichs de homard du Berry.
     Géraldine Tarlesoir, pour sa mobylette chromée.
     Albert Eteint, pour sa théorie sur les béquilles des millepattes unijambistes.
     Miroslav Passouvant, pour la douceur de son PQ.
     La Fanfare de St. Trou De Balle, (forte de ses deux éléments), pour l'ambiance sonore.
     Les Gendarmes de Froussille les Oies, pour leur service d'ordre, face à la foule énorme et déchainée de mes admirateurs inconditionnels.
     La base aérienne des sous marins nucléaires de la mare en bas de chez moi, pour ce que vous voulez.
     La trottinette de mon filleul, pour mes déplacements.
     Mon Beauf, Tiens il est encore là lui !!! Il doit avoir senti l'odeur du Pastaga !...
     Adolf Staline, pour ses théories rocambolesques sur la vitesse d'un pet sur la toile cirée.
     Philibert Dutrousec, pour la beauté de ses gestes dans le dos crawlé avec des pataugas sur de la semoule de carotte.
     Le Chauve de service, pour la régularité de sa raie au milieu.
     Dieu. Eh oui, même lui a participé à ce chef d'oeuvre.
vous me croyez pas !.... et bien demandez lui!...
     Satan, Eh oui !... lui aussi !...
     Moi, Après tout, si je me remercie pas moi même, qui le fera !...
 
Et vous même très chers lecteurs, qui ne manquerez pas j'en suis sûr de
Rigoler un peu à
La lecture de ces inepties sans prétention
justes bonnes à se dérider les neurones.
Et de me faire part de vos impressions...



    


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