Les femmes sont des anges !
Elles sourient quand elles veulent crier.
Elles chantent quand elles veulent pleurer.
Elles pleurent quand elles sont heureuses et rient quand elles sont nerveuses.
Elles se battent pour ce en quoi elles croient.
Elles s'élèvent contre l'injustice.
Elles ne considère pas un "non" comme réponse quand elles croient qu'il y a une meilleure solution.
Elles se privent de meilleures chaussures pour que leurs enfants puissent en avoir.
Elles accompagnent leurs amis(es) chez le médecin même pour un rhume.
Elles aiment sans condition.
Elles pleurent pour la réussite de leurs enfants et sautent de joie quand il s'agit des victoires de leurs amis(es).
Elles sont heureuses lorsqu'elles apprennent une naissance ou un mariage.
Leurs coeurs se brisent lorsqu'elles perdent un ami(e).
Elles sont effondrées lors de la perte d'un membre de la famille et pourtant elles restent fortes même quand elles semblent au bout de leurs forces.
Elles savent qu'une étreinte et un baiser peuvent soulager un coeur brisé.
Les femmes arrivent dans toute les tailles, toutes les couleurs et toutes les formes.
Elles prendront leur voiture, l'avion, viendront en marchant ou en courant juste pour vous montrer qu'elles se soucient de vous.
Le coeur d'une femme, c'est ce qui fait tourner le monde.
Les femmes font beaucoup plus que mettre des enfants au monde :
Elles engendrent la joie et l'espoir.
Elles génèrent de la compassion et des idéaux.
Elles sont un soutien moral pour leur famille et leurs amis.
Les femmes ont beaucoup à dire et beaucoup à offrir.
Transmettez-le à vos amies pour leur rappeler combien elles sont épatantes.....
Et transmettez-le à vos amis pour leur rappeler à quel point ils sont entourés par des femmes épatantes.
Il a pris ses pinceaux
Sa palette et son cœur,
Et puis il s’est assis
Sous le toit des nuages
Poudrés, soyeux, ravis,
Joufflus, ou au contraire,
Au sourire pincé,
Au regard courroucé…
Alors, il a choisi
Ce qui leur convenait
Le mieux :
Rose d’aube givrée,
Tumulte au gris rageur,
Jouissance d’un blanc,
Posé comme on effleure
Les ailes des colombes…
Il les a regardés
D’un air très sérieux
Sans sourire,
Sans rien dire
De ses pensées à lui,
Et…
Le temps s’est suspendu Gravement, il a pris A pris tous les nuages, Sans raison apparente Le monde était si loin |
Lui, avec ses pinceaux, Lui, devant son tableau, Et l’espace initial, Mais que lui importait, Car il avait sept ans,
Kathy Ferré - |
La Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle.
Tous les invités y allèrent. Après le café, la Folie proposa :
- On joue à cache-cache ?
- Cache-cache ? C'est quoi, ça ? demanda la Curiosité.
- Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez.
Quand j'ai fini de compter je cherche, et le premier que je trouve sera le
prochain à compter.
Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse.
- 1, 2, 3 ... la Folie commença à compter.
L'Empressement se cacha le premier, n'importe où.
La Timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe d'arbre.
La Joie courut au milieu du jardin.
La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit
approprié pour se cacher.
L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher.
La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient.
Le Désespoir était désespéré en voyant que la Folie était déjà à
quatre-vingt-dix-neuf.
- CENT ! cria la Folie. Je vais commencer à chercher ...
La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher
de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert. En
regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus
d'une clôture ne sachant pas de quel côté il serait mieux caché.
Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité ...
Quand ils étaient tous réunis, la Curiosité demanda :
- Où est l'Amour ?
Personne ne l'avait vu. La Folie commença à le chercher. Elle chercha
au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais
elle ne trouvait pas l'Amour.
Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier, prit un bout de bois et
commença à chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri.
C'était l'Amour, qui criait parce qu'une épine lui avait crevé un oeil.
La Folie ne savait pas quoi faire. Elle s'excusa, implora l'Amour pour
avoir son pardon et alla jusqu'à lui promettre de le suivre pour toujours.
L'Amour accepta ses excuses.
Aujourd'hui, l'Amour est aveugle et la Folie l'accompagne toujours ...
J’étais dans l’ignorance du besoin de toi
J’étais dans l’ignorance du besoin de toi
Et quand il le fallut tu fus simplement là
A nouveau éveillé au désir à l’espoir
A mes matins tu donnes l’attente du soir
J’aime ces soirs que nous passons à converser
Ton visage qui saute et qui rit sans repos
Et tes yeux qui poursuivent l’envol de tes mains
Le film de tes histoires dans ton regard passe
Tu joues la comédie des vies que tu me narres
Comme une enfant lucide tu rages et pestes
Contre la beaufitude qui pourrit le monde
Aux humains tu préfères les chats de gouttières
Ces aristos des rues insolents et gracieux
Qui trouvent sous ta main le don de ta caresse.
Jacques ICHARD-MAURY
Il est un oiseau tout jaune avec des ailes noires avec des lignes blanches. Il est un oiseau chanteur, certains le nomment "serin sauvage".
Le chardonneret élégant est d'une couleur différente et vit en Europe.
Le chardonneret n'aime pas la forêt mais bien les buissons les arbres et les bosquets. C'est là qu'il fait son nid pendant l'été, quand les grains sont en phase de mûrir pour bien nourrir les petits, c'est à dire à la mi-juillet.
C'est la femelle qui construit le nid et y pond 4 à 6 oeufs. Elle couvera pendant 2 semaines et les deux parents s'occupent des petits qui déserteront le nid 2 semaines plus tard. Il n'y a qu'une seule couvée par saison.
Son nom vient du fait qu'il adore le chardon et son bec très pointu lui permet d'extraire les grains de cette plante. Il aime bien le tournesol et il mangera bien aussi des pucerons, des chenilles et autres insectes.
Quand l'hiver vient, le chardonneret perd son beau plumage jaune qui tourne au brunâtre. Il garde un peu de jaune sur la face. Il ne fait pas la migration et passe l'hiver ou il vit.
La durée de vie du chardonneret est de 6 à 8 ans.
Quand je serai fantôme je m’en viendrai la nuit
Surveiller ton sommeil. Auprès de notre lit
Je pourrai m’installer dans le large fauteuil
Ou simplement rester, debout, devant le seuil.
Quand je serai fantôme, je viendrai pour savoir
Si ton cœur est joyeux ou plein de désespoir;
Si tu m’as oublié ou si, toujours fidèle,
Tu refuses l’idée qu’un amant t’ensorcelle.
Quand je serai fantôme, je laisserai mes mains
Courir sur ton corps chaud tandis que toi, soudain,
Tu t’offriras ardente aux caresses lascives
T’imaginant la proie de pensées suggestives.
Quand je serai fantôme, je viendrai te parler
Mais tu reposeras sur ton grand oreiller
Et, pour ne pas troubler ton besoin de quiétude,
Je devrai m’efforcer de changer d’attitude.
Quand je serai fantôme je reviendrai le soir ;
Si dans l’obscurité tu parviens à me voir
Ne t’effraie surtout pas, profite de l’aubaine,
Car, quoique plus ici, tu sauras que je t’aime.
Jack Harris
Mon premier est un serpent;
Mon second couvre un toit;
Mon tout se trouve au fond d'un garage alsacien...
Réponse :
un python tuile (bidon d'huile, avec l'accent !).