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LA LORRAINE ET SON HISTOIRE

PHOTO DE LA LORRAINE

 

           Toul fut fortifiée par Vauban, puis intégrée dans le système de défense de la France face à l'Est aussi connu sous le nom de système Séré de Rivière, depuis la moitié du XIXe siècle. Assiégée, elle dut capituler devant les troupes prussiennes lors de l'invasion de 1870. Ce fut à nouveau le cas en 1940, où la ville, qui opposa une résistance acharnée à l'avance des troupes allemandes durant 5 jours, et ses monuments subirent des dégâts très importants. La restauration de ses monuments est lente en raison des coûts trop élevés pour être supportés par la seule ville elle-même. Cependant, depuis 2001, des efforts considérables sont entrepris avec l'aide de l'État et des collectivités régionales et départementales pour accélérer ce programme de restauration de la Ville et de la cathédrale en particulier.

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Jeanne d'Arc Publié le Samedi 29 Mars 2008 à 06:32:31

         Jeanne d'Arc est née à Domrémy, le 5 ou le 6 janvier 1412 et morte à Rouen le 30 mai 1431. Surnommée la Pucelle d'Orléans, elle est une figure emblématique de l'histoire de France. Elle mène victorieusement les troupes françaises contre les armées anglaises, levant le siège d'Orléans, conduisant le Dauphin Charles VII de France au sacre à Reims, contribuant ainsi à inverser le cours de la guerre de Cent ans. Elle est finalement capturée par les Bourguignons à Compiègne, vendue aux Anglais et mise au bûcher après un procès en hérésie. Entaché de nombreuses et graves irrégularités, ce procès est cassé par le pape Calixte III en 1456 et un second procès en réhabilitation conclut à son innocence et l'élève au rang de martyr. Elle est béatifiée en 1909 et canonisée en 1920. Elle est l'une des trois saintes patronnes de la France.Ses réponses lors de son procès, dont les minutes ont été précieusement conservées, révèlent une jeune femme dotée de courage, de franchise et d'un esprit de repartie saillant, ce qui explique sans doute comment elle a su galvaniser ses troupes.

Jeanne d'Arc est la fille de Jacques d'Arc et d'Isabelle Romée, un couple de paysans aisés de Domrémy en Lorraine.

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La bataille de Nancy Publié le Samedi 29 Mars 2008 à 06:29:09

          Le duc de Bourgogne, apprenant l'arrivée prochaine de l'armée de René II, prend position sur une éminence à proximité de Jarville. Malgré la défaite de Morat, où il avait été attaqué sur son flanc, il néglige la protection de son côté droit, qui est sur la lisère du bois de Saurupt.Le dimanche 5 janvier, avant l'aube, René II quitte Saint-Nicolas de Port, son armée avance dans la campagne lorraine recouverte de neige. A Laneuveville, des éclaireurs repèrent un guetteur bourguignon et le tuent. Désormais, le Téméraire ne sait rien de l'armée qui arrive. Les capitaines et René II, sur les rapports des éclaireurs décident de contourner l'armée bourguignonne par le bois de Saurupt pour l'attaquer de flanc et, pour donner le change, envoient un petit détachement, commandé par Vautrin Wisse, par la route de Nancy à Saint-Nicolas.L'effet de surprise est total et le sort de la bataille se joue en quelques minutes. Josse de Lalaing reçoit le premier assaut, est grièvement blessé et meurt. Jacques Galleotto, blessé, s'enfuit avec ses troupes le long de la Meurthe, la traverse au gué à Tomblaine et s'enfuit vers le nord.Charles le Téméraire tente de se tourner contre l'assaillant, mais le gros de ses troupes se disloque et s'enfuit. Campobasso tient le pont de Bouxières, au nord de Nancy, et massacre les fuyards, se contentant de ne faire prisonnier que les seigneurs importants, dont Olivier de la Marche. Les défenseurs de la ville font une sortie et pillent le camp bourguignon. (Robert VII d' Estouteville , prêvot et vicomte de Paris contribua avec la noblesse de Normandie à la libération de Nancy assiégée par Charles Le Téméraire  
         La découverte du corps du Téméraire

         Ce n'est que le lendemain, sur les indications de Baptiste Colonna, un page du duc de Bourgogne qui l'avait vu tomber à proximité de l'étang Saint-Jean, que celui-ci est retrouvé et identifié. Son corps est défiguré et à moitié dévoré par les loups. Il sera inhumé à la collégiale Saint-Georges. Une croix sera posée pour marquer le lieu de la mort du Téméraire, qui correspond à l'actuelle place de la Croix de Bourgogne. De même, devant le numéro 30 de la Grand-Rue à Nancy, une indication 1477 sur les pavés indiquent l'emplacement où le corps du Téméraire fut déposé avant son inhumationLouis XI avait signé en 1475 à Picquigny une trêve avec le roi d'Angleterre Edouard IV. Celui-ci, privé du soutien du duc de Bourgogne, se verra contraint de renoncer définitivement à ses ambitions en France.Dès l'annonce et la confirmation de la mort de Charles le Téméraire, Louis XI s'empare d'une partie des états bourguignons : duché et comté de Bourgogne, Picardie, Artois et Flandre, au détriment de Marie de Bourgogne, la fille du Téméraire. Celle-ci en appelle à son fiancé, Maximilien de Habsbourg, le fils de l'empereur Frédéric III, et récupérera en 1482 la Flandre, l'Artois et la Franche-Comté. Commencent alors plusieurs siècles de luttes entre les rois de France et les Habsbourg. Le fils de Maximilien et de Marie, Philippe le Beau, épousera l'héritière de l'Espagne, et sera le père de Charles Quint. Pendant deux siècles, le royaume de France sera entouré de possessions espagnoles : le long des Pyrénées au sud, la Franche-Comté à l'est et les Pays-Bas espagnols au nord
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             Louis Majorelle  était un ébéniste et décorateur français Art nouveau du mouvement de l'École de Nancy dont il fut également vice-président
Initié à l'Art nouveau par Émile Gallé dès 1894, Majorelle devint un des membres fondateur de l'École de Nancy, en février 1901, connu alternativement comme l'Alliance provinciale des industries d'art, représentant un groupe d'artistes, architectes, critiques d'art et industriels de la Lorraine qui décidèrent de travailler de manière collaborative avec une prédominance pour l'Art nouveau. Menés par Émile Gallé (jusqu'à sa mort en 1904 puis par Victor Prouvé), ils se sont regroupés pour différentes raisons, notamment pour s'assurer d'un haut niveau de qualité dans les Arts décoratifs dans la région où les principaux fabricants se trouvaient.
Majorelle était un des vice-présidents du groupe depuis sa fondation, le restant pendant toute la durée de l'École de Nancy et il était considéré comme un des meneurs. Pour une grande partie, lui et les autres membres se sont attachés à promouvoir le travail d'artistes décoratifs lorrains par la défense de la mise en place d'une école pour les arts industriels, leur participation aux salons importants (de même qu'en organisant les leurs) et par leurs efforts collaboratifs sur des éléments individuels et des bâtiments, pour la plupart au style Art Nouveau. Ils ont aussi facilité la réalisation d'une unité quant à l'art et l'architecture provenant des lorrains. Majorelle est sans conteste une des figures internationalement reconnues du groupe qui pouvait toujours être retrouvé sur les salons dans lesquels il exposait.

 

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Musée Lorrain à Nancy Publié le Samedi 29 Mars 2008 à 06:23:58

      Le Musée Lorrain présente l'histoire de la Lorraine depuis les premiers hommes, l'histoire de la Cour des Ducs dont le célèbre Stanislas Leszczy?ski, en passant évidemment par l'intégration du Duché de Lorraine à la France en 1766, les collections s'achèvent à l'Empire. Le parcours présente également les nombreux artistes qui ont contribués au rayonnement de la cour de Lorraine au cours des siècles : Ligier Richier, Georges de La Tour, Jacques Callot, Louis Cyfflé, Clodion, ainsi que les manufactures lorraines de faïences (Lunéville, Saint-Clément). Un portrait de François de Guise par Philippe de Champaigne y a été récemment identifié.

 

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Émile Gallé Publié le Samedi 29 Mars 2008 à 06:22:02

                Émile Gallé est né à Nancy le 4 mai 1846. Il mourut dans la même ville le 23 septembre 1904. Enfant de l'Art et du Commerce, il est l'une des figures les plus marquantes des arts appliqués à son époque et l'un des pionniers de l'Art nouveau. A la porte de son atelier de Nancy on pouvait lire cette très belle devise « Nos racines sont au fond des bois, parmi les mousses, entre les sources.
C'est fort improprement qu'on parle de l'oeuvre verrier d'Émile Gallé sous le nom de pâte de verre .La pâte de verre désigne une technique consistant à garnir un moule de verres colorés pilés et à amener le tout à une température voisine de la température de fusion pour souder les grains. On démoule ensuite.La pâte de verre est une matière bulleuse, selon la granulométrie du verre utilisé, qui prend à la lumière un aspect cireux, mat, transluscide ou ponceux, comme le montrent les ?uvres délicates de Charles Cros ou d'Argy Rousseau.Si Gallé connaissait cette technique, l'essentiel de sa production était soufflée, non pas en verre mais en cristal, c'est-à-dire avec adjonction de sels de plomb.À la paraison initiale de cristal, Gallé ajoutait des couches nouvelles colorées d'oxydes métalliques, des inclusions, avant de souffler la pièce de cristal, de la retravailler d'inclusions nouvelles, d'appliques, de feuille d'or ou d'argent.Au refroidissement, les différences de dilatation de ces couches étaient la cause d'accidents très fréquents, l'ouverture des fours révélant une casse impressionnante, qui faisaient la rareté des pièces réussies.Issues de la halle de cristallerie, les pièces étaient alors retravaillées par gravure, à la roue pour les plus précieuses, à l'acide fluorhydrique pour les plus courantes. On dégageait ainsi un décor en camée, le plus souvent floral, rencontre heureuse des hasards du soufflage et du savoir faire des taillandiers.

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La place royale de Nancy Publié le Samedi 29 Mars 2008 à 05:58:33

          Cette Place Royale fut construite entre 1751 et 1755 en l'honneur du roi de France par Stanislas Leszczyinski, ancien roi de Pologne et beau-père de Louis XV, qui reçut le Duché de Lorraine en 1737. Nommée Place Royale, cette place de belles proportions (106 × 124 m) recevra en 1831 son nom de Place Stanislas. L'architecte en est Emmanuel Héré. Elle est entourée de six grilles monumentales en ferronnerie rehaussées de feuilles d'or, signées par Jean Lamour. En son centre est située la statue en pied de Stanislas, en lieu et place de celle de Louis XV qui y a trôné de 1755 jusqu'à sa destruction lors de la Révolution française. La statue actuelle date de 1831 et fait suite à une souscription des départements de la Meuse, de la Meurthe et des Vosges.Les pavillons de la Place sont répartis ainsi :l'Hôtel de Ville (depuis son édification), le plus impressionnant des bâtiments ; les quatre grands pavillons : l'Hôtel de la Reine, le pavillon Jacquet, L'Opéra-Théâtre (ancien évêché) et le Musée des Beaux-Arts ; deux petits pavillons, moins hauts qui ouvrent la perspective, depuis l'Hôtel de Ville, sur l'Arc de triomphe et la Place de la Carrière.
             Bien plus qu'une simple Place Royale, elle est en fait au centre d'un plan d'urbanisme unique en Europe regroupant les grandes institutions de l'époque tout en faisant l'union entre la Ville-Vieille (médiévale) et la Ville-Neuve (transition XVIe-XVIIe siècles).Elle est inscrite depuis 1983 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, ainsi que les autres places de cet incroyable centre urbain, à savoir : la place de la Carrière et place d'Alliance Elle a été restaurée en 2004-2005, à l'occasion de son 250e anniversaire. Cette rénovation a inclu l'exclusion des voitures de la place et une remise à niveau du pavage. La rénovation donne lieu toute l'année à de nombreuses festivités : Nancy 2005, le temps des lumières.

 

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Le chateau de Luneville Publié le Vendredi 28 Mars 2008 à 20:55:59

        Quand Stanislas Leszczynski arrive à Lunéville, il a près de soixante ans et, derrière lui, un passé particulièrement mouvementé. Son "parachutage" est peu apprécié des Lorrains et moins encore des Lunévillois, car il entraîne le départ de la duchesse Elisabeth-Charlotte qui vient, durant sept ans, d'assumer, au château de Lunéville, un régence sage et appréciée

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Jacques Grüber, artiste plastique et maître verrier Publié le Vendredi 28 Mars 2008 à 20:53:40

 

       Jacques Grüber, artiste plastique et maître verrier, est né le 25 janvier 1870 à Sundhouse et mort le 15 décembre 1936 à Paris.Après avoir commencé son parcours artistique à l'École des Beaux-Arts de Nancy, c'est une bourse de la ville de Nancy qui lui permet de suivre les cours de Gustave Moreau, à Paris.Il revient à Nancy en 1893 où il enseigne à l'École des Beaux-Arts avant de réaliser des décorations de vases pour Daum, des meubles pour Majorelle et des couvertures de livres pour René Wiener.Il monte son propre atelier en 1897 et se spécialise rapidement dans le verre et le vitrail.Il s'intéresse à toutes les techniques des arts décoratifs avant de se consacrer au vitrail vers 1900. Il fut, en 1901, l'un des fondateurs de l'École de Nancy en appartenant au comité directeur. Aujourd'hui il est considéré comme le maître-verrier le plus prolifique en vitraux de style École de Nancy tels que : les vitraux de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Nancy, la Villa Majorelle ou une partie de ceux de la Villa Bergeret. On lui doit également la verrière des Galeries Lafayette de Paris.

En 1914, il s'installe à Paris.Il participera à la décoration du paquebot transatlantique Île de France, pour lequel il fut chargé de l'éclairage.

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Château de Lunèville petit Versailles Lorrain Publié le Vendredi 28 Mars 2008 à 20:35:21

  

    Le 23 février 1766, Stanislas Leszczynski meurt dans des conditions atroces, suite aux brûlures qui lui sont advenues lors d'une chute près de sa cheminée, dans son château de Lunéville. Il a 87 ans.Stanislas Leszczynski fut un éphémère roi de Pologne avant d'avoir la chance de marier sa fille Marie au roi Louis XV et d'obtenir en viager les duchés de Lorraine et de Bar. Conformément aux conventions fixées avec les gouvernements de France et d'Autriche, sa mort entraîne le rattachement définitif des duchés à la France, à la satisfaction du ministre de Louis XV, le duc Étienne de Choiseul. Une terre disputée La Lorraine,

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