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LA LORRAINE ET SON HISTOIRE

PHOTO DE LA LORRAINE

Lucien Weissenburger Publié le Jeudi 12 Juin 2008 à 11:21:04

 

      Lucien Weissenburger (Nancy, 2 mai 1860 – Nancy, 24 février 1929), était un architecte français. Il était un des principaux architectes à travailler dans le style de l'art nouveau en Lorraine et un membre et directeur de l'École de Nancy et est célèbre notamment pour l'élaboration de la Villa Majorelle

Quelques-uns des principaux bâtiments réalisés par Weissenburger

  • Les Magasins Réunis (1890-1907; détruits), Nancy
  • villa Jika, aussi connue la Villa Majorelle (1898-1902, en collaboration avec Henri Sauvage), Nancy
  • Imprimerie Royer (1899-1900), Nancy
  • Maison Bergeret (1903-4), Nancy
  • Villa Corbin (1904-9), Nancy (actuellement les fondations du Musée de l'École de Nancy)
  • Immeuble Weissenburger (1904-6), Nancy
  • Villa Henri-Emmanuel Lang (1906), Nancy
  • Maison Chardot (1907), Nancy
  • Théâtre de Lunéville (1908)
  • Exposition Internationale de l'Est de la France (1909), Nancy :
  • Maison des Magasins Réunis
  • Pavillon du Gaz
  • Brasserie l'Excelsior et l'Hôtel Angleterre (1911), Nancy
  • Magasins Vaxelaire, Pignot, et Cie (1913), Nancy

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                               http://picasaweb.google.fr/chaligny/LucienWeissenburger

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L'imagerie d'EPINAL Publié le Jeudi 29 Mai 2008 à 23:05:06

 

                                                      

 

        Unique au monde, l'Imagerie d'Epinal vous invite, au cœur des Vosges, à découvrir la merveilleuse histoire de ses 2 siècles. En 1796, Jean Charles Pellerin crée l'imagerie telle que nous la connaissons aujourd'hui. L'image est gravée dans une planche de bois. L'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras, dite Gutenberg. Puis intervient le coloriste. Au moyen de pochoirs, il applique avec des brosses rondes les différentes couleurs nécessaires à la finition de l'ouvrage. Diversifiant et modernisant sa production, l'Imagerie d'Epinal se transforme. Au tableau unique succède la planche composée d'une histoire, de dessins, de chansons. Sous le Premier Empire, l'Imagerie célèbre l'Empereur, sa famille, ses armées, ses victoires : des images qui orneront des millions de foyers.
Vers 1860, la lithographie apparaît ; elle offre de plus larges possibilités à l'artiste. A l'aube de la Belle Epoque, l'Imagerie fait appel à des dessinateurs de renom. L'imagerie enfantine rajeunit avec Benjamin Rabier, Job, Galco...Aujourd'hui, elle continue à fabriquer des Images comme autrefois.
     Sept artistes différents et complémentaires créent les Images nouvelles sur des thèmes aussi variés que le " Piano ", " l'Equipe de France, championne du Monde de Football " ou encore " Cyrano de Bergerac ".
L'Imagerie d'Epinal est également un Musée des Techniques anciennes qui accueillent plus de 200 000 visiteurs par an afin de leur faire découvrir le monde merveilleux des Images et ses secrets.         

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La mirabelle de Lorraine Publié le Mercredi 28 Mai 2008 à 22:34:51

  

 

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   La Lorraine propose aussi des mets délicats, en particulier des desserts. Impossible de passer à côté du fruit dont les arbres fleurissent la région, le printemps venu : la mirabelle est ici dans son royaume, on en produit la plus grande quantité au monde. Elle est parmi les rares fruits français à avoir obtenu une IGP (indication géographique protégée). Dans l'assiette, on la décline sous toutes les formes : nature, en pâtisseries (tartes), en conserverie (confiture, sorbets) et même pour accompagner les plats salés (foie gras, crevettes). À Metz, elle est fêtée chaque mois d'août pendant une semaine. Autres fruits appréciés : les myrtilles vosgiennes (dites " brimbelles ", si vous ne voulez pas passer pour un amateur), ou le bluet. Les cuisiniers lorrains ont inventé de célèbres pâtisseries : la madeleine, le baba, introduit par Stanislas, les macarons, les dragées, les chardons à la liqueur, les bergamotes... Et n'oublions pas le fameux miel des Vosges, ni les bonbons qui en sont dérivés !

 

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Majorelle devient membres fondateur de l'ecole de Nancy Publié le Mercredi 28 Mai 2008 à 22:16:59

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      Initié à l'art nouveau par Émile Gallé dès 1894, Majorelle devient un des membres fondateur de l'École de Nancy, en février 1901, connu alternativement comme l'Alliance provinciale des industries d'art, représentant un groupe d'artistes, architectes, critiques d'art et industriels de la Lorraine qui décidèrent de travailler de manière collaborative avec un prédominance pour l'art nouveau. Menés par Émile Gallé (jusqu'à sa mort en 1904 puis par Victor Prouvé), ils se sont regroupés pour différentes raisons, notamment pour s'assurer d'un haut niveau de qualité dans les Arts décoratifs dans la région où les principaux fabricants se trouvaient. Majorelle était un des vice-présidents du groupe depuis sa fondation, le restant pendant toute la durée de l'École de Nancy et il était considéré comme un des meneurs. Pour une grande patrie, lui et les autres membres se sont attaché à promouvoir le travail d'artistes décoratifs lorrains par la défense de la mise en place d'une école pour les arts industriels, leur participation aux salons importants (de même qu'en organisant les leurs) et par leurs efforts collaboratifs sur des éléments individuels et des bâtiments, pour la plupart, au style Art Nouveau. Ils ont aussi facilité la réalisation d'une unité quant à l'art et l'architecture provenant des lorrains. Majorelle sans conteste une des figures internationalement reconnue du groupe qui pouvait toujours être retrouvé sur les salons dans lesquels il exposait. Ses connexions avec les cercles d'art parisiens ont aussi permis d'assurer le renom des artistes lorrains dans la capitale française. Néanmoins, l'École de Nancy était souvent à court d'argent et la coopération artistique formelle parmi ses membre s'est lentement désintégrée pendant la Première Guerre mondiale

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La Lorraine était la première région brassicole de France Publié le Mercredi 28 Mai 2008 à 21:47:47

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                                  Vous trouverez sur mon site d'autres articles

 

           La Lorraine était au début du XXe siècle la première région brassicole de France. On dit qu'en 641, Saint-Arnould multiplia les chopes de bière à Champigneulles, et qu'il devint par ce prodige le patron des brasseurs. Plus prosaïquement, c'est à Tantonville, à la brasserie Tourtel, que le bon pasteur redonna santé au peuple en inventant les procédés modernes de fabrication de la bière. De grands noms résonnent encore à nos oreilles, comme la Meuse ou Amos, mais la production lorraine ne survit plus aujourd'hui que dans quelques musées ou brasseries artisanales. À Champigneulles, on produit toujours de la bière pour Kronenbourg, et Stenay abrite le musée européen de la bière, qui s'enorgueillit d'être le plus grand au monde.


 

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Fontaine Neptune NANCY Publié le Mercredi 28 Mai 2008 à 21:45:55

 

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                                D'autres  photos de la place Stanislas sur   www.monginot.com

 

         Entre la place Stanislas, l'Arc de Triomphe et la Pépinière, et jusqu'à la rue Sigisbert Adam Cette terrasse, au tracé très irrégulier, est d'abord une place située entre l'Arc de Triomphe, la fontaine d'Amphitrite et le parking Vaudémont. Elle sert à la fois d'esplanade au Palais de Justice et d'accès au parking et à la Pépinière. Elle s'allonge ensuite en terrasse proprement dite sur tout le côté Ouest de la Pépinière. Un passage, à droite de la grille d'entrée du parc, donne accès à quelques propriétés privées, dites Villas de la Pépinière. L'histoire de cet « ensemble » est des plus complexes. Deux parties distinctes peuvent être dégagées : 1) La terrasse : elle est constituée par le sommet du talus qui fut créé de 1847 à 1870 pour relier l'ancien chemin de ronde des remparts (transformé en promenade au XVIII° siècle) à la Pépinière. A cet emplacement, en effet, se trouvaient jadis les fortifications de Nancy (bastions de Vaudémont et des Dames). Le talus fut formé par les remblais provenant de démolitions diverses (dont celle des remparts). La terrasse actuelle aboutissait jadis, au Nord, à un bel hémicycle, ou fer à cheval, dit Manège des Pages (ou Cour des Pages), créé en 1770-1775 et démoli lors du percement de la rue Grandville (1875-1879). 2) La place : elle n'existe que depuis 1870-1871. A son emplacement se trouvait auparavant la Prison de la Conciergerie, construite en 1756. Cette prison fermait la rue des Écuries.

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TOUL ville fortifiée par Vauban Publié le Mercredi 28 Mai 2008 à 21:25:03

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                                       D'autres articles sur   www.monginot.com

               

          Toul fut fondée sur un site d'habitat préhistorique ancien par la tribu gauloise des Leuques, qui ne sont cités qu'une seule fois dans la Guerre des Gaules. Ils avaient pour voisins les Médiomatriques, les Lingons et les Séquanes. Les Leuques ainsi que les Séquanes et les Lingons fournirent du blé à Jules César lorsque l'armée romaine s'arrêta à Vesontio (Besançon) pour se ravitailler avant d'affronter les Germains d'Arioviste (58 av. J.-C.). (César, De Bello Gallico, I, 40).

     Toul est occupée par les Romains jusqu'à l'arrivée des Francs. La ville, qui portait à l'époque gallo-romaine le nom de Tullum Leucorum, devint le siège d'un évêché au IVe siècle et fut gouvernée par ses évêques à partir du Xe siècle. Ville libre du Saint Empire romain germanique et connue sous le nom de Tull, elle fut occupée par Henri II en 1552 avec le reste du territoire dit des Trois-Évêchés et annexée officiellement à la France, en vertu des traités de Westphalie (1648). Le Duché de Lorraine étant intégré à la France en 1766, l'évêché de Toul fut transféré à Nancy en 1777 afin de créer l'évêché de Nancy-Toul.

     Toul fut fortifiée par Vauban, puis intégrée dans le système de défense de la France face à l'Est aussi connu sous le nom de système Séré de Rivière, depuis la moitié du XIXe siècle. Assiégée, elle dut capituler devant les troupes prussiennes lors de l'invasion de 1870. Ce fut à nouveau le cas en 1940, où la ville, qui opposa une résistance acharnée à l'avance des troupes allemandes durant 5 jours, et ses monuments subirent des dégâts très importants. La restauration de ses monuments est lente en raison des coûts trop élevés pour être supportés par la seule ville elle-même. Cependant, depuis 2001, des efforts considérables sont entrepris avec l'aide de l'État et des collectivités régionales et départementales pour accélérer ce programme de restauration de la Ville et de la cathédrale en particulier.

 

                            

 

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Carte postale ancienne de Nancy Publié le Mardi 27 Mai 2008 à 08:44:35

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         De la Grande Rue à la rue du Duc Antoine Le tracé originel de cette rue - une des plus anciennes et des plus importantes de la Ville-Vieille - n'est plus guère visible aujourd'hui, depuis les opérations de restructuration du quartier Saint-Epvre au siècle dernier. Cette rue (ainsi que la rue de la Charité qui la prolongeait) suit le tracé des premiers remparts de Nancy -d'où le demi-cercle que formaient jadis les deux rues. Elles devinrent rues toutes les deux lors d'une première extension de la ville, au XII' siècle. Elles se rejoignaient alors sur la halle (place Malval). Le long de cette rue, fut construite la première chapelle Saint-Epvre, au début du XII' siècle (devenue église en 1145). Cette église fut remplacée par une autre, plus grande, et orientée Est-Ouest, en 1451. Au XIX° siècle, de 1863 à 1871, sous l'impulsion de l'abbé Trouillet, un gigantesque remodelage du quartier eut lieu : voir place Joseph Malval. La partie Nord de la rue du Maure qui Trompe fut entièrement démolie. Sur son emplacement fut construite la nouvelle et actuelle église Saint-Epvre, orientée Nord-Sud. Seules furent conservées les maisons côté Est. Ce tronçon de la rue primitive est aujourd'hui la rue Pierre Gringoire. La rue du Maure qui Trompe fut jadis importante, comme en témoignent les édifices qui s'y trouvèrent : le premier hôpital de Nancy fondé en 1335, l'hôpital Saint-Julien, transféré plus tard à la Ville Neuve (voir Grande Rue) ; la Grande Ecole (fondée en 1576) ; le premier Hôtel de Ville de Nancy (à l'emplacement du n° 41). Anciens noms : rue derrière Saint-Epvre, rue du Maure qui Trompe (ou par déformation Mort) dès le XVIII° siècle. A la Révolution : rue du Maximum, ou des Bons Enfants. Dénomination ancienne confirmée en 1830. Le nom de cette rue vient d'une hôtellerie qui y était installée et qui avait pour enseigne un Maure soufflant dans une trompe.

 

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JEAN LAMOUR ferronier a Nancy Publié le Dimanche 6 Avril 2008 à 13:23:01

                L'allégorie de la guerre et de la paix, se retrouve dans la décoration des fameux portiques en ferronnerie de Jean Lamour. Ces portiques (triomphaux) prévus dès les premières ébauches de la place Royale relient les basses faces aux pavillons qui bordent la place.Les ferronneries encadrant les fontaines se détachent devant des frondaisons, constituant une des originalités de la place Royale.Stanislas a t'il suggéré l'implantation de ces portiques, s'inspirant de Versailles ? Une création du parc de Versailles en l'honneur du Roi-Soleil datant de 1678-1679 comprenait un arc de triomphe en fer doré à l'huile de Delobel (détruit à la fin du règne de Louis XV) et de trois portiques abritant des fontaines et des statuts de Tuby et Coysevox qui subsiste encore aujourd'hui.L'utilisation de ferronneries pour relier les pavillons aux angles de la place et masquer les remparts, était un  moyen commode et souple qui pouvait résoudre le difficile problème posé par le maintien des fortifications et des fossés. L'utilisation du fer battu, fer aminci au marteau, permettait d'harmonieuses combinaisons.Au XVIIIème siècle ce type de structures, imitant l'architecture, furent dressés à l'intérieur d'édifices.

Les fameuses grilles de l'église Saint-Ouen de Rouen sont caractéristiques du genre

 

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Le chateau d'Haroué au milieur des vergers Publié le Samedi 29 Mars 2008 à 17:59:44

 

    Le prince de Beauvau, habitué aux fastes de la cour royale,avait préféré le calme et la douceur d'Haroué. Il y fit édifier un palais au milieu des vergers

                              http://picasaweb.google.fr/chaligny/CHATEAUDEHAROUE

 

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