Comme vous le savez la pâtisserie et moi ça fait deux, donc peu de douceur dans ce blog de miam inommable et peu ragoûtant.
Aujourd'hui je vous présente une tarte tropézienne, tarte des stars dans les années 60 et dessert n°1 des petites gens de st Tropez par la suite. Maintenant la vraie tarte de Micka est vendu assez chère, et en plus le goût n'est plus le même, le goût de celui de mon adolescente
Place donc à la tropéziennede notre amie "Aigue Marine" Clic....
Je suis dans l'obligation de mettre mon blog en pause
pour une durée indéterminée... Mon ami Lucien n'a pas réussi à remettre mon ordi
en état... Il partira donc en réparation. Mais je viendrai vous rendre visite à partir
d'un autre ordinateur et répondrai à vos messages régulièrement.
Merci à tous pour votre gentillesse. Je vous embrasse tous et toutes très fort.
Merci Lucien.
Depuis toujours j'essaie toutes les recettes de tartes tropéziennes
Le problème est cette fameuse crème... Je crois que j'ai trouvé celle qui
se rapproche le plus de la véritable qui me laisse un souvenir nostalgique
de goût du Sud...
cliquez sur la tarte pour accéder à la recette complète
En direct de chez Aigue marine
Un peu d'histoire.
Une grande fête avait lieu au début du printemps pour célébrer et honorer Easter ou Oster , une déesse saxonne de la résurrection (mythologie germanique). La croix dessinée sur les « hot cross bun » est une signature de l’église pour contrer cette fête païenne Anglo-Saxone ancestrale.
Ces petits pains briochés, servis en l’honneur de cette déesse avaient une forme phallique. Ils sont devenus ronds avec une croix, lorsque cette fête a été identifiée par l’église, pour en effacer l’origine païenne.
La déesse Eastre ou Eostre pour les Anglo-Saxon, est d'ailleurs à l’origine de l’appellation anglaise de Pâques : Easter.
La religion principale au Royaume-Uni est le christianisme.
La reine d'Angleterre est de facto chef de l'Eglise anglicane. Le primat est l'archevêque de Canterburry, ne jouissant que d'une primauté d'honneur.
L'anglicanisme est une confession du christianisme dont l'origine remonte au XVIème siècle, lorsque le roi d'Angleterre Henri VIII rompit avec le pape et Rome. Cette branche du christianisme est aujourd'hui présente principalement dans les pays qui ont pu être imprégnés par la culture anglaise ; outre l'Angleterre, il s'agit notamment des anciennes colonies britanniques en Amérique et en Afrique.L'anglicanisme, qui est une forme de christianisme issu du catholicisme, mais se rapprochant par bien des cotés du protestantisme.Les Églises anglicanes ont une structure épiscopale. Elles se disent à la fois catholiques et réformées.
Une recette anglaise, puisqu'ils sont mes voisins ! Ou presque...
De délicieuses brioches agréablement parfumées !
Je mettrai d'autres recettes avant Pâques !
Petits pains briochés anglais de Pâques « Hot Cross Buns »
Pour une quinzaine de brioches
- 530 g de farine
- 3 oeufs
- 70 g de beurre mou
- 19 cl de lait
- 10 g de levure fraîche de boulangerie
- 1/2 C à S de sucre en poudre
- 50 g de cassonade (ou sucre roux)
- 1C à S de cannelle
- 2 pincées de clou de girofle en poudre (1 clou de girofle réduit en poudre au mortier)
- 2 pincées de poivre de Jamaïque* (Je n'en ai pas mis...)
- 1/4 de C à C de muscade
- 1/2 C à C de sel
- 70 g de fruits confits
- 1 zeste d'orange
- 30 g de raisins secs
Dorure :
- 1 œuf battu
Glaçage :
50 g de sucre glace,quelques gouttes de jus de citron, un peu de blanc d'oeuf
Faire tiédir le lait, incorporer la levure et la demi cuillère à soupe de sucre, bien mélanger. Réserver, une dizaine de minute, le temps que la levure agisse.
A l’aide d’un robot ménager ou d’un batteur électrique, fouetter le sucre, la farine, les épices et le sel.
Ajouter la levure (lorsqu’elle mousse) à la préparation précédente et bien fouetter.
Incorporer les trois œufs un à un, sans cesser de remuer. Ajouter petit à petit le beurre. Pétrir la pâte environ 5 mn, elle est alors lisse et élastique.
Placer la boule de pâte sur une surface farinée, incorporer les fruits secs et confits tout en pétrissant.
Déposer la pâte à brioche dans un saladier légèrement huilé, retournez la pour l’enduire
légèrement de graisse et recouvrir d’un torchon propre. Laisser gonfler dans un lieu tempéré à chaud pendant 2 heures.
La pâte doit alors avoir doublé de taille. Diviser la pâte en une dizaine de petites boules.
Déposer les sur une plaque à pâtisserie recouverte de papier sulfurisé ou siliconée, en veillant à bien les espacer. Badigeonner les petites brioches avec l’œuf battu. Recouvrir d’un linge propre et laisser monter dans un lieu chaud environ 45 mn.
Préchauffer le four à 200 °C, badigeonner les petits bains briochés de nouveau, vérifier la cuisson à l’aide d’un couteau. Placer sur une grille à pâtisserie et laisser refroidir.
Glaçage
Mélanger le sucre glace avec quelques gouttes de jus de citron et du blanc d'oeuf.
*** Le poivre de Jamaïque
Contrairement aux croyances populaires, ce n'est absolument pas un poivre mais une simple épice.
Le poivre de Jamaïque est souvent appelé toute-épice, car sa saveur rappelle à la fois la cannelle, le girofle, le poivre et la muscade.
Il peut donc être un substitut au mélange quatre épices.
On n’a jamais vraiment pu remonter jusqu’à l’origine de l’utilisation du piment de Jamaïque. Cependant, on sait que les Aztèques employaient déjà le piment de Jamaïque pour parfumer le chocolat.
De Sereno Bruno
Où es tu mon village
je ne te reconnais plus mon village
ou sont passe les 6 boulangers qui au petit matin sortaient de leur
fournil pour s’aérer de leur chaude nuit et d’ ou l’ on sentait la
bonne odeur de pain chaud cuit au feu de bois avec les rameaux de
nos collines qui vous ouvrait les papilles
ou sont passes les 8 épiceries ou nous allions chaparder des bonbons
sous l œil de la patronne qui le ferme a moitie ou le vendredi jour
de carême dans de grande bassines trempait la morue dessalée
prête a cuire la vrai morue bien épaisse et non celle d’aujourd'hui a
laquelle Findus a voté les filets ou le café se vendait en vrac et que
le gros moulin a main vous mouline a la demande ou l épicière achetait
le thon a l huile en boite deux ans a l’ avance pour qu’ il se bonifie
contrairement a nos dates limites actuelles ou les bouteilles toutes
en verre étaient consignées ou les pâtes étaient vendues en vrac et
les fromages a la coupe
ou sont nos cinq bouchers charcutiers qui vendaient la bonne viande
de boeuf qu’ils abattaient eux même a l’abattoir municipal et fabriquant
dans leurs laboratoires saucisson saucisses chipolatas caillettes
boudins et andouillettes et ou nous allions acheter un bon gros
morceaux de vantresque (poitrine de cochon)que maman mettait dans la
soupe de légumes qui mijotait sur le potager(foyer sur grilles au charbon de
bois)ou sur la cuisinière et que nous mangions avec des pommes de
terre et de la moutarde cette chair provenait de cochons élevés au
grain patates légumes etc.… un rôti de 1 kilo restait de 1 kilo après
cuisson aujourd’hui une fois cuit il semble avoir rétréci au lavage
cela me fait penser aux bugadieres( femmes dont la profession était de laver pour
autrui le linge a la main avec savon de Marseille le vrai et battoir au lavoir municipal ,dur
labeur)
que sont devenus nos cordonniers nos marchands de chaussures nos
bijoutiers nos magasins de souvenirs notre armurier qui ajustait
nos fusils a la main nos merceries drogueries ou l on trouvait tout
ce que l’on voulait des simples clous a la bassine en zinc les boutons
de culottes a la pelote de ficelle
ou sont le photographe , le rémouleur , le vannier qui outre les
paniers et les habillages de bonbonnes fabriquait aussi des canisses
pour abriter du vent les plantations de violettes nombreuses dans la
vallée
mon village ou sous chaque génoise des maisons portait un nid
d’hirondelles ou les soirs d été devant chaque porte les gens
prenaient le frais’’(comme l’on disait)pas gêné par les voitures et les
charrettes des paysans étant remisées les potins et les nouvelles
qui se mélangées allaient bon train tandis qu’autour des lampadaires
les chauves souris prenaient leur casse croûte le silence de la nuit
était seul trouble par le huhulement d une chouette perchée dans un
grand arbre voisin
ou est le chemin de mon école ou tout le monde venait a pied pour
revêtir en entrant dans le préau qui servait de vestiaire nos blouses
grises toutes identiques symbolisant l égalité et préservant nos
vêtements des taches d encre produites par nos « plumes sergent
major » trempées dans les en encriers en porcelaine incorpores dans
nos bureaux a deux places en bois de platane pour la robustesse,
alors commençait la classe dans les primaires par un cours de
morale ou de civisme que prodiguaient des instituteurs que tout le
monde respectait et qui se respectaient eux même par une apparence
¨physique impeccable
l hiver sur le chemin ce trouvait un bouilleur de cru ambulant qui
distillait après les vendanges dans son gros alambic en cuivre rouge
le marc de raisin pour en faire une délicieuse eau de vie nous nous
arrêtions pour réchauffer nos mains au feu de bois qui l alimentait
et surtout pour quémander une goutte de ce breuvage interdit aux
enfants il arrivait que quelquefois il cédait a notre demande, en nous
faisant promettre de ne le dire a personne
ou es-tu mon village aujourd'hui colonise par les voitures ou les
gens ne se connaissent plus entre eux ou chacun vit égoïstement s
enfermant chez soi devant la télévision sans ce préoccuper si le voisin
est vivant ou mort
heureusement notre jeunesse est de plus en plus sportive ce qui
est un grand bien en leur ouvrant les chemins de la solidarité et
du respect de soi même le drame ait cette drogue qui nous a été
importée des pays du sud qui fait de plus en plus de ravage sur leur
santé et dont la dépendance pousse certain jusqu ‘au crime pourquoi
avoir décourager et même interdit l’ apprentissage (en rendant l’école
obligatoire jusqu ‘a 16 ans) qui avait permis a tant de génération de prendre
conscience de leur valeur
modernité
s il est vrai que cet ordinateur sur lequel je tape ce billet est un
engin superbe mais je me pose la question de savoir si entoure de
machines de plus en plus performantes qui commande a l’autre qui
devient son esclave « l’ homme ou la machine »
certes je regrette mon village d antan car il représente ma jeunesse
et ma vie mais la ou je suis furieux envers ceux qui nous dirige et qui
se disent écologistes de l’incurie devant l’extinction de toutes nos
espèces sauvages
l hirondelle , les pinsons, les rouges gorges ,les alouettes, les
serins, les verdales de nos oliviers, la grive ,les merles, les
chouettes ,la perdrix rouge, et maintenant même les étourneaux au
prétexte qu’ils pillent les cultures se céréales(anecdote , il y a quelques
temps déjà , ma femme qui étendais son linge dans le jardin ,m’appela « Bruno viens voir »,
j’approchais et vit sur une branche d’olivier un pinson qui battait furieusement des ailes, puis
il tomba raide mort ;intrigue je pris des ciseaux et ouvrit son estomac , nous étions au début
du printemps époque des semailles ,celui-ci contenait des belles semences «Monsanto» de
couleur rouge n c'est-a-dire empoisonnes
les abeilles, les araignées, les lézards de muraille ,le lézard vert,
et si ça continu même les cigales en causes tous ces pesticides qui
plus est sont en vente libre dans toutes les jardineries et ou le
brave retraite ou les autres qui ont 4 pucerons sur leur rosiers
déversent a profusion ces produits qui empoisonnent aussi bien le
sol que l eau pour preuve dans les sols on ne trouve plus de vers
de terre et même les escargots qui se reproduisent par leurs œufs
enfouie sous terre un autre qui a un olivier pour empêcher la mouche
de l olivier emploi 100 fois la valeur nécessaire croyant bien faire
nos rivières c’ est désastreux fini les ablettes’ les barbeaux , les
tanches, les gardons, les anguilles, les truites arc en ciel ,sauvages,
subsiste encore quelques chevennes et des truites d élevages sitôt
lâchées sitôt prises si vous doutez venez a Sollies pont ou le gapeau
traverse le village et regardez du haut des trois ponts ce qu il en ait
la mer
dois je parler des criques de Porquerolles île que je fréquente en
bateau depuis plus de 30 ans avant il était impossible de marcher dans
les algues sans sortir avec des dizaines d’épines d’oursins plus de
soucis ils ont disparus lorsque l’on prenait le masque on se serait
cru aux Antilles algues vertes poissons multicolores castagnoles
rouge petits alevins par milliers sars bogues ravelles poulpe a
chaque rocher sarans girelles chapons en planque etc ……… aujourd'hui
hui tu prends le masque et appercois des algues malades et le fond
tapisse d une mousse jaunâtre que je soupçonne être les nitrates
de nos lessive et autres allégrement déverses même plus les
grands bancs de saupes qui fréquentaient les bords . fini les moules
sauvages que nous ouvrions cuites pour l apero
a chaque pêche de nuit en ces temps la nous revenions avec 10 kilos
de poissons (ça c’était avant) aujourd'hui plus rien nous avons abandonne
cette les pécheurs professionnels du moins ceux qui reste ne sont
pas mieux lotis
a mon avis les causes sont 1° les 10000 touristes fréquentant l été l
île sans aucune station épuration digne de ce nom y soit installée
2° jusqu en 1950 le draguage et pose de filets était interdit a ¨partir
du saranier sur toute la longueur de la partie est sud est de l île
les anciennes cartes marines en font nettement mention par un
trait rouge bien établi a partir de 1951 cette interdiction fut levée
je me souviens que les professionnels a chaque levée ramenaient
jusqu a 80 kilo de chapons et autant de sars partant de la 20 ou 30
chalutiers sillonnent nuit et jour la baie de Hyères ramenant sans
distinction des milliers d alevins qui finissaient soit en soupe soit
directement a la mer ceci pendant des années la reproduction ne fut
plus assurée sachant que la baie était connue de tous temps pour un
lieu important d alevinage
je me suis laisse dire que cela était voulu en effet les politiques ont
toujours déclarer vouloir faire de la baie de Hyères le plus grand
centre européen de voile cela était incompatible avec tous ces
pécheurs impossible leur dire de partir donc il fallait les laisser se
détruirent eux-mêmes pour cela pêche a outrance jusqu a disparition
du poisson ils semblerait qu ils ont réussi
ça c’est maintenant
Elle est fameuse, foi de connaisseur
C'est en fait un gâteau en pâte briochée recouverte de sucre et parfumée
à la fleur d'oranger et fourrée avec une sorte de crème mousseline... Une
recette inimitable parait-il...
La brioche, ingrédients :
- 300 g de farine
- 20 g de levure fraiche de boulanger
- 75 g de sucre
- 3 oeufs battus en omelette
- 120 g de beurre mou
- 10 cl de lait tiède
- Fleur d'oranger
- 1 pincée de sel
- Sucre en grains (perles)
Délayer la levure dans le lait tiède
Dans le bol du robot mettre la farine, les oeufs battus, de la fleur d'oranger,
le sucre, le sel, le mélange lait + levure. Bien mélanger, ajouter le beurre et battre jusqu'à ce que la pâte se détache des parois. Saupoudrer de farine, couvrir
d'un linge et laisser lever dans un endroit tiède, 1 heure au minimum.
Reprendre la pâte et bien la malaxer pour faire retomber la pâte.
Etaler en un cercle d'environ 2 à 3 cm d'épaisseur. Laisser lever à nouveau pendant
encore environ une heure. Préchauffer le four à 170°. Dorer le cercle de pâte
avec un oeuf battu, y mettre du sucre en grains. Puis faire cuire dans le four
environ 20 mn. Laisser refroidir avant de couper le gâteau longitudinalement.
Pour la crème, ingrédients :
- 500 g de lait
- 1 gousse de vanille
- 200 g de sucre
- 2 oeufs + 1 jaune
- 75 g de farine
- 200 g de beurre
Chauffer le lait avec la gousse de vanille coupée en deux. Laisser infuser 10 mn
environ. Dans le bol du robot battre les oeufs et le jaune avec le sucre
jusqu'au blanchiment, ajouter la farine, battre à nouveau, ajouter le lait
battre pour bien mélanger le tout. Remettre dans la casserole et cuire
cette crème pâtissière en remuant continuellement. La laisser refroidir complètement.
Battre le beurre pendant environ 10 mn et ajouter enfin la crème pâtissière
une cuillerée à la fois et toujours bien battre entre chaque cuillerée afin
d'obtenir une crème légère, onctueuse et qui a de la tenue.
Fourrer la pâte briochée de cette crème et laisser bien refroidir
avant de la découper. Au réfrigérateur c'est idéal je pense.
Je n'avais plus assez de grains de sucre, j'ai ajouté du sucre glace.
Les deux Somaliens acquittés en juin pour la prise d'otages du Ponant ont obtenu chacun 90.000 euros d'indemnisation au titre du "préjudice moral" subi durant leurs quatre années de détention, a-t-on appris mardi auprès de leurs avocats, qui ont décidé de faire appel.
Le premier président de la cour d'appel de Paris a accordé lundi 90.000 euros à chacun des deux hommes au titre de leur "préjudice moral, alors qu'on réclamait 450.000 euros", a annoncé l'un de leurs avocats, Me Augustin d'Olonne.
"Ils ont passé quatre ans et deux mois en prison. Cela fait donc 59 euros par jour de détention", a protesté une autre de leurs conseils, Me Rachel Lindon.
Un an pour la décision d'appel
A cette somme s'ajoutent 3.000 euros pour Abdulqader Guled Said, 32 ans, et 5.000 euros pour Abdurahman Ali Samatar, 28 ans, au titre de leur "préjudice matériel", ont précisé les avocats. Cette somme est basée sur ce que les deux pêcheurs auraient gagné en Somalie s'ils n'avaient pas été emprisonnés.
En attendant la décision d'appel sur les indemnités, qui pourrait prendre environ un an, ils toucheront à titre provisoire l'intégralité de la somme qui leur a été allouée.
Remis en liberté quelques heures après le verdict, les deux acquittés vivent actuellement dans un foyer pour demandeurs d'asile en Seine-Saint-Denis.
Le Ponant, luxueux voilier, avait été arraisonné le 4 avril 2008 à l'entrée du golfe d'Aden, et dérouté vers les côtes somaliennes. Plusieurs dizaines d'hommes s'étaient relayés à bord pour garder les 30 membres d'équipage, libérés sains et saufs une semaine plus tard, contre une rançon de 2,15 millions de dollars versée par l'armateur, filiale de la CMA-CGM.
Le 14 juin, la cour d'assises de Paris avait condamné quatre des six accusés à des peines de prison allant de quatre à dix ans.
Un agriculteur avait des chiots qu'il avait besoin de vendre.
Il a peint un panneau annonçant les 4 chiots et le cloua à un poteau sur le côté de sa cour. Comme il plantait le dernier clou dans le poteau, il se sentit un tirage sur sa salopette . Il tomba dans les yeux d'un petit garçon.
"Monsieur , " dit-il, " je veux acheter un de vos chiots. "
«Eh bien, » dit le fermier, en frottant la sueur à l'arrière de son cou : «Ces chiots viennent des parents très racés et coûtent beaucoup d'argent " .
Le garçon baissa la tête un moment. Ensuite, fouillant profondément dans sa poche, il sortit une poignée de monnaie et la tendit à l'agriculteur.
«J'ai trente-neuf cents. Est- ce suffisant pour jeter un œil ? "
«Bien sûr» dit le fermier .. Et il laissa échapper un sifflement . «Ici, Dolly! " il a appelé .
Venant de la niche et descendant la rampe, Dolly courut, suivie par quatre petites boules de fourrure.
Le petit garçon pressa son visage contre le grillage. Ses yeux dansaient de joie. Comme les chiens arrivaient à la clôture, le petit garçon remarqua quelque chose d'autre qui remuait à l'intérieur de la niche.
Lentement, une autre petite boule apparut, nettement plus petite. En bas de la rampe, elle glissa . Ensuite, de manière un peu maladroite, le petit chiot a clopiné vers les autres, faisant de son mieux pour les rattraper ....
«Je veux celui-là, " dit le petit garçon , pointant l'avorton . L'agriculteur s'agenouilla à côté du garçon et lui dit :
«Mon petit, tu ne veux pas ce chiot . Il ne sera jamais capable de courir et de jouer avec toi comme ces autres chiens le feraient. "
Le petit garçon recula de la clôture, se baissa et commença à rouler une jambière de son pantalon.
Ce faisant, il révéla une attelle en acier des deux côtés de la jambe, fixée sur une chaussure spécialement conçue .
En regardant en l'air vers l'agriculteur, il dit : «Vous voyez, monsieur, je ne cours pas très bien moi-même, et il aura besoin de quelqu'un qui le comprend. "
Avec des larmes dans les yeux, l'agriculteur se baissa et ramassa le petit chiot ..
Le tenant délicatement, il le tendit au petit garçon.
" Combien? " demanda le petit garçon .....
" Rien" , répondit le paysan , «il n'y a pas de prix pour l'amour. "
Le monde est plein de gens qui ont besoin de quelqu'un qui les comprenne.
C'est la Semaine nationale de l'amitié .
Montrez à vos amis combien vous vous inquiétez pour eux.
Envoyez cette page à tous ceux vous considérez comme amis ainsi que ceux qui l'ont été !